Port de Séville

enjeux de l’action . Cette première scène s’ouvre de bon matin, alors que Suzanne et Figaro s’activent déjà dans la perspective de célébrer leur mariage. L’un des deux personnages ne nous est pas inconnu. Il s’agit de Figaro, héros du Barbier de Séville, pièce qui précède le Mariage. Le choix de Beaumarchais est ici original puisqu’il expose d’abord les projets personnels des valets et non ceux des maîtres. Nous nous demanderons quels éléments de cette première scène révèlent les valets comme les

Le mythe de Don Juan Le personnage de don Juan apparaît pour la première fois en littérature en 1630 dans une pièce d'un moine espagnol, Tirso de Molina, intitulée el Burlador de Sevilla y Convidado de piedra (le trompeur de Séville et le convive de pierre) : le personnage principale de la pièce est Juan Tenorio, un jeune seigneur qui s'amuse à séduire les femmes en leur faisant croire qu'il les épousera quand elles sont libres, ou qui se plaît à les conquérir en bernant leur mari ou leur fiancé

îles britanniques sont en marge de l’économie européenne. II) le frein géographique : des relations étrangères archaïques A) Un rapport à l’Europe qui entrave l’économie. 1) L’ignorance des grands marchands. Monopole commercial de Lisbonne Séville, Italie du nord, Augsbourg, Bruges et Anvers. Les activités commerciales des IB n’intéressent pas les autres pôles importants, il n’y a rien à aller chercher là bas. On le voit grâce à une famille riche italienne qui invente le capitalisme grâce à

de l'aider mais Don José avoue qu’une messe lui serait plus utile. Il lui demande aussi d’aller porter une médaille à une femme en Navarre, à Pampelune. Chapitre 3 Le narrateur revient à la prison le lendemain et apprend toute l'histoire de Don José. Il s'appelle en réalité Don José Lizarrabengoa, basque né à Elizondo, brigadier de cavalerie placé en garde dans une manufacture de tabac à Séville. Un jour, il rencontre Carmen qui le taquine sur son épinglette, puis lui lance une fleur qu’il conserve

banquet, Juan tombe amoureux d'une jeune esclave noire de la suite de Rubens qui se nomme Miri. Elle se fait remarquer lors de cette fête en chantant d'une manière admirable. Le lendemain, en allant dans les appartement de la suite de Rubens pour porter une lettre, Juan voit Miri avoir une attaque. Le docteur que Juan va chercher parvient à la réveiller et lui redonner conscience mais Miri, se met à pleurer en disant qu'elle a peur que sa maîtresse la vende à cause de ses maladies transmet

d'une esclave noire et, il pense (car sa mère ne lui a jamais dit), qu'il vient d'un magasinier espagnol blanc. Sa mère meurt quand il a cinq ans et il devient alors le page de sa maîtresse, originaire du Portugal et mariée à un riche marchand de Séville. Elle le traite bien et lui apprend à lire et à écrire. C'est un excellent élève et rapidement, il écrit mieux que sa maîtresse et écrit alors à sa place ses lettres. Il est heureux quand, suite à des maladies, son maître meurt et plonge sa maîtresse

esclave noire et, il pense (car sa mère ne lui a jamais dit), qu'il vient d'un magasinier espagnol, un Blanc. Sa mère meurt quand il a juste cinq ans et il devient alors le page de sa maîtresse, originaire du Portugal et mariée à un riche marchand de Séville. Elle le traite bien et lui apprend même à lire et à écrire. C'est un excellent élève et rapidement, il écrit mieux que sa maîtresse et écrit alors à sa place ses lettres. Il est heureux quand, suite à des maladies, son maître meurt et plonge sa maîtresse

de soie, à porter une jarre en or remplie de parfum et à marcher à son tour dans la boue d’encens spécialement conçue pour elle, sous une pluie de parfum. La princesse surprise et heureuse se prêta immédiatement au jeu en essayant d’imiter de mémoire la démarche et le sourire de la mystérieuse jeune femme, sous le regard satisfait et comblé de son amoureux mari. Ce prince et cette princesse ont bel et bien existé. Il s’agit d’Al Mouâtamid Ibn Abbad (1040-1095), prince de Séville au XI e siècle

En quoi Don Juan constitue "le triomphe de l'acteur" ? Nous tenterons de ici de répondre à cette affirmation de Camille Dumoulié en nous appuyant sur un corpus de trois oeuvres : Le trompeur de Séville et l'invité de Pierre écrit par Tirso de Molina en 1630 et la première apparition de Don Juan dans la littérature, Don Giovanni de Lorenzo Da Ponte le livret d'opéra repris ensuite par Mozart et Don Juan et les amants chroniques de Michel de Guelderode. Au vue du corpus le mot "acteur" apparait comme

« se précipite » vers elle. Chez Marivaux, le jeu est plus discret puisque Dorante se contente de chercher du papier mais c’est autour de l’objet que se cristallise l’action. En outre, il permet d’accentuer la tonalité comique dans le Barbier de Séville puisque s’opposent chez Bartholo l’attitude du médecin qui « tâte le pouls » de façon répétitive et ses tentatives pour récupérer la missive du comte- du moins c’est ce qu’il croit. Hugo est le seul des auteurs du corpus à faire jouer un rôle majoritairement