Portrait Léon Dupuis

mais c’est également une étude de mœurs, c’est son plus célèbre ouvrage. Il va également écrire Pierrette, cet œuvre est similaire à une œuvre réaliste, c’est d’ailleurs pour cela que Balzac sera reconnu comme un des précurseurs de ce courant. (Portrait de Stendhal en uniforme de consul (1835) huile sur toile de Silvestro Valeri Grenoble, musée Stendhal) Stendhal, de son vrai nom, Henri Beyle est né à Grenoble en 1783 et mort en 1845. Il a participé aux guerres de la Révolution et de l'Empire

Emma n'aura jamais les moyens financiers de rembourser ses dettes, toujours plus grandes à force de dépenses futiles. Et Lheureux n'hésite pas à harceler sa cliente, quitte à la menacer de tout révéler lorsqu'il la surprend aux bras de son amant, Léon Dupuis. Il va même jusqu'à la menacer de saisir ses biens et son mobilier et même sa maison si elle ne rembourse pas rapidement. Il pousse Emma à vendre la propriété de Barneville dont Charles avait hérité. La dette d'Emma passe de 1000 à 8000 francs.

Madame de Bovary Première partie : Les personnages   Léon Dupuis (premier amant ) a été élevé par des femmes (mère veuve, tantes, etc..) Il a fait des études littéraires, puis un peu de droit, entre-temps un peu de musique. Il est faible, mou, paresseux et se croit rêveur. Il vit dans l’attente d’un séjour de deux ans à Paris, qu’il considère à l’avance comme le seul temps délicieux de sa vie. Il est destiné aux « grisettes de la rive gauche », aux amours facilement rompues et peu coûteuses

62 – 63 : cruauté ironique de Flaubert envers ses personnages à travers la description de Charles. Description de la casquette : montre le mauvais goût de l’époque. Structure argumentative : tranquillité, chaos, tranquillité,… * Chapitre 1 : portraits de Charles et de ses parents : énumérations, vitesse ironique dans l’histoire de son enfancefigure de style = vitesse Chapitre 2 / Premières rencontres de Charles et d'Emma Rouault Une nuit d'hiver, Charles est appelé à la ferme des Bertaux.

utilitarista. Flaubert commence le roman en 1851 et y travaille pendant 5 ans, jusqu’en 1856. À partir d’octobre, le texte est publié dans la Revue de Paris sous la forme de feuilleton jusqu’au 15 décembre suivant. En février 1857, le gérant de la revue, Léon Laurent-Pichat, l’imprimeur et Gustave Flaubert sont jugés pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs ». Défendu par l’avocat Jules Sénard, malgré le réquisitoire du procureur Ernest Pinard, Gustave Flaubert est blâmé pour « le

Celle-ci qui rêve d'amour eternel et d'aventures merveilleuses tirées de romans a l'eau de rose en serra d'autant plus déçue par la triste réalité. Le phénomène du Bovarysme la mène à des déceptions amoureuses avec son mari et ses deux amants Rodolphe et Léon. Elle fini ruinée, rongée de désespoir et d’ennuie. Elle se suicide laissant derrière elle un mari qui mourra d'amour pour elle ainsi qu'une petite fille, Berthe.

qu’il y ait une fenêtre représente plusieurs passages importants du roman où Emma veut s’évader du réel. Lorsqu’elle est au bal et qu’elle veut rêver, je cite, « Emma mit un châle sur ses épaules, ouvrit la fenêtre et rêva » (p.87). Ou encore lorsque Léon s’en va, « Mme Bovary avait ouvert sa fenêtre sur le jardin, et elle regardait les nuages » (p.154) Flaubert Madame Bovary J’ai choisi cette toile de Fragonard car nous pouvons repérer sur celle-ci une jeune femme qui lit. Ce

descriptions des portraits de ses personnages « typiques », dominés par une passion violente = monomanie (le paternalisme du Père Goriot, la criminalité de Vautrin, la vertu de Madame de Mortsauf). Leur physique est à l’image du mental (Vautrin est roux). Balzac brosse ainsi des portraits de personnages qui lui ressemblent, à la destinée souvent tragique. Même s’il se pose en narrateur omniscient, démiurge dans ses romans. Analyse d’un personnage de Balzac : Lecture d’un portrait de Vautrin et

personnalités locales, Homais, pharmacien progressiste et athée, le curé Bournisien, Léon Dupuis, clerc de notaire, Rodolphe Boulanger, gentilhomme campagnard. La naissance dune fille la distrait un peu, mais bientôt Emma cède aux avances de Rodolphe. Elle veut s'enfuir avec son amant qui, lâche, l'abandonne; Emma croit en mourir, traverse d'abord une crise de mysticisme, puis plus tard, au théâtre de Rouen, revoit Léon, revenu de Paris. Elle devient très vite sa maîtresse, lors d'une promenade dans

établissements) *M. Léon Dupuis (clerc chez maître Guillaumin, 2e habité du Lion d’or, loge chez M. Homais) *M. Rodolphe Boulanger (propriétaire de la Huchette, homme à femmes, 1er amant d’Emma) *M. Lheureux, le marchand d’étoffes (accule E. à la ruine en lui faisant signer beaucoup de billets de change) *M. Bournisien, le curé d’Yonville *Berthe, la petite fille d’Emma et Charles + la nourrice : la mère Rollet (intermédiaire dans les échanges épistolaires entre Emma et Léon) *Maître Guillaumin :