Portrait Moral Eugénie Grandet

l’histoire le roman, cette littérature qui, de siècle en siècle, in­cruste d’immortels diamants la couronne poétique des pays où se cultivent les lettres. Il y mettait l’esprit des anciens temps, il y réunissait à la fois le drame, le dialogue, le portrait, le paysage, la description ; il y faisait entrer le merveilleux et le vrai, ces éléments de l’épopée, il y faisait coudoyer la poésie par la fami­liarité des plus humbles langages. Mais, ayant moins imaginé un système que trouvé sa manière dans

 Rousseau se détermine ainsi à ne plus se laisser ébranler dans ses  résolutions et se refuse à toute nouvelle idée. Il en conclut donc qu’il ne suit pas le précepte de  Solon, préférant préserver sa tranquillité d’esprit. QUATRIÈME PROMENADE S’appuyant sur les œuvres morales de Plutarque (écrivain grec, vers 50-125) et sur quelque méchan- ceté déguisée d’un de ses ennemis, Rousseau décide de consacrer sa quatrième promenade à « [s’] examiner sur le mensonge » (p. 76). Si  le souvenir cuisant d’un cruel mensonge de jeunesse l’a 

réalisme. À commencer par « Gobseck » (1831), en passant par « La Peau de Chagrin » (1831) et « Louis Lambert » (1832) les tendances réalistes prennent de la vigueure et repoussent peu à peu celles romantiques pour triompher sur ces dernières dans « Eugénie Grandet » (1833), premier roman réaliste de BALZAC. Ensuite BALZAC publie « Le Père Goriot » (1834 à1835), « Le Lys dans la Vallée » (1835 à 1836). À cette époque leur auteur songe à grouper ses scènes et études en un ensemble organisé qui serait une

de roman ...................................................................................................... p. 27 Séquence 1 – La construction du personnage : « l’entrée en scène du héros » du XVIIe au XXe siècle ..... p. 31 Séquence 2 – Le portrait dans les romans du XVIIe au XXe siècle ....................................................................... p. 44 Séquence 3 – De la rencontre amoureuse à la séparation dans les romans du XVIIe au XXe siècle .......... p. 57 Séquence 4 – Les

profond de Léon”, de la promenade romantique “au bord de la Rieulle”, une rêverie amoureuse qui s'attache aux détails vestimentraires pour remplacer un échange plus sensuel = dilatation du temps pour cet abandon des deux personnages à un adultère moral. “La rivière aux bestiaux et la rivière aux amoureux” → scène d'été rédigée dans la 2° quinzaine du mois de décembre 1852, un an après qu'il a terminé les scénarios généraux et d'ensemble. ↓ credo de Flaubert :“Plus je suis dans un

contrôle toutes les étapes de la publication du livre ». A cette époque, les éditeurs sont principalement situés dans le Quartier latin. Sous l’Ancien régime les éditeurs sont contrôlés et ne peuvent pas imprimer des livres « qui portent offense à la morale public et aux mœurs religieux ». En effet les livres comme Madame Bovary de Flaubert et Les Fleurs du Mal de Baudelaire valurent aux auteurs et aux éditeurs une amende, des poursuites et une censure de six poèmes du recueil de Baudelaire.

place des deux portraits le portrait indirect de Derville et le portrait de Chabert dans chacun d’eux : Qui voit ? Quel est le point de vue adopté par le narrateur ? - Relire le second portrait de Chabert p.74 : Qui voit ? Quel est le point de vue adopté ? Séance 9 lecture analytique 3, le portrait du colonel Chabert, page 33 lignes 377 à 436 Voir annexe 5 Organisation, caractéristiques et spécificités du portrait dans le roman Séance 10   lecture cursive comparative : le 2d portrait de Chabert

sociales » de son époque, tout comme Buffon avait idenmie). tifié les espèces zoologiques. Ayant découvert par ses lectures de Walter Scott que le roman pouvait atteindre à une Honoré de Balzac « valeur philosophique », il veut explorer les différentes Portrait par Louis-Auguste Bisson (1842) classes sociales et les individus qui les composent, afin « d'écrire l’histoire oubliée par tant d’historiens, celle des Œuvres principales mœurs » et « faire concurrence à l'état civil ». • La Comédie humaine (cycle

Princesse de Clèves de madame de la Fayette (1678). A l’opposé des romans baroques, l’intrigue y est dépouillée, et vraisemblable, réduite à une seule ligne narrative : il y a une unité d’action qu’on ne trouvait pas jusque là dans le roman. Les portraits du Duc de Nemours et de mademoiselle de Chartres sont à la mesure de la magnificence de la Cour. Tous les traits du personnage contribuent à refléter les traits idéaux d’une personne attachée à la cour prestigieuse de Henri II : « Ce prince était

environ aux ⅩⅩ siècle où la France qui est riche en la culture traditionnelle, n’est pas inerte（不积极）, au contraire, elle guide la tendance du monde, de nombreuses œuvres du Modernisme et du Postmodernisme(后现代主义) se sont distinguées par leur portée morale, leur qualité artistique et esthétique tout en soulignant le charme de la civilisation française. Par exemple, Le Symbolisme(象征主义)， Le Surréalisme（超现实主义）， l’Existentialisme(存在主义)， par hasard（荒诞派）， Le Nouveau Roman（新小说派）. * Le deuxième caractéristique