Portrait Physique Elogieux

la rue entre « l’hôtellerie d’Amiens » et le « coche d’Arras ». Lors de cette rencontre, les personnes disparaissent autour d’eux. Il ne reste plus que Manon. Cela entraine une atmosphère romanesque. La rencontre est donc complète : l'esprit et le physique sont dévoilés entre les deux personnages • Des indices de temporalités : récit écrit à la première personne du singulier. C’est donc un récit subjectif : on a ici le point de vue de des Grieux. • Le passé simple donne une impression de rapidité

Commentaire littéraire I- La stratégie du séducteur Idées Procédés Dom Juan, homme qui agit, qui parle, stratégie de la parole, il pose des questions, mène le dialogue. Phrases interrogatives - Questionnement, intérêt - Volume des répliques Portrait élogieux, flatterie, valorisation => Compliments Adjectifs mélioratifs : « la belle » (r.5), « belle personne », « yeux pénétrants » (r.13), « agréable », « jolie taille », « mignon », « beaux », « appétissantes », « charmante personne » (r.15) Réduction

compilation de plusieurs récits portant sur le sujet (annales et chroniques). Elles sont tenues pour les années 741 jusqu'à 829. En revanche les informations sur la vie privée de Charlemagne semblent apporter des informations inédites comme sur le physique de Charlemagne (PAGE 67). On apprend aussi de nouvelles choses sur ces loisirs (PAGE 69). Pour établir son œuvre on sait qu’Eginhard à lu et consulter plusieurs autres ouvrages. Tout d’abord la vie des douze césars de Suétone. C’est un regroupement

Celui-ci et Alceste se rendent l’un l’autre chez Célimène pour la conquérir. Oronte est donc le rival d’Alceste. Ici, Oronte vient présenter à Alceste un poème qu’il a écrit et lui demande son jugement car il est connu pour sa sincérité. I- Portrait en action : le langage révèle des caractères. A. Les personnages Molière fait d’Oronte est un poète flatteur et vaniteux. Par le ver 35 « j’ai fait » il se place avec la première personne du singulier en sujet d’un verbe d’action pour insister

du mariage, ne comprend pas du tout ce qui trouve sa maîtresse. Le ton monte ... Nous verrons tout d'abord quel est le rôle de Lisette dans cette scène, puis quelles sont les craintes de Silvia et enfin, la place dans son argumentation de trois portraits de mauvais maris. I. Le rôle de Lisette A. L'expression du conformisme 1. Une servante surprise ● Forte ponctuation et exclamations "Quoi [...] qu'il vous destine ?" l.1, "que voulez-vous de plus ?" l.7, "Voilà une pensée bien hétéroclite"

innocent, et, de nos jours, naïf, qui ne sait pas, sous l’emprise des autres). Il est précisé qu’il n’as pas réellement de racines. Le premier paragraphe lui est entièrement consacré, Voltaire lui accorde donc une grande importance. Le portrait est, en définitive, élogieux : on montre une beauté extérieure et intérieure.   b) Le baron : sa présentation se fait en petites étapes successives (on note la succession de phrases brèves) faisant le tour de sa situation et de ses biens. La présentation insiste

- toile de fond : « place taillée » « mesquines pelouses » « square » « les arbres et les fleurs » - arrière plan : tableau de foule « tous les bourgeois poussifs » - 1er plan : évocation de détails notamment à travers le portrait de personnages pris individuellement, isolé de la foule par l'acuité du regard du poète. Le regard part du lointain et du général pour se focaliser sur des points précis. B - Un diptyque : Cette foule se divise en deux groupes humains bien

plan. - toile de fond : « place taillée » « mesquines pelouses » « square » « les arbres et les fleurs » - arrière plan : tableau de foule « tous les bourgeois poussifs » - 1er plan : évocation de détails notamment à travers le portrait de personnages pris individuellement, isolés de la foule par l'acuité du regard du poète. Le regard part du lointain et du général pour se focaliser sur des points précis. B - Un diptyque : Cette foule se divise en deux groupes humains bien distincts

inquiet vers 377. Ensuite, l’articulation de la description autour de ce champ lexical alimente l’idée que Néron n’aime pas sa captive pour ce qu’elle est, mais pour l’idée qu’il a d’elle, pour son image. Néron en dresse d’ailleurs un portrait physique élogieux, autour du champ lexical de la beauté, terme mis en valeur par une majuscule v.9, « belle » v.8, « Beauté » v.9, « douceurs » v.13. Ainsi, le lecteur à l’impression de se trouver devant un tableau. Cette idée de tableau est également nourrie

Misérables par le récit de l’agonie de l’ancien forçat racheté, Jean Valjean, qui adresse ses dernières paroles à Cosette, sa fille adoptive, et à son mari. [Annonce des axes] Cette scène d’adieu est chargée d’émotions et de grandeur [I]. Derrière le portrait de son héros mourant, véritable modèle d’humanité, Hugo transmet au lecteur sa vision du monde [II]. I. Une scène chargée d’émotions1. Le décor et les personnages •Le lecteur est plongé dans une chambre mortuaire familiale et intime. Cette intimité