Populisme

l’inégalité de la répartition des richesses, l’incapacité de la société civile maintenue par une bureaucratie étatique très présente mais inefficace. Cela a pour conséquence un ressentiment populaire et un renforcement du pouvoir d’attraction du populisme fondamentaliste par une application de la charia qui mettrait fin à cette hypocrisie des élites. Par ailleurs, cette situation menacera la sécurité internationale par des risques d’éruptions du terrorisme. De plus qu’il accroitra l’antiaméricanisme

leur identification à une Europe unie. Alors que le projet européen avait comme objectif premier le dépassement du "modèle nationaliste", l'Europe unie a surtout mobilisé des partis populistes et provoqué par endroits leur succès. En effet, le populisme a bien trouvé sa base sur une Europe sans frontières intérieures. Mais cet espace de libre circulation est aussi un espace transnational de solidarité, un espace de mobilisation et de revendication des intérêts et des identités. Les résistances

d’un important exode rural (de 30% d’urbain en 1929 à 45% en 1950). De telles circonstances d’instabilité sont favorables à l’émergence et au développement du syndicalisme et du communisme selon un principe de solidarité, et à l’affirmation du populisme comme solution au chaos social ambiant. D. Le symbole international de la gauche révolutionnaire qui favorise l’identification de toute une partie de la société à une cause commune : le Che La notion de gauche révolutionnaire a été principalement

pour réaliser des affaires), ce qui peut entraîner des conflits d'intérêt. Quelques unes des objections traditionnelles à la démocratie directe sont employées contre la cyberdémocratie, comme l'éventualité pour la gouvernance de tendre vers le populisme et la démagogie. Il existe des objections d'ordre plus pratique, non seulement en termes de fracture numérique entre ceux qui disposent de l'accès aux médias nécessaire pour la cyberdémocratie (connexions internet et téléphones portables) et ceux

L’auteur de ce livre, Guy Hermet, est chercheur à la Fondation nationale des sciences politiques. Spécialiste de la politique comparée, Guy Hermet a consacré de nombreux ouvrages à l’étude de l’Espagne et s’est intéressé plus récemment au populisme (Les populismes dans le monde paru en 2000). Il a également beaucoup écrit sur le développement de la démocratie et sur les transitions démocratiques, thème central de cet ouvrage. Le livre d’Hermet explique de manière concise les déterminants et la réalisation

notre temps peut-être en est-il de plus beaux, mais c'est le nôtre; nous n'avons que cette vie à vivre, au milieu de cette guerre, de cette révolution peut-être. Qu'on n'aille pas conclure de là que nous prêchions une sorte de populisme c'est tout le contraire.Le populisme est un enfant de vieux, le triste rejeton des derniers réalistes; c'est encore un essai pour tirer son épingle du jeu.Nous sommes convaincus, au contraire, qu'on ne peut pas tirer son épingle du jeu.Serions-nous muets et cois comme

info - PROPEDIA - - 195.167.197.235 - 05/09/2013 15h00. © ESKA Réexaminant les analyses consacrées aux expériences des populismes latino-américains du XXe siècle, Roger Bartra souligne les parallèles entre les contextes dans lesquels ceux-ci sont apparus et celui des quinze dernières années où les « néo-populismes » latino-américains ont fleuri. Pour lui les populismes ont été autant de « cultures politiques » qui n’ont pas seulement été l’apanage de Perón, de Cardenas et de leurs partisans

221 pp. Collection : Hommes et sociétés. Jean-Pierre Olivier de Sardan, Anthropologie et développement. (1995) 6 Table des matières Quatrième de couverture Introduction Développement Socio-anthropologie du développement Comparatisme Action Populisme Une problématique collective ? Changement social et développement : en Afrique ou en général ? PREMIÈRE PARTIE ÉTATS DES LIEUX Chapitre 1. L'anthropologie, la sociologie, l'Afrique et le développement : bref bilan historique L'ethnologie française

sociale, psychologique…). Si l’on ajoute à cela, pour ce que nous pouvons en percevoir au niveau européen, des modalités d’actions réussissant à stratifier l’ancien (intimidations, racisme universel ou de proximité, discriminations et exclusions, populisme, brutalités…) et le moderne (stratégies de communication affutées, notamment par l’élaboration grandissante d’éléments de langage œuvrant à la banalisation des valeurs prônées, maîtrise des réseaux sociaux, net-activisme, sophistication de l’image

défense de la laïcité. La culture de la peur pourrait il entraîner la société occidental à choisir l’extrême droite ? Il est aujourd'hui communément admis que le populisme progresse partout en Occident. Sa principale mouture américaine est le Tea Party ; en Europe, on trouve en France le Front national. Mais qu'est-ce que le populisme ? Beaucoup d'entre nous pensent être en mesure de le reconnaître d'emblée : xénophobie plus ou moins ouverte, revendication d'une baisse des impôts, appel aux peurs