Pont du Mont-Blanc

cultivateurs contre les éleveurs, les gens de la ville contre ceux du cru, l'homme de loi contre le shérif véreux, l'armée contre les civils, etc. Mais c’est dans tous les cas « l’histoire » de la jeunesse du continent américain et donc, comment l’homme blanc s’est imposé de manière plutôt violente sur le territoire. Cette vision blanche de l'Amérique fait que les Amérindiens sont le plus souvent représentés de façon caricaturale ( les sauvages sanguinaires, cruels et sans intelligence) et de l’autre

CAUVIN d'Haï HAÏTI LA VALENTINE GÈ RT ha SAKAKINI CE DARIUS MILHAUD l'Au 12 1 BOOTH LECACHE isto 10 4 33 34 49 BLANCARDE HAÏTI l RA SE die ard RT e Cr CENTRE COMMERCIAL M CHÂTEAU DE SAKAKINI T 12 LES CAMOINS HESPÉRIDES 50 nce SAINT-JEAN UR DÉ Boulev Mont SE S CHARBONNELLE COLBERT FRAISSINET FO LA BUZINE Rue DÉ LLE 52 T Foch FOCH GRANOUX 51 TREVARESSE LES CAILLOLS CENTRE URBAIN M Hôtel de Région LA . F. Roosevelt E Cours LA VALENTINE Z HAÏTI GARGUIER DUCLAUX Louis LES CAILLOLS DU DÉSERT Mo RÉPUBLIQUE

À la manière d’Héraclite, il faut tenter l’union. Il faut accepter et maîtriser la pensée synthétique qui œuvre pour le rapprochement des contraires. Au « Ou » il faut préférer le « ET ». La case est noire ou blanche, mais le pavé est noir et blanc. Le profane est l’homme englué dans ses métaux, dans l’éclat trompeur, mais il est proposé au Franc-Maçon comme il a été proposé à Abraham de quitter la maison de son père, afin de prendre son élan vers l’esprit, le nouveau pays à découvrir par

Puteaux Pa ul R Mau . de beug e Cy r Vic tor De cro s Ru e Gr av Ja urè s Pé te Je an Fbg Qu a Niel Gouv ion Ma rt du Fbg Aven ue de S Ve rd un Di on d'Alsa ce wa Jem ma p Le Tra m Pont de Puteaux o Jardin d'Acclimatation hi Rue Rue Vellefaux Sa in t-Den is Claude Dh uys B Po m l' Eau Gamb Stra sbou mb ett a Ne Aven ue i en lli Ga uil Fbg o de Mar guer ite Rue

sourires ennemis Ni lincomprhensible destine Ni les rves qui diluent les jours Je ne sais rien de la vie Que ton amour MON VOYAGE Pendant que tu parcourais la terre En pense je parcourais ton corps Je dcouvrais Vrone et Cythre Le Mont Olympe et lintime Angkor Jai march sur les pas de ton me Jai vu ainsi dtranges pays Des mers de glace soffrant aux flammes Jai vu le Vsuve et Pompe Jai suivi le parcours de tes veines Me suis endormi dans tes cheveux Ton cur battait dinquitudes vaines

réfléchissait la fuite d'un nuage. Je suivais lentement le chemin de halage Tout en fleurs, qui descend en pente vers les eaux. Des peupliers à droite, à gauche des roseaux; Devant moi, les détours de la rivière en marche Et, fermant l'horizon, un pont d'une seule arche. Le courant murmurait, en inclinant les joncs, Et les poissons, avec leurs sauts et leurs plongeons, Sans cesse le ridaient de grands cercles de moire. Le loriot et la fauvette à tête noire Se répondaient parmi les arbres en

lecture cursive : Neige, de Maxence Fermine - Groupement de textes • Le Lac, de Larmatine • Les Séparés, de Marceline Desbordes Valmore • Je vis, je meurs, de louis Labé • Melancholia, de Victor Hugo • Oradour, de Tardieu • Le veilleur du pont au change, de Desnos Lecture - Lire des poèmes de formes et de visées variées - Caractériser un poème - Pouvoir analyser un poème en acquérant quelques bases de versification Lecture de l’image - Une peinture romantique : Le radeau de la

réconforté en me faisant une confidence : la nourriture serait encore plus exécrable sur les rafiots de l’Amazonie péruvienne ! Sous le soleil à la méridienne, trois petits singes faisant partie du voyage, se taquinent sur la tôle surchauffée du pont arrière, leurs laisses de cordelettes s’emmêlent au fur et à mesure de leurs cabrioles incessantes. La touffeur de midi s’accentue, l’odeur de végétaux en décomposition qu’exhalent les eaux surchauffées que coupe le caboteur, trouble les sens. Affalé

peut y jeter l'ancre et qu'il faudrait mettre l'une sur l'autre bien des tours d'église pour que la dernière émerge à la surface. Tout en bas, les habitants des ondes ont leur demeure.Mais n'allez pas croire qu'il n'y a là que des fonds de sable nu blanc, non il y pousse les arbres et les plantes les plus étranges dont les tiges et les feuilles sont si souples qu'elles ondulent au moindre mouvement de l'eau. On dirait qu'elles sont vivantes. Tous les poissons, grands et petits, glissent dans les branches

yeux sous les arbres. Puis, abaissant mon regard, je vis près de ma main un visage. Le squelette noir gisait de tout son long, une épaule contre l’arbre, et les paupières s’ouvrirent doucement, laissant monter jusqu'à moi le regard des yeux enfoncés, immenses et atones, une sorte de bref éclat blanc et aveugle dans la profondeur des orbites, qui s’éteignit doucement. L’homme semblait jeune – un adolescent presque – mais, vous savez, chez eux c’est difficile à dire. Je ne trouvai rien d’autre à faire