Pont de Bezons

furent restés là quelque temps, M. Tournevau déclara : – « Ça n’est pas gai. – Non certes », reprit M. Pimpesse ; et ils repartirent à petits pas. Après avoir longé la rue que domine la côte et qu’on appelle : « Sous-le-Bois », ils revinrent par le pont de planches sur la Retenue, passèrent près 16 du chemin de fer et débouchèrent de nouveau place du Marché, où une querelle commença tout à coup entre le percepteur, M. Pimpesse, et le saleur, M. Tournevau, à propos d’un champignon comestible que

cheminées de fabriques, seule végétation de ces champs putrides où la brise du printemps promenait un parfum de pétrole et de schiste mêlé à une autre odeur moins agréable encore. 1 Enfin, on avait traversé la Seine une seconde fois, et, sur le pont, ç’avait été un ravissement. La rivière éclatait de lumière ; une buée s’en élevait, pompée par le soleil, et l’on éprouvait une quiétude douce , un rafraîchissement bienfaisant à respirer enfin un air plus pur qui n’avait point balayé la fumée

garçon qui, faute de siège, s’était étendu 8 tout au fond, et dont la tête seule apparaissait. Après avoir suivi l’avenue des Champs-Élysées et 9 franchi les fortifications à la porte Maillot, on s’était mis à regarder la contrée. En arrivant au pont 10 de Neuilly, M. Dufour avait dit : « Voici la campagne enfin! » et sa femme, à ce signal, s’était attendrie 11 sur la nature. Au rond-point de Courbevoie, une admiration les avait saisis devant l’éloignement des 12 horizons. À droite, là-bas,

accueillis : déficience intellectuelle NANDY Institut médico éducatif Vercors SAGP 301 allée du Pavillon Royal 77176 NANDY 01 60 63 20 50 Principaux handicaps accueillis : déficience de la communication NEMOURS SESSAD Chancepoix IME de Chancepoix 7 rue du Pont Rouge 77140 NEMOURS 01 64 29 95 18 sessadchancepoix@wannadoo.fr Principaux handicaps accueillis : déficience intellectuelle • 57 60 50 110 26 40 41 77 FS CA e iell sor sen P ion ITE cat édu és t d’ cap titu ndi Ins M

plus que deux des dents par-devant, mais elle ne manquait jamais de les brosser. « Quand on est comme moi, qu’on a servi chez un médecin, on connaît l’hygiène. » Elle donnait des consultations médicales dans le voisinage et même assez loin jusque sur Bezons. [...] « Vous devriez peut-être, Docteur, aller voir la dame à l’entresol du 4 de la rue des Mineures… C’est un ancien employé de notaire, on lui a parlé de vous… Je lui ai dit que vous étiez un médecin tout ce qu’il y a de gentil avec les malades

Dardenne, 92170 Vanves ℡ 01 47 36 34 07 (C) Lycée Lycée Lycée Lycée Lycée Lycée Lycée Lycée Lycée Lycée Lycée Lycée Lycée Evariste Galois, 14 boulevard Léon Blum, 95260 Beaumont sur Oise (C) Le Grand Cerf, 1-3 rue Karl Marx, 95870 Bezons ℡ 01 39 47 69 10 (C et V) régional du Vexin, 2 rue Jean Hamon, 95750 Chars ℡ 01 30 39 78 94 (C et V) George Sand, avenue du Lycée, 95330 Domont ℡ 01 39 35 02 13 (C et V) Louis Armand, 32 rue Stéphane Proust, 95600 Eaubonne ℡ 01 34 06 10 30 (C et

comme il se platt à appe1er ce fleuve en le féminisant à dessein. Plus tard, quand il devient fonctionnaire et qu'il s'ennuie à mourir dans l'atmosphère feutrée des ministères, il s'échappe vers la Seine aussi souvent qu'il le peut. "Il couche à Bezons deux soirs par semaine, se lève tôt, fait des armes de cinq à sept heures ou lave sa yole. Dans le petit jour embué, il la pousse à l'eau, écoute son glissement fraternel, la fuite d'un rat apeuré, le .frottis contre les roseaux. Respirant à pleins

qu’est plus infect que tout le reste, leur travail. On est en bas dans les cales à souffler de la gueule, puants, suintants des rouspignolles, et puis voilà ! En haut sur le pont, au frais, il y a les maîtres et qui s’en font pas, avec des belles femmes roses et gonflées de parfums sur les genoux. On nous fait monter sur le pont. Alors, ils mettent leurs chapeaux haut de forme et puis ils nous en mettent un bon coup de la gueule comme ça : « Bandes de charognes, c’est la guerre ! Qu’ils font. On va

qu’est plus infect que toute reste, leur travail. On est en bas dans les cales à souffler de la gueule, puants, suintants des rouspignolles, et puis voilà ! En haut sur le pont, au frais, il y a les maîtres et qui s’en font pas, avec des belles femmes roses et gonflées de parfums sur les genoux. On nous fait monter sur le pont. Alors, ils mettent leurs chapeaux haut de forme et puis ils nous en mettent un bon coup de la gueule comme ça : " Bandes de charognes, c’est la guerre ! qu’ils font. On

reste, leur travail. On est en bas Voyage au bout de la nuit dans les cales à souffler de la gueule, puants, suintants des rouspignolles, et puis voilà ! En haut sur le pont, au frais, il y a les maîtres et qui s’en font pas, avec des belles femmes roses et gonflées de parfums sur les genoux. On nous fait monter sur le pont. Alors, ils mettent leurs chapeaux haut de forme et puis ils nous en mettent un bon coup de la gueule comme ça : « Bandes de charognes, c’est la guerre ! qu’ils font. On va