Portrait Des Personnages Des Miserables

le valet, personnage principal qui donne son nom à l’œuvre, fait face à un maître diabolique, Don Salluste prêt à tout pour se venger de la reine. Celui-ci se sert de son domestique pour tenter d’y parvenir. L’extrait de la première scène de l’acte IV que nous avons ici, est un monologue caractéristique : on y voit un jeune homme tourmenté, piégé, désabusé, incarnation même du héros romantique. Comment V. H. parvient-il à le mettre en valeur ? Nous verrons d’abord le portrait de Don Salluste

genre de l’argumentation du XVIe siècle à nos jours A. La Boétie, discours de la servitude volontaire (étude par extrait) Lecture Analytique n°1 : « C’est chose étrange d’ouïr parler » à « mort salutaire » Lecture Analytique n°2 : « Pauvres et misérables peuples insensés » à « fondre en bas et se rompre C. Sur les femmes (GT) Lecture Analytique n°3 : « Marivaux, La Colonie, extrait de la scène 13, 1750 » I. Ecriture poétique et quête de sens, du Moyen Age à nos jours A. Ronsard et la poésie galante

fécondité littéraire , il se fait une très haute idée de la mission due poète qui est un homme engage au service de ses semblables . Dans le texte « terrible dilemme » par Les Misérables, un long roman qui dévoile, derrière le récit ,une intention sociale : la défense des humbles, victimes de l'ordre sociale, on trouve le personnage Jean Valjean qui avait été condamne aux travaux forces pour avoir volé un pain. évadé il est devenu maire et bienfaiteur de sa ville sous le nom de M. Madeleine. Il apprend

adresse ses dernières paroles à Cosette, sa fille adoptive, et à son mari. [Annonce des axes] Cette scène d’adieu est chargée d’émotions et de grandeur [I]. Derrière le portrait de son héros mourant, véritable modèle d’humanité, Hugo transmet au lecteur sa vision du monde[II]. I. Une scène chargée d’émotions1. Le décor et les personnages Le lecteur est plongé dans une chambre mortuaire familiale et intime. Cette intimité est soulignée par les contrastes avec les autres décors mentionnés dans ses

soif. D’un coup d’oeil je cherchai une place où je ne serais point trop serré, et j’allai m’asseoir à côté d’un homme qui me parut vieux et qui fumait une pipe de deux sous, en terre, noire comme un charbon. […] Dès que je fus assis à son côté, ce personnage me dit d’une voix tranquille : « Tu vas bien ? ». Guy de Maupassant, Garçon, un bock !, 1884. Semaine 2 Étude du texte : La Ficelle ( partie 3 ) p.30-31 + questions no.1-6 La Ficelle ( partie 4 ) p.32-33 + questions no.1-5 «Le vocabulaire de Ficelle

les succès que l’on connaît, dans de nombreux domaines artistiques. Car qui ne connaît pas aujourd’hui les noms de Quasimodo ou d’Esméralda ? Le roman a pour sous-titre « 1482 », ce qui annonce bien qu’au-delà des intrigues individuelles, c’est le portrait d’une époque dans son ensemble qui va nous être proposé. Et en effet, le roman met en lumière la révolution de Juillet et la transition du Moyen-âge vers la Renaissance. Il mêle donc le romanesque et des traits du roman historique et philosophique

manière et à un degré différent. Jean de la Bruyère se sert d'un noble: Gnathon. C'est un personnage très égoïste (« Gnathon ne vit que pour soi »),il est mal élevé,"le jus et les sauces lui dégouttent du menton et de la barbe" et il s'accapare la nourriture de manière grossière et insolente. C'est comme si son ventre remplaçait son cœur, il n'a aucune fierté ni dignité. L'auteur en dresse d'ailleurs un portrait satirique. Victor Hugo quand à lui, utilise un point de vue personnel, il raconte un fait

WEYMAN (Editions du Revif) I – UN ROMAN D’AVENTURES 1) A quelle personne est racontée cette histoire ? Qui est le narrateur de ce récit ? Présentez-le brièvement (portrait physique et moral). (2 pts) 2) A quels genres littéraires peut-on rattacher ce roman ? (1 pt) 3) Qui est « Le Loup » ? D’où vient ce surnom ? Faites son portrait (physique et moral), en prenant en compte l’ensemble du roman. (3 pts) 4) « Ce serait une course entre le vidame et nous, une course pour la vie du fiancé de Cath. »

regroupent cinq nouvelles indépendantes les unes des autres. Le titre a été attribué à cette oeuvre par des éditeurs. L’action se situe dans la nouvelle capitale de la Russie Saint-Pétersbourg. Ces nouvelles, histoires brèves comprenant peu de personnages chacune, décrivent la société russe de l’époque, cette description inscrit l’œuvre de Gogol dans le réalisme du XIX eme siècle; mais il serait beaucoup trop restrictif de limiter cet ouvrage à une description, le côté étrange de ces nouvelles les

des Misérables. Ce roman épique, symbolique, offrant une foisonnante complexité, dont le titre est riche de significations multiples, est aussi un extraordinaire roman-feuilleton et une enquête, où brille l’éclat d’un style. Tout passe par Étienne, substitut du romancier. Le passage que nous traitons est formé d’un discours d’Etienne Lantier aux mineurs concernant la poursuite de la grève. Nous étudierons dans une première partie l’évolution du regard que le narrateur porte sur ses personnages, ensuite