Portrait De Clarimonde

donc une femme de toutes les femmes que j’avais vues : elle avait la taille, les cheveux et le sourire de l’étrangère qui m’avait pressé contre son sein ; je lui donnai les yeux de telle jeune fille du village, la fraîcheur de telle autre. Les portraits des grandes dames du temps de François 1er, de Henri IV et de Louis XIV, dont le salon était orné, m’avaient fourni d’autres traits, et j’avais dérobé des grâces jusqu’aux tableaux des Vierges suspendues dans les églises. Cette charmeresse me

inonda son corps. Il sonne 11 heures. Les bougies s’allument tous seul, le soufflet souffle le feu pendant que la pelle relève les cendres. La cafetière se jette en bas de la table et se dirige vers la cheminée. L’un des plus vieux personnages des portraits sort en grimaçant, la tête du cadre et essaye de faire passer son corps. Il saute lourdement par terre. Il sort de sa veste une petite clé et l’applique à tous les cadres. Et tous les personnages étranges sortirent. Ils prennent le thé, ils parlaient

renforce la dimension fantastique du récit car le lecteur hésite entre deux hypothèses : Soit le personnage principal est fou. Soit le monde des vivants et des morts communique et donc le personnage principal a vraiment vécu cette aventure. * Le portrait du personnage principal : Riche, sans passion pour les femmes, serein, qui aime sa vie et saint d’esprit. Il a une passion, collectionner les meubles anciens. Il est toutefois attirés par les femmes du passé c'est une manière pour lui « d’arrêter

étincelante des couleurs du prisme, et dans une pénombre pourprée comme lorsqu'on regarde le soleil. Oh ! comme elle était belle ! Les plus grands peintres, lorsque, poursuivant dans le ciel la beauté idéale, ils ont rapporté sur la terre le divin portrait de la Madone, n'approchent même pas de cette fabuleuse réalité. Ni les vers du poète ni la palette du peintre n'en peuvent donner une idée. Elle était assez grande, avec une taille et un port de déesse ; ses cheveux, d'un blond doux, se séparaient

ce fond d'ombre comme une révélation angélique » (l.6 et 7). 1. ligne 10 et 11 : » Je la voyais […] comme lorsqu'on regarde le soleil ». Comparaison entre Clarimonde et le soleil => Romuald est ébloui, aveuglé par la lumière qu'elle irradie. ==> Paradoxe : Il la voit tout en étant aveuglé ! Ces 2 derniers paragraphes reprennent , après le portrait, le thème du dessillement déjà évoqué au début. (l.1 à 11) Cet effet de cloture relève en parti de l'antépiphore ; il montre que le texte entier est en réalité

étincelante des couleurs du prisme, et dans une pénombre pourprée comme lorsqu'on regarde le soleil. Oh ! comme elle était belle ! Les plus grands peintres, lorsque, poursuivant dans le ciel la beauté idéale, ils ont rapporté sur la terre le divin portrait de la Madone, n'approchent même pas de cette fabuleuse réalité. Ni les vers du poète ni la palette du peintre n'en peuvent donner une idée. Elle était assez grande, avec une taille et un port de déesse ; ses cheveux, d'un blond doux, se séparaient

étincelante des couleurs du prisme, et dans une pénombre pourprée comme lorsqu’on regarde le soleil. Oh ! comme elle était belle ! Les plus grands peintres, lorsque, poursuivant dans le ciel la beauté idéale, ils ont rapporté sur la terre le divin portrait de la Madone, n’approchent même pas de cette fabuleuse réalité. Ni les vers du poète ni la palette du peintre n’en peuvent donner une idée. Elle était assez grande, avec une taille et un port de déesse ; ses cheveux, d’un blond doux, se séparaient

destiée de V. Hugo La Cafetière (pp.58-60) situation : Théodore artiste, invité ds maison Normandie, arrive fatigué, se couche directement ds chambre. Indices laissent croire qu’il se passe choses bizarres (peur du narrateur faces à ces éléments), portraits dans tableaux se mettent à bouger. motif : première rencontre amoureuse ds cadre fantastique où personnages sortent tableau et se mettent à boire thé et à danser problématique : passage avec tous ingrédients du genre fantastique et rencontre amoureuse

représentations du héros / vampire évoluent – elles au fil du temps ? 1) quelles sont les caractéristiques d’un personnage mythique, Dracula ? Bram Stoker, Dracula, 1897 Portrait physique Une allure et des traits majestueux Focalisation sur les mains et le visage : pourquoi ? car ils font penser à un animal Portrait moral Cultivé / Poli / Dangereux Effet produit Le narrateur a l’impression d’être en face d’un mort Il est en admiration devant le personnage Il en a peur Ce personnage

« invente » la couleur. Poème en strophes de six vers, en alexandrins et octosyllabes. Thème assez choquant car relate d’un enfant innocent concerné par la guerre, la violence. Chute surprenante. Poème dont l’univers est idyllique. Propose le portrait d’un enfant, associé à la candeur. Le poète intervient et va parler dans la troisième strophe : il n’est plus seulement qu’un observateur. Le poète a un rôle paternel, de soutien pour l’enfant : il fait preuve d’empathie. Il propose à l’enfant des