Portrait De Ruy Blas

une chambre à coucher au palais du duc Don Ruy Gomez de Silva, la nuit)[modifier | modifier le code] Le roi d'Espagne Don Carlos s’introduit la nuit dans la chambre de Doña Sol dont il est secrètement amoureux. Caché dans une armoire, il assiste à la rencontre entre Doña Sol et Hernani, un banni. Hernani, fils d’un homme décapité sur ordre du père de Don Carlos, s’est promis de venger son père. Doña Sol aime Hernani mais on l’a fiancée à son oncle, Don Ruy Gomez de Silva. Don Carlos sort de sa cachette

Lassalle, 1993 → La lettre, accessoire de jeu : quelle fonction dramatique et scénique la lettre joue-t-elle dans chacune de ces scènes ? MARIVAUX, Les Fausses Confidences, 1737, II, 13 BEAUMARCHAIS, Le Barbier de Séville, 1775, II, 15 Victor HUGO, Ruy Blas, 1838, II,2 Lecture cursive Rhinocéros d'Eugène Ionesco, 1949 : le mélange des genres dans le théâtre de l'Absurde ; didascalies et problèmes de mise en scène dans le théâtre du XXe s. Documents complémentaires : Analyse d'images Diverses mises

faire une peinture totale de la société. On cherche la vérité historique dans les détails (meubles, habits,…) pour comprendre l´histoire en profondeur. Il faut des lieux différents pour placer les histoires. Le héros peut être un être marginal (Ruy Blas). Le peuple peut être présent comme acteur ou comme héros. Le personnage central ne sera plus le roi. Si on veut montrer toute la société, il faudrait montrer plusieurs endroits et plusieurs décors. Un autre grand thème du drame historique

| |Marie Tudor,1833 | |Ruy Blas,1838 | |*Roman : Notre-dame de Paris,1831

et les gens sérieux. Bourdaloue s’arma contre lui de sa dialectique ; Bossuet, de son impétueuse éloquence. On fut injuste envers Molière : il n’avait pas l’intention d’attaquer la vraie religion, et les hommes religieux l’auraient dû sentir. Le portrait qu’il trace est vrai ; l’hypocrisie reçoit une flétrissure méritée, et le temps comportait une pièce de ce genre. Mais c’est une question de savoir jusqu’où peut aller le langage de la piété sur le théâtre, et dans une telle bouche. Chez les âmes

Aller à : Navigation, rechercher Pour l'homme politique portugais, voir Victor Hugo de Azevedo Coutinho. Pour les autres homonymes et noms donnés en l'honneur de l'écrivain français, voir Victor Hugo (homonymie). Victor Hugo Portrait de Victor Hugo par Léon Bonnat (1879), conservé au château de Versailles. Données clés Activités écrivain poète dramaturge personnalité politique dessinateur Naissance 26 février 1802 Besançon, France Décès 22 mai 1885 (à 83 ans) Paris, France

complexifie. Fort classiquement, j’aborderai cette question en trois temps. Mon premier point concernera les « morales amoureuses » de la pièce, telles qu’elles sont mises en œuvre par les quatre protagonistes amoureux (Hernani, doña Sol, don Carlos, don Ruy Gomez) ; dans un second temps je réfléchirai à la possibilité de définir dans la pièce un « tragique amoureux », issu des contradictions entre les considérations amoureuses et les considérations relevant d’un autre ordre (comme l’honneur, la vengeance

comme « Il serait à propos qu’il parlât » pour deux raisons : une dite (il faut que je le chasse), une à déduire (j’aimerais vérifier par moi-même qu’il m’aime) * son aplomb dans le mensonge : elle sait que ce n’est pas le comte qui a fait faire le portrait (l.39-40) « eh ! non, je ne saurais l’en accuser ; c’est le comte qui l’a fait faire » DORANTE * la façon dont il surjoue - l.53 à 61 Groupe binaire « dans le chagrin et l’inquiétude » Hyperboles « j’ai tout quitté » (l.54) « je vous suis plus attaché

« vois-tu », « regarde », « distingue ». De manière pernicieuse P. humilie C. en jetant la bague : cet amour est englouti -alliance avec la chaîne et rejet avec la bague. 3) P. va dresser en // 2 portraits : dévalorisant pour C. et élogieux pour R. A) Le portrait de C. -associé à la mort à travers les 2 q? adressées à R. « On n’a pas flétri ta jeunesse ? » « On n’a pas infiltré dans ton sang vermeil les restes d’un sang affadi » -associé à l’artifice « Pâle

serait-ce point aussi pour m’éprouver ? Dubois ne m’a averti de rien. Marivaux , Les Fausses confidences, II, 13. DORANTE.- Ah, Madame! Je vais être éloigné de vous; vous serez assez vengée; n’ajoutez rien à ma douleur! ARAMINTE- Vous donner mon portrait ! Songez-vous que ce serait avouer que je vous aime ? DORANTE- Que vous m'aimez, Madame ! Quelle idée ! qui pourrait se l'imaginer ? ARAMINTE- d'un ton vif et naïf.- Et voilà pourtant ce qui m'arrive. DORANTE- se jetant à ses genoux.- Je me