Portrait Moral Gargantua

agressé par des opposants. Les catégories d’épreuves et de dénouements ont été également répertoriées. La visée du conte est morale et doit permettre aux personnes de la collectivité de trouver une explication (plus ou moins rationnelle) à leurs interrogations, ou de comprendre les origines et les règles dominantes de la société dans laquelle elles vivent. Cette portée morale encourage malgré tout à l’action et non à la passivité et au fatalisme. Le conte est un genre littéraire très ancien. Les contes

­Passages des 3 propositions subordonnées en début des 3 premières strophes à des propositions  principales en début des 2 dernières strophes  3) ​ Dernière strophe presque exclusivement que des monosyllabes et disyllabes → pour traduire la crise du  poète  4) ​ Fusion physique/moral ​ "ainsi que", les cloches sont comparées à des esprits déchaînés    II­PAYSAGE MORBIDE ET SOUFFRANCE DU POETE    A­Enfermement et morbidité    1) Un univers clos  ­Champ lexical du cachot: barreaux, prison, couvercle, cachot  ­Horizon limité, bouché par la couleur noire ("jour noir") 

La lecture de romans, par l’évasion qu’elle suscite, peut être assimilée à une « pause », un moment de bien-être, une échappatoire ans les moments difficiles. Certains auteurs ont étudié le phénomène de la lecture et ses effets et ont dressé les portraits de lecteurs dans leurs romans : Dai Sijie, dans Balzac et la petite tailleuse chinoise, démontre le pouvoir de la lecture de romans occidentaux sur trois adolescents pendant la Révolution Culturelle chinoise ; Primo Levi évoque brièvement dans Si

peinture sans relief » Dans le figaro de rousseau « qu’on éloigne les petits enfants voici les glaneuses de millet qui passent, derrière ces trois glaneuses ses silhouettes dans l’horizon plombé les pique… » En 1852, il y a une enquête politique et morale sur Millet. Celle-ci a été favorable à Millet car il ne fait pas partie de partie politique mais c’est sa bestialité envers la peinture qui dérange. Noherkerke « c’est de la peinture de démocrate, de ces hommes qui ne changent pas de linges qui veulent

d'une morale chrétienne légère, loin des lourdeurs ecclésiastiques. Ses critiques et ses expressions crues, proches parfois de la pornographie, lui vaudront la mise à l'Index Librorum Prohibitorum[1]. Il partage avec le protestantisme la critique de la scolastique[2] et du monachisme [3], mais le réformateur religieux Jean Calvin s'en prend à lui de manière très virulente[4], l'associant aux libertins et aux « pourceaux ». Les romans de Rabelais : Chacun de ces romans : Pantagruel, Gargantua, le Tiers-Livre

La princesse de Clèves 1678 Introduction - Ce que donne l’épopée dans le monde moderne. Monde du doute (comme dans Gargantua). Monde de la cour, monde de magnificences, alors qu’en réalité Mme de La Fayette va s’attacher à démolir cela, et mettre en scène les mensonges et les faiblesses de ce monde qu’elle semble célébrer. « Démolition du héros» Paul Benichou. (à propos de Molière et Racine) = Pessimisme fondamental, ambition moraliste qui s’inscrit dans cette démolition. Etre moraliste

dehors de la société : I) L’Eglise dans la société féodale 1) Les fidèles lui doivent la dîme. 2) Possession de bcp de terre  Abbés et évêque= Seigneur 3) Richesse Grande famille cherche à y placer l’un des leurs 4) Valeur morale médiocre 5) Evêques et Abbés nommés par les seigneurs et deviennent leur vassaux  : Investiture laïques (serment de fidélité) 6) Manque de formation Décadence du clergé séculier et régulier II) Réaction et réforme :

« Quand le désir leur venait » Impératif : « Fais ce que tu voudras » → implique un conseil 2- La volonté divine de tous les habitants (l.5 à 10)Onomastique de Thélème : Paix entre ces gens = volonté de dieuChamps lexical de la morale : « bien né […] bien instruits […] honnête […] aiguillon […] vertueux […] honneur […] noble » → volonté de ne pas pécherPériphrase : « Un instinct […] vertueux » → remplace la volonté divine 3- Une société harmonieuse (l.11

la peinture. Guillaume Budé (heleniste) forme l'institution du Collège Royal (1530) Ou Collège des trois langues (le latin, le grec, l'hebreu). François Ier, a favorisé l'expansion de l'humanisme et sa protection, il a protégé Fraçois Rabelais (Gargantua (1534), Pantagruel (1532)). Margerite de Navarre va également promouvoir l'idéologie et la tolérance religieuse. François I a promu l'art, La Loire (Amboise, Blois, Fontainebleau). L'image de François Ier dans le château de Chambord est la salamandre

12-13). Le genre épistolaire permet ensuite de vagabonder d’un thème à l’autre sans être soumis à un canevas d’intrigue trop rigide : il peut ainsi s’autoriser des « digressions » (l. 17) traitant de « philosophie » (l. 24), de « politique » et de « morale » (l. 25). Enfin, le roman par lettres est constitué de fragments dont la cohérence ne doit pas nécessairement être évidente : c’est ce que suggère la célèbre formule « lier le tout par une chaîne secrète et, en quelque façon, inconnue » (l. 25-26)