Portrait Miette

Warens par la lettre de Rousseau 3) Exaltation de la femme - Description de Madame de Warens : « pétris de grâces (…) à référence à la vierge Marie (pureté) à image idéale de la femme chez Rousseau - « terrible audience » à fait référence au portrait qu’il s’était imaginé de Mme de Warens MAIS il est surpris par sa beauté, retournement ! à Il vient se convertir au catholicisme chez Madame de Warens mais il se convertit à l’amour - « Eh mon enfant ! » à lien maternel instauré entre Rousseau et

Le personnage de roman est un être de papier au cœur du récit. Pour le représenter, l’auteur utilise le portrait, qu’il soit physique, moral, social ou en action. Dans le cadre de notre objet d’étude « le roman et ses personnages », nous allons nous demander quel rôle jouent les portraits dans notre lecture des romans. Les descriptions des personnages sont-elles pertinentes, intéressantes et nécessaires, ou au contraire inutiles comme le prétendent certains ? Dans un premier temps, nous verrons

| | | | | |Paul Gauguin (1848-1903) Portrait de l'artiste au Christ jaune | | |(1890, 1891) ; | |

fonctionnement et les enjeux de l'incipit. Ainsi, j'expliquerais d'abord la valeur informative du passage, puis le système de narration mis en place afin de comprendre comment l'amorce de l'histoire s'accompagne d'une réflexion sur l'art. I- Un portrait construit à travers un jeu complexe de regards Nicolas Poussin rencontre Frenhofer et le décrit comme un homme d'apparence aisé mais qui est avant tout un artiste peintre vu par un apprenti dans le domaine . On remarque Nicolas Poussin,

La Joconde, Louvre Portrait de Lisa Gherardini, mariée en 1495 avec Franciso del Gicondo, un marchand de soie et très riche. Il commande à Léonard le portrait de sa femme, mais ne lui livrera jamais et l'emporte en France, où il sera racheté. Elle est derrière une loggia, une balustrade. Il y a avait deux colonnettes, dont on voyait le fut, mais le tableau a été raccourci en large. On voit tout de même les bases des colonnettes. Elle est en extérieur. La composition évoque une pyramide, avec

et ont suivi des mouvements où les impressions sont figuratives et la trace du pinceau, visible. D’autres artistes cherchent à reproduire exactement ce qui semble réel mais qui ne l’est pas. Nous allons nous pencher principalement sur l’étude de portraits de groupe afin de donner des exemples de scènes de la vie courante. Dans un premier temps, nous nous intéresserons principalement à une œuvre ancienne réalisée par le peintre Peter Paul Rubens. Nous analyserons la confrontation entre la réalité dans

impunie. Dans cet exposé que nous allons vous présenter, nous étudierons les personnages féminins de la pièce. Le développement va se faire en trois parties, tout d'abord, le portrait physique, et moral des personnages, puis ce qu'elles représentent, et pour finir, le lien qu'elles ont avec Dom Juan. I- Le portrait des personnages > Done Elvire Done Elvire est une femme noble, c'est la seule femme de classe sociale élevée dans la pièce que Dom Juan va séduire. Élevée au couvent, Dom Juan

notoriété en peignant des caricatures qu'il exposa dans le magasin de fournitures de dessin avec lequel Eugène Boudin travaillait à l'époque. Finalement Boudin convainquit le jeune Monet, d'abord réticent, de peindre avec lui en plein air. [pic] Portrait d’Eugène Boudin Sa famille n'était pas opposée à ce qu'il devint peintre, mais ses idées indépendantes, sa critique de la peinture académique et son refus de suivre une bonne Ecole d'Art provoquèrent des disputes répétées au sein de sa famille

évier et un four avec une cafetière dessus qui sont tous les deux peints a la même couleur qui est le rose. En arrière plan je peux voir une fenêtre avec un pot de rose et deux oranges posées sur le rebord. A droite du frigidaire je peux voir le portrait d’une femme. Au dessus de la cuisinière il y a un mur qui a l’air d’être fait avec du carrelage bleu. À travers la fenêtre on peut apercevoir un ciel bleu sans nuage avec un clocher et une prairie verte. C’est dans une organisation très ordonnée

Goya. Ils ont exprimé l’humanité et les profondeurs de la psychologie par des portraits dont la présence équivaut sur la toile, à travers une « écriture » qui exclut tout artifice, à celle d’un être réel. Souvent, le public, sans forcément aimer, est sensible, il croit « comprendre » parce qu’il identifie clairement les éléments figuratifs ; pourrait-on dire que, par facilité, il reste en surface de l’histoire ? Portrait d’Oswolt Krel (panneau central du triptyque du même nom) Albrech Dürer – 1499