Portrait Physique Elogieux

Lecture analytique : La princesse de Clèves Intro : Comment ce texte fait-il le portrait physique et moral du personnage principal ? Un portrait esquissé 1)Le personnage est désigné par « Une beauté à la cour »l1, « beauté parfaite »l3, « une des plus grandes héritières de France »l4, «  sa fille »l12, « Mlle de Chartes »l27 . Elle est décrite par un vocabulaire mélioratif, élogieux qui met en avant sa beauté physique, mais aussi son rang prestigieux et la place importante qu’a sa famille dans

Commentaire de texte – La princesse de Clèves (portrait) , Madame de La Fayette Introduction : La princesse de Clèves est un roman historique d’analyse écrit par Madame de La Fayette en 1678. Il est fondateur du roman moderne car c’est la première fois que l’héroïne possède une épaisseur psychologique complexe. L’histoire se déroule à la cour d’Henri II, puis de François II au 16ème siècle. Le texte qui nous intéresse se situe au début du roman. Il décrit la première apparition de Melle de Chartres

le problème religieux. Problématique : Dans quelle mesure le regard étranger du locuteur permet-il la satire de la France et de ses gouverneurs sans annuler le registre plaisant de la lettre ? Axes : • Le regard d’un étranger naïf • Un tableau peu élogieux de la France I. Le regard d’un étranger naïf 1. Un étranger à Paris : [réponse à la question 1] Plusieurs indices d’énonciation nous renseignent sur l’identité de l’expéditeur de la lettre. Le locuteur et le destinataire sont identifiés, Rica écrit

l'héroïne est présentée à la cour d'Henri II pour la première fois, comme le lecteur. Son portrait s'inspire du roman héroïque et de la préciosité mais relève du roman psychologique par l'importance accordée au portrait moral et surtout à l'analyse à laquelle se livre Mme de la Fayette pour expliquer les vertus dont est dotée son héroïne. IV – Commentaire littéraire. I. Un portrait élogieux. A) La perfection physique et morale. L’auteur fait de son héroïne une incarnation de la perfection en lui dotant

1 : Le portrait de Mlle de chartresLECTURE LINEAIRE 1 : LE PORTRAIT DE MLLE DE CHARTRES Page 21 « Il parut alors une beauté […] pleins de grâce et de charmes. » Première partie : ligne 224 à 229 : L’apparition à la Cour Deuxième partie : ligne 229 à 250 : Une éducation vertueuse Troisième partie : ligne 251 à 261 : Un portrait physique INTRODUCTION La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette se démarque par sa brièveté et son ancrage historique proche. L’oeuvre, publiée anonymement, connaît

effet, s’étonnent naïvement de ce que les français trouvent normal. II) Le portrait des canniblas 1) Leur ouverture d’esprit a) Une réflexion organisée b) Le sens de la politesse c) Un discours critique 2) Leur conception de la hiérarchie a) Une supériorité physique b) Peu de privilèges c) Une société fondée sur la justice 3) Leur bonheur * En dressant un portrait élogieux des cannibales, Montaigne cherche à mettre en garde ses contemporains et les européens

cortège d'exception que sont les grands de royaume , l'héroïne occupe une place éminente : son portrait clôt l'exposition et marque le début du récit. On découvre le personnage de Mlle de Chartres avant qu'elle ne devienne la Princesse de Clèves, elle a 16 ans et elle fait son entrée à la cours . Un travail préalable sur la structure du texte met en évidence la place réduite des éléments traditionnels du portrait (début et fin uniquement) et au contraire la place central est tenue par l'éducation qu'elle

pleine renaissance, et à travers ce portrait idéalisé de Mlle de Chartres, la mère nous donne un vision négative du monde hypocrite, superficiel et dangereux qu'est la cour. Axes :I – Un portrait élogieux de Mlle de Chartres A-Un portrait hyperbolique -procédé hyperbolique très présent (l.2 ; 4-5 ; 24 ; 25 ; 26 ; 28 ; 29-30) Cette beauté et cette perfect° provoque la surprise chez celui qui la regarde (le Vidame). Il atteste de sa beauté. B- Un portrait néanmoins classique Mlle de C

concrétiser II) Hommage aux Grands Hommes Dans les Regrets , Du Bellay met en scène une véritable galerie de portraits élogieux; que ce soit des écrivains, amis, ses protecteurs ou des personnes royales. Ce projet lui a été inspiré par deux grands modèles italiens : Paolo Giovio et Janus Vitalis. Ce dernier s’est d’ailleurs, lui-même, inspiré des éloges dites « portraits » de l’historien Giovo. Son imitation lui permet d’accéder au titre de « poète-peintre des éloges ». A la manière de ces

Julien Sorel, et Mme de Rênal. Julien Sorel est un jeune homme modeste et timide mais cultivé et ambitieux, mais étant plus particulièrement sensible « extrêmement pâle et qui venait de pleurer » (ligne 3). De plus, les deux traits dominants du portrait sont la beauté et la fragilité. La beauté du teint se remarque à la ligne 5 « le teint de ce petit garçon était si blanc », et la fragilité se retrouve à la ligne 6 « ce pouvait être une jeune fille déguisé », à la ligne 9 « pauvre créature » et