Pomone

dieux ce qui appuie le fait de sa malédiction : « nouveau Bellérophon » (V.3). Le vieillard, lui aussi a eu droit à une comparaison. Mais celui-ci a était comparait à une déesse des fleurs et à un prêtre:  « prêtre de Flore » (V.15) ; «  Il l'était de Pomone encore » (V.16). Dans la deuxième partie de cette fable, au moment où L'ours va commettre sa maladresse La Fontaine lui a attribué un nom inventé « émoucheur » (V.45). Un mot formé à partir du verbe émoucher et qui a pour fonction dans ce contexte

les alarmes. 15 Il bornera tous ses désirs Dans le seul retour des Zéphyrs; Et fuyant la foule importune, Il verra au fond de ses bois Les courtisans de la fortune 20 Devenus esclaves des rois. J'embellis les fruits et les fleurs: Je sais parer Pomone et Flore; C'est pour moi que coulent les pleurs Qu'en se levant verse l'Aurore. 25 Les vergers, les parcs, les jardins, De mon savoir et de mes mains Tiennent leurs grâces non pareilles; Là j'ai des prés, là j'ai des bois; Et j'ai partout tant

Sainte-Famille, Saint-Michel, et la Belle Jardinière de Raphaël) et fait venir des moules de statues romaines (Laocoon, Apollon du Belvédère...) afin de couler des bronzes. Pour la décoration du château, il commet Rosso Fiorentino qui réalise le pavillon de Pomone, le pavillon des « Poesles », la galerie Basse (tous détruits) et surtout la galerie La Vierge aux rocher François-Ier (1534-1540. François Ier constitue dans le château une importante bibliothèque, ancêtre de la bibliothèque nationale. Le

Valorisation du lieu exotique Cette valorisation du lieu exotique se fait notamment par le biais de la comparaison de ce lieu aux Îles Fortunées et affirmant que l’âge d’or n’a pas cessé en ces lieux. La présence de Bacchus, Dieu de la Boisson et de Pomone, la déesse des Fruits en témoignent. Ainsi, en insistant sur le fait que ces dieux sont présents en ces lieux et qu’ils sont responsables de tous les splendeurs constatées par St. Amand, permet de diviniser l’ile. La présence de ces Dieux en ces lieux

lequel il a grandi. Il vivait dans une maison calme, « petite mais tranquille » ce qui peut être sous entendu comme une maison triste et ennuyeuse pour un enfant. Il nous présente aussi la maison comme un lieu étriqué et peu agréable, au vers 3, « Sa pomone de plâtre » n'est pas valorisante alors qu'elle devrait l'être,et toujours dans ce vers, l'auteur cite une « Vieille Vénus », qui pourtant est la déesse de l'amour et de la beauté par conséquent celle-ci devrait représenter toute la beauté et la jeunesse

l’Académie royale de musique. Le but de cette institution était évidemment la mise en place d’une instance promouvant la création d’opéras nationaux.[ Deux ans plus tard, le 19 mars 1671, le premier opéra d’une longue série voit le jour. Il s’agit de Pomone composé par Pierre Perrin. Cet opéra a connu un succès phénoménal, attirant une foule de spectateurs enthousiastes[]. L’événement était considérable puisque c’était la première fois qu’une œuvre entièrement chantée en français avec des chœurs, des

les alarmes. Il bornera tous ses désirs Dans le seul retour des Zéphyrs ; Et fuyant la foule importune, Il verra au fond de ses bois Les courtisans de la fortune Devenus esclaves des rois. J’embellis les fruits et les fleurs : Je sais parer Pomone et Flore ; C’est pour moi que coulent les pleurs Qu’en se levant verse l’Aurore. Les vergers, les parcs, les jardins, De mon savoir et de mes mains Tiennent leurs grâces non pareilles ; Là j’ai des prés, là j’ai des bois ; Et j’ai partout tant

humain ! Le tableau renversé : la crise de la représentation. Il n’y a rien à voir, ni à représenter, Un lieu stérile : en contrepoint, Hamm évoque lieux fertiles : « ces forêts », p.15 p.54 derrière la montagne, si c’était encore vert, Flore, Pomone, Cérès, images de la naissance, de la fertilité. II. UN REFUGE ? PARADOXAL DANS UN UNIVERS APOCALYPTIQUE La prison est aussi paradoxalement un refuge, une église. « Hors d’ici c’est la mort », affirme Hamm dès le début. Sorte d’arche de Noé. Allusions

Le blé en herbe , Les vrilles de la vigne , Paradis terrestres , La treille muscate , La paix chez les bêtes , Flora et Pomone , Pour un herbier, même s'il est enrichi d'un sens métonymique ou métaphorique, s'emprunte à cette terre, quelque peu mythique, où l'écriture n'existait pas, pas plus que dans certaines contrées rencontrées par

souris tomba du bec d’un chat-huant : Je ne l’eusse pas ramassée ; Mais un Bramin le fit ; je le crois aisément » Il intervient dans le cours du récit, cf VIII, 10 : « Il aimait les jardins, était prêtre de Flore, Il l’était de Pomone encore : Ces deux emplis sont beaux ; mais je voudrais parmi Quelque doux et discret ami » Il se livre à des parenthèses ironiques, cf X, 1 : « A ces mots, l’animal pervers (C’est le serpent que je veux dire, Et bon l’homme