Portrait De Coelio

Nerval est hanté par l'image de sa mère qu'il n'a jamais connu. Ces expressions du dédoublement de "je suis le ténébreux le veuf l'inconsolé" où on trouve la dimension biographique. Chez Musset, la dualité, la propension à se projeter à l'extérieur, Coelio le mélancolique d'un côté, et l'autre Musset danseur de corde, fêtard. DONC deux oeuvres qui ont en commun le thème du double, de la dualité foncière de l'être humain. Hoffman aussi utilise ce thème. Comment exprimer un moi diffracté? Quelle forme

n’aurait aucune chance de rencontrer dans le réel. Les personnages sont souvent des caricatures dont les traits sont grossis. C’est le cas dans le drame romantique de Musset : Les caprices Marianne d’Alfred de Musset. Horace fait un portrait sublimé de son ami Coelio en héros romantique. (à compléter) 1 Antithèse Le Théâtre est un lieu contraignant par essence Des contraintes d’écriture En premier lieu, le genre littéraire du théâtre obéit à des codes d’écriture stricts et le dramaturge

suite saura retourner sa veste et montrer une autre partie de son caractère (qui en fait un des personnages les plus intéressant) ; Coelio pétri de principes et Octave insouciant, drôle. Tout au long du récit nous découvrons une Marianne capricieuse, qui comme le veut le récit, amènera l'histoire vers une fin tragique qui met fin au récit d'une façon assez brève : Coelio tuer par les gardes repose au cimetière, Octave choisit de mourir et Marianne est condamnée sans espoir de bonheur. Quelques citations :

sur votre face épanché des beautés Dont les yeux sont surpris, et les cœurs transportés ; Et je n’ai pu vous voir, parfaite créature, Sans admirer en vous l’auteur de la nature, Et d’une ardente amour sentir mon cœur atteint, Au plus beau des portraits où lui-même il s’est peint. D’abord j’appréhendai que cette ardeur secrète Ne fût du noir esprit une surprise adroite, Et même à fuir vos yeux mon cœur se résolut, Vous croyant un obstacle à faire mon salut. Mais enfin je connus, ô beauté tout

dans l’incompréhension de ses ami qui sont choqué par cette achat inutile et d’une valeur impressionnante. Alors que dans Les Caprices de Marianne de Alfred c’est un conflit tout à fait différent, c’est un conflit amoureux entre Coelio, Octave et la bien aimé Marianne. Coelio charge son ami cousin de Marianne de parler de lui et de déclaré son amour pour elle. Dissertation : «  Moi, je veux me fâcher et ne veux point entendre », dit Alceste dans le Misanthrope. L’expression du conflit au théâtre

Dénonciation de l'indifférence des gens 3) Dénonciation de la société qui n'éduque pas et de la justice expéditive En créant des personnages manichéens 1) C.G. => romantique type 1 ( combat la Justice) 2) Le directeur => le méchant => idéalisation du portrait physique et moral => discours intéressants => leurs attitudes exagérées Musset : Les caprices de Marianne 1833 Musset ( 1810-1857 ) => poète maudit Le romantisme dans l’œuvre : 1) la nature comme expression subjective de l'état d'âme 2)

Introduction : Accroche et contexte Les Caprices de Marianne est une pièce de théâtre d’Alfred de Musset publiée en 1833. Elle appartient au courant du Romantisme. Un jeune homme, Coelio, aime éperdument Marianne, jeune épouse du juge Claudio. Ce dernier se montre méfiant et jaloux. Trop timide pour se déclarer lui-même, Coelio demande à son ami Octave de plaider auprès de Marianne. Or Claudio et Octave se connaissent et se détestent.

avec une moral religieux→ Ciuta→ intermédiaire entre Coelio et Marianne (elle ne veut pas d’amant)→ Coelio → noble famille égale soit riche soit issu de la noblesse → genre romantique → comédie → devant une maison→ (l11) Coelio entre mais de changement de scène ( le lecteur ne sait pas où sortent les personnages), le rythme rapide fait que c’est une même scène→ Coelio renforce son image d’amoureux excessif (l17)→ décalage entre Marianne et Coelio car elle déjà mariée→ rôle du Tibia ( valet) ? Soit

« invente » la couleur. Poème en strophes de six vers, en alexandrins et octosyllabes. Thème assez choquant car relate d’un enfant innocent concerné par la guerre, la violence. Chute surprenante. Poème dont l’univers est idyllique. Propose le portrait d’un enfant, associé à la candeur. Le poète intervient et va parler dans la troisième strophe : il n’est plus seulement qu’un observateur. Le poète a un rôle paternel, de soutien pour l’enfant : il fait preuve d’empathie. Il propose à l’enfant des

paysanne, qui entend la ruse → succide ! Camille et Perdican se séparent… Pessimisme radical. (désenchantement) « Les caprices de Marianne »(1833) : Cœlio (intello, timide) est amoureux de Marianne, demande à son ami Octave (libertin) de séduire Marianne à sa place. Cela marche. Octave arrive à avoir un rendez-vous pour Cœlio, et lors du rendez-vous, Cœlio se fait assassiner par le père de Marianne. Ressemble beaucoup à Lorenzaccio. Grandes références : Brutus 1, Brutus 2, Erostrate, Hamlet, Brutus