Portrait de Louis XIV en costume de sacre

au secours d’Obama Pages 4 et 12 Fondateur : Hubert Beuve-Méry - Directeur : Erik Izraelewicz Dimanche 28 - Lundi 29 octobre 2012 - 68e année - N˚21080 - 1,60 ¤ - France métropolitaine - www.lemonde.fr --- Les «hommes du président» t Portraits de la garde rapprochée du chef de l’Etat t A Toulouse, le congrès du PS s’ouvre dans une ambiance morose Lire pages 9, 10-11 et 16 La tuerie de Chevaline minute par minute t « Le Monde » a eu accès aux synthèses de la gendarmerie L Lundi

aime être uni à la nuit tiède, où le clair de lune appuyé aux volets entr’ouverts, jette jusqu’au pied du lit son échelle enchantée, où on dort presque en plein air, comme la mésange balancée par la brise à la pointe d’un rayon – ; parfois la chambre Louis XVI, si gaie que même le premier soir je n’y avais pas été trop malheureux, et où les colonnettes qui soutenaient légèrement le plafond s’écartaient avec tant de grâce pour montrer et réserver la place du lit ; parfois au contraire celle, petite et

des tragédies de Voltaire. Met en scène des personnages qui seront repris dans l’ensemble de son oeuvre. Il y a des clés pour déchiffrer la pièce. Actor = Napoléon. Irtamène = symbole de la fidélité populaire et de la tradition légitimiste. Zobéir = Louis XVIII. Ce qu’on retient plus, c’est un vers qui a beaucoup marqué les consciences à l’époque : quand on hait les tyrans, on doit aimer les rois. Grande portée politique de la pièce, Hugo dépasse le cadre de faiseur de vers. Hugo s’impose comme un tenant

................................................... 110 Chapitre XII...........................................................................125 Chapitre XIII ......................................................................... 135 Chapitre XIV..........................................................................146 Chapitre XV ...........................................................................158 Chapitre XVI....................................................................

.................................................. 115 Chapitre XII........................................................................... 131 Chapitre XIII ......................................................................... 141 Chapitre XIV.......................................................................... 153 Chapitre XV ...........................................................................166 Chapitre XVI...................................................................

attendait dans l’antichambre, se trouva sur le passage de sa majesté. Napoléon, se voyant a Joseph Fesch (1763-1839) ; en 1804 il était archevêque de Lyon et ambassadeur de France près le Saint-Siège. Il accompagna Pie VII à Paris pour la cérémonie du sacre. 10 regardé avec une certaine curiosité par ce vieillard, se retourna, et dit brusquement : – Quel est ce bonhomme qui me regarde ? – Sire, dit M. Myriel, vous regardez un bonhomme, et moi je regarde un grand homme. Chacun de nous peut profiter.

partir de ce que l’on voit (les dénotations) pour expliquer ce que cela signifie (les connotations). B. La toile de Fougeron : 1. Décrivez ce que vous voyez : les dénotations. Au centre une énorme voiture américaine, un gros homme en costume, un soldat prêt à tirer… À gauche, une prison, des cheminées d’usine, des enfants pieds nus, des sans-abri… À droite, un paquebot blanc, un cadavre d’enfant, des cercueils, une veuve en pleurs… En bas, un petit enfant noir qui cire des chaussures

attendait dans l’antichambre, se trouva sur le passage de sa majesté. Napoléon, se voyant Joseph Fesch (1763-1839) ; en 1804 il était archevêque de Lyon et ambassadeur de France près le Saint-Siège. Il accompagna Pie VII à Paris pour la cérémonie du sacre. 10 a regardé avec une certaine curiosité par ce vieillard, se retourna, et dit brusquement : – Quel est ce bonhomme qui me regarde ? – Sire, dit M. Myriel, vous regardez un bonhomme, et moi je regarde un grand homme. Chacun de nous peut profiter

à la nuit tiède, où le clair de lune appuyé aux volets entr’ouverts, jette jusqu’au pied du lit son échelle enchantée, où on dort 14 presque en plein air, comme la mésange balancée par la brise à la pointe d’un rayon – ; parfois la chambre Louis XVI, si gaie que même le premier soir je n’y avais pas été trop malheureux, et où les colonnettes qui soutenaient légèrement le plafond s’écartaient avec tant de grâce pour montrer et réserver la place du lit ; parfois au contraire celle, petite

études, ou qu’ils ne réussissent qu’à force de travail et souvent même avec défiance (que souvent les jeunes gens affectionnent) ce qui aurait pu être fait plus rapidement, plus facilement, sans grande peine et sans aucune défiance. (Adaptation Louis de Carbonnières). Introduction Un cours d’histoire en première année de droit ? Est-ce bien nécessaire direz-vous. Et des institutions de l’Antiquité ? Pour quoi faire ! Quel intérêt pratique ! Avec cynisme, vous pourriez ajouter : « comme