Portrait Moral Et Physiquer

Incipit de Bel-Ami [1880], Maupassant L’Incipit est l’introduction, le 1er chapitre. Ce passage dresse le portrait du personnage de Georges Duroy. I La présentation de G.Duroy A) Portrait physique Joli garçon, moustache (dandysme, virilité). Portrait en mouvement car vb d’action B) Portrait moral Séducteur, calculateur, ambitieux, actif… présenté en focalisation interne C) Statut Social Lexique : sous officier, militaire / lexique du dénuement : situation précaire

est présentée à la cour d'Henri II pour la première fois, comme le lecteur. Son portrait s'inspire du roman héroïque et de la préciosité mais relève du roman psychologique par l'importance accordée au portrait moral et surtout à l'analyse à laquelle se livre Mme de la Fayette pour expliquer les vertus dont est dotée son héroïne. IV – Commentaire littéraire. I. Un portrait élogieux. A) La perfection physique et morale. L’auteur fait de son héroïne une incarnation de la perfection en lui dotant

une aristocrate, valeur : vertue ; honneur. (Onomastique: étude des noms), nom portrait, Candide (ds la vrai vie hasard.. dans les romans non, donne des informations). Les noms des personnages peuvent avoir des conotations, Ex : Rastiniac, fait penser à sa grande volonté de réussir. Eugène, bien né, « programmé pour réussir ». Emma Bovary, Aima → rêve d'amour, Bo → réalité campagnarde. 3-Portrait physique et moral : Physionomie, fausse science qui consiste à interpreter les traits du visage

de lui-même aux autres mondains du milieu de la cour dans lequel il évolue. LECTURE DU TEXTE. I. Un portrait 
 
 - Un portrait
 Le portrait n'est pas porté sur le physique : le physique du personnage est vague.
 Le personnage est à la mode mais La Bruyère ne nous parle pas de sa tenue vestimentaire => ce n'est pas l'aspect extérieur qui est important dans le portrait.
 C'est surtout un portrait moral : une éthopée (= Figure de pensée qui a pour objet la peinture des mœurs et du caractère d'un personnage)

LL1 : L’apparition à la cours de Mlle de Chartres Introduction : La 1er moitié du 17ème siècle, le classicisme, voit paraitre de très long roman avec de nombreux rebondissement et des personnages très idéalisés comme L’astrée d’Honorée d’Urfé en 12 volumes. Ces pastorales ou romans héroïques et précieux finissent par lasser le public quand Madame de La Fayette fait paraitre anonymement en 1678 une courte nouvelle historique. Elle invente une nouvelle manière

Don Juan. 1. La critique de la société 1. La peinture de la société : - Emploi d’un présent de l’indicatif ambiguë, à la fois présent d’actualité (cf “maintenant” et plus loin “aujourd’hui”), créant alors une opposition avec un passé jugé plus moral, où l’hypocrisie ne régnait pas (satire de l’époque) mais aussi prenant la résonance d’un présent de vérité générale, valable éternellement : cf “C’est un art de qui l’imposture est toujours respectée” ou “l’hypocrisie est un vice privilégié...”, d’où

Juan. 1. La critique de la société 1. La peinture de la société : - Emploi d’un présent de l’indicatif ambiguë, à la fois présent d’actualité (cf “maintenant” et plus loin “aujourd’hui”), créant alors une opposition avec un passé jugé plus moral, où l’hypocrisie ne régnait pas (satire de l’époque) mais aussi prenant la résonance d’un présent de vérité générale, valable éternellement : cf “C’est un art de qui l’imposture est toujours respectée” ou “l’hypocrisie est un vice privilégié...”, d’où

intresserons au projet de Don Juan. 1. La critique de la socit 1. La peinture de la socit - Emploi dun prsent de lindicatif ambigu, la fois prsent dactualit (cf maintenant et plus loin aujourdhui), crant alors une opposition avec un pass jug plus moral, o lhypocrisie ne rgnait pas (satire de lpoque) mais aussi prenant la rsonance dun prsent de vrit gnrale, valable ternellement cf Cest un art de qui limposture est toujours respecte ou lhypocrisie est un vice privilgi..., do enracinement de ce vice

lessciences. Le français est confirmé comme la langue des grands écrivains (Molière, Corneille…) C'est le Grand Siècle. Statut et point de vue du narrateur Justification par le texte Le point de vue du narrateur varie, dans l’ensemble du roman le portrait de l'héroïne et pris en charge par un narrateur omniscient (verbes à la troisième personne ; le narrateur connaît les pensées et le passé de tous les personnages et s’efface derrière le récit)., ce n’est pas un personnage de l’histoire, le récit

Situation de l’extrait : Balzac fait le portrait physique et moral de Madame Grandet, mère d’Eugénie, description précise. Problématique : En quoi peut-on dire que Balzac fait de Madame Grandet un portrait contrasté et surprenant ? I.UN PHYSIQUE DISGRACIEUX 1.Une grande laideur ·Imparfait de description, champ lexical du corps -> Balzac fait une description physique ·Accumulation : « sèche, maigre, gauche, lente » -> Balzac veut renforcer le portrait péjoratif de Madame Grandet. ·Répétition