Portrait Physique De Rastignac

B- L’art du portrait. Si les femmes se reconnaissent si bien dans les œuvres de Balzac, c’est sans doute parce qu’il peint des héroïnes proches de la réalité tant sur le plan moral que plastique. Le portrait, à cet égard, devient une donnée essentielle des écrits balzaciens. La peinture physique d’un personnage, dans le roman, est un des moyens qui permettent d’assurer sa présence au sein du récit. Balzac est passé maître dans l’art de la description de ses héros

Père Goriot, texte 1 (p.95) Rastignac (R) : rupture entre son nom (nom d’une vieille famille noble) et sa fortune puisqu’il est pauvre -> ce que la noblesse rejette Il vient à la pension Vauquer pour étudier « Grâce à sa tante de Marcillac, le pauvre étudiant avait été bien reçu dans cette maison, sans connaître l'étandue de cette faveur » -> point de vue omniscient du narrateur -> accès aux pensées de R et des persos « ! » -> traduis les pensées de R = monologue Sujet postérieur au récit = passé

Gobseck (1830), La femme de trente ans (1831), Le Cononel Chabert, Le Curé de Tours (1832) inaugurent la catégorie « roman de mœurs » de son œuvre. Dans cette même voie, il approfondit encore le réalisme de ses peintres et dessine de puissants portraits de types humains. Avec Eugénie Grandet (1833) et Le Père Goriot (1834-1835). Il offre deux chefsd’œuvre consécutifs, plus tard élevés au rang de classiques. Il reprend en décembre 1835 la revue « La chronique de Paris » dont la publication est

ces comportements. Le père Goriot trace le portrait tragique d’un vieux délaissé et méconnu, seul face à ses tristesses et ses maux à cause des caprices et des besoins matériels interminables de ses filles. Ces dernières le met dans une situation de malheur au point de provoquer son déclin final. Le début de l’intrigue et le déclenchement des événements Depuis l’incipit de l’œuvre, le père Goriot subit une transformation radicale surtout au niveau physique. Au bout de quelques années, il a changé d’étages

un chevalier qui l'a insultée pour pouvoir venger l’offense. => Il arrive chez un vavasseur qui l’accueil pour une étape et lui fournis un équipement de combat. => Il voit Énide, la fille du vavasseur => Pause descriptive d'Énide => portrait type qui repose sur des lieux communs : topoï/topos => descriptif emprunté aux arts poétiques Topos: élément de récit que l'on retrouve sous une forme plus ou moins identique dans le cadre d'une même situation narrative. Ex: déclarations

Goriot, de Balzac, après l’évocation des deux pensionnaires de la maison Vauquer, Victorine Tailleferre et Eugène de Rastignac, le narrateur fait le portrait initial d’un dernier résident : M. Vautrin. Ce portrait nous montre un homme assez mystérieux, dont l'aura sur les autres est importante, un homme à double visage. A R G 1 Tout d’abord, nous voyons que Balzac, dans ce portrait, il nous présente un personnage de la démesure. Dès la première lecture nous pouvons très bien constater que le narrateur

Comédie Humaine. Dans l’extrait étudié, Balzac nous peint le portrait de l’énigmatique Vautrin, criminel endurci qui se cache de la police. Vautrin a droit a un véritable portrait : il est rédigé suivant un ordre précis. Dans un premier temps, il serait utile d’étudier le portrait typique de Vautrin en se focalisant sur les traits physiques et les caractères moraux. Puis, dans un second temps, il serait intéressant d’étudier le portrait mystérieux du personnage et enfin, il serait bon de voir comment

chrétienne,…) La structure du mélodrame suit un système rigide ; c´est un genre très codé. On trouve des types de personnages fixes avec très peu de variants. Les personnages sont divisés en bons et méchants et sont reconnus en scène par sa beauté physique. La musique est aussi importante. On marque l´entrée de chaque personnage, on distingue avec ça qui est bon ou méchant. L´orchestre est sur la fiche (scénario). Normalement, il y a une structure fixe : il y a une persécution du mauvais et l´héros

Le Père Goriot I-Portrait moral. 1.Description Goriot est un commerçant bourgeois intelligent et joyeux à qui le commerce a réussi.Il a un instinct paternel très fort envers ses filles pour lesquelles il est prêt à tout sacrifier même sa fortune et est encore très attaché à sa femme décédée.C'est un homme naif et aveuglé par l'amour qu'il porte à ses filles qui celui ci n'y est peu rendu ou que par intêret il est aussi à de nombreuses reprise humilié par les pensionnaires de la pension

les vicissitudes de l’existence d’un individu ou d’une classe sociale »4. C’est dans ce sens qu’il convient de comprendre le commentaire du narrateur décrivant la première visite du château de la 23 Français comtesse de Beauseant effectuée par Rastignac : il « n’avait donc pas encore pénétré dans les appartements de madame Beauséant ; il allait donc voir pour la première fois les merveilles de cette élégance personnelle qui trahit l’âme et les mœurs d’une femme de distinction »5. Soulignant au passage