Portrait Physique Et Moral De Baudu

Jacques JAZZAR 3ème B Français [pic] Portrait physique et moral d’ Octave Mouret [pic] Albert Préjean (Octave Mouret) dans « Au bonheur des Dames » film d’André Cayatte 1943 Octave Mouret, directeur du « Bonheur des Dames », était séduisant, beau, charmant, toujours heureux, ce qui lui permettait d’avoir du succès auprès des femmes. Son histoire d’amour le rend encore plus sympathique. Il était grand, la peau blanche, « la barbe soignée […] des yeux couleur de vieil or, d’une douceur

lors de l'arrivée des nouveautés à Paris. On peut donc situer ce roman aux environs du XIXème siècles. Ensuite, les personnages représentent tous les milieux sociaux de l'époque. Ils sont réalistes grâce aux descriptions de leur portrait physique et moral, comme l'oncle Baudu définit comme un vieilhomme, gros et simple : cela renforce l'illusion du vrai. Dans un second temps on constate que les personnages sont réalistes aussi grâce à leur paroles. Les dialogues retranscrivent des registres de langues

car le modèle, en tenue de promenade est de ¾ dos, et donc le spectateur ne peut quasiment pas la voir. On a l’impression qu’elle va nous quitter, ce qui est assez inhabituel. Par ailleurs, pas de décor, pas de narration, ce n’est pas vraiment un portrait… On est très loin des tableaux académiques de l’époque, qui représentent la femme en naïade ou en Vénus idéalisées, comme le font Cabanel ou Gérôme, par exemple. Si bien que l’on comprend que le sujet du tableau est véritablement la robe portée par

tenue de promenade est de ¾ dos, et donc le spectateur ne peut quasiment pas la voir. On a l’impression qu’elle va nous quitter, ce qui est assez inhabituel. Par ailleurs, pas de décor, pas de narration, ce n’est pas vraiment un portrait… On est très loin des tableaux académiques de l’époque, qui représentent la femme en naïade ou en Vénus idéalisées, comme le font Cabanel ou Gérôme, par exemple. Si bien que l’on comprend que le sujet du tableau est véritablement la robe

de l'arrivée des nouveautés à Paris. On peut donc situer ce roman aux environs du XIXème siècles. Ensuite, les personnages représentent tous les milieux sociaux de l'époque. Ils sont réalistes grâce aux descriptions de leur portrait physique et moral, comme l'oncle Baudu définit comme un vieil homme, gros et simple : cela renforce l'illusion du vrai. Dans un second temps on constate que les personnages sont réalistes aussi grâce à leur paroles. Les dialogues retranscrivent des registres de langues

de données, notamment informatiques et télématiques Récit à partir d’un récit donné avec changement de point de vue. Extraits Programme de 3è Problèmes rencontrés : Une œuvre longue, complexe (foisonnement de personnages, intrigues emmêlées Ŕ Baudu, Bourras, Robineau…, le second Empire, ses révolutions : commerciale, sociale et le nouvel urbanisme de Paris), militante (mouvement naturaliste) Le niveau de la classe est très moyen avec un tiers d’élèves très petits lecteurs et quelques bons voire

données, notamment informatiques et télématiques Récit à partir d’un récit donné avec changement de point de vue. Extraits Programme de 3è Problèmes rencontrés : Une œuvre longue, complexe (foisonnement de personnages, intrigues emmêlées Ŕ Baudu, Bourras, Robineau…, le second Empire, ses révolutions : commerciale, sociale et le nouvel urbanisme de Paris), militante (mouvement naturaliste) Le niveau de la classe est très moyen avec un tiers d’élèves très petits lecteurs et quelques bons

Nouveauté – une nouvelle foi c) L’absorption de l’individu dans la communauté relgieuse - la disparition dans la masse d’un Grand Magasin 3. La machine inférnale vs. satisfation d’un désir éternel a) La mort de Genviève et la déclin de la famille Baudu b) Les droguées du shopping – la rage de l’achat, la pousuite des femmes enceintes et la cleptomanie c) Comment interpréter la fin du roman ? 4. En guise de conclusion 5. Figurations 6. Bibliographie 7. Table des matières Introduction

troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise. - Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean ! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres, tout en noir, achevant les vieux vêtements

troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta net de surprise. – Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean ! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres, tout en noir, achevant les vieux vêtements