Portrait élogieux Et Portrait Critique

à lui fait une amorce de l'intrigue par le biais des portraits de deux personnages antithétiques. (Premièrement, nous étudierons les portraits des deux personnages, l'un critique, l'autre élogieux, puis l'omniprésence du narrateur & même la présence de l'auteur, & enfin comment Balzac, dans le texte proposé nous présente une amorce de l'intrigue.) I- Deux portraits masculins opposés Le portrait de Canalis est l'un des portraits les plus complets de l'œuvre. Sa description physique

protagonistes du texte. II / Un reportage subverti par l'ironie. 2.1/ La valorisation du regard porté par le narrateur sur l'étranger. Portrait valorisant du quaker au niveau lexical : adjectif mélioratifs, laudatifs (élogieux) : « noble » l.9; « l'air ouvert » l.15. Au niveau stylistique : l'oxymore « vieillard frais » l.7. Personne qui ne commet pas d'excès. Portrait moral : son vêtement laisse transparaître sa simplicité de moeurs : « un habit sans plis... et sans bouton sur les manches » l.11. Pas

conséquent » Ce conte parait en 1759 en Angleterre, France et Genève. A la base sans auteur ce conte était traduit par le « Docteur Ralph » (Voltaire). Ce conte est un conte philosophique optimiste, c’est une philosophie que Voltaire avait déjà critiqué dans un poème « Désastre sur Lisbonne » : Le 1ier Novembre 1955 : Tremblements de terre sur Lisbonne. Dans cet ouvrage il attaque les poètes optimistes comme : -Leibniz -Wolf -Pope Voltaire montrera que tout va pour le mal. Chaque chapitre de

connaît un véritable succès, après l’exposition, il la détruit. Les œuvres de cette période sont marquées par l'influence d'Ingres et de Dehodencq dans les portraits, de Gustave Courbet (particulièrement dans les natures mortes), mais aussi d'Eugène Delacroix, à qui il emprunte certains thèmes (les femmes orientales, par exemple). En 1865, Portrait de William Sisley et Soir d’été sont acceptés par le Salon, ce qui est plutôt de bon augure. Un modèle important à cette époque pour lui est sa maîtresse

les portraits, de Gustave Courbet (particulièrement dans les natures mortes), mais aussi d'Eugène Delacroix, à qui il emprunte certains thèmes (les femmes orientales, par exemple). En 1865, Portait de William Sisley et Soir d’été sont acceptés par le Salon, ce qui est plutôt de bon augure. Un modèle important à cette époque pour lui est sa maîtresse Lise Tréhot : c'est elle qui figure dans le tableau Lise à l'ombrelle (1867) qui figura au salon 1868, et qui suscita un commentaire très élogieux de

de la société monastique et une critique de la Sorbonne. ------------------------------------------------- PLAN : I. ------------------------------------------------- Satyre des moines II. ------------------------------------------------- Frère Jean, un contre-ex. à suivre ? III. ------------------------------------------------- L’abbaye de Thélème ou l’anti-abbaye. 1. Satyre des moines Satyre traditionnelle, Rabelais reprend les critiques habituelles faites aux moines (L’ivrognerie

les contes q * Tout est exceptionnel, il y a une accumulation de formules superlatives et comparatives « un des plus puissant », « les plus douces », « encore plus » etc.. Tout est sous le signe de la richesse et de la beauté, les termes sont élogieux. Le lecteur est entrainé dans un univers merveilleux où tout va pour le mieux. * Reprend les stéréotypes du conte : le lieu (château), un monde peu connu (la Westphalie est un lieu un peu reculé en Allemagne, où les gens voyageaient très peu

monopolise la parole du vers 12 au vers 30. Après son monologue le savant lui n’a pas droit à la parole « L’homme lettré se tut »(V.31). Il y a inégalité de paroles entre eux. C’est parce qu’enfaite le pauvre savant ne daigne même pas répondre aux critiques du riche, il préfère le laisser dans sa bêtise. B) Un ignare humilié, un savant honorable « L’un était pauvre, mais habile » « L’autre riche, mais ignorant » (V.3-4). Ces deux vers forment un parallélisme qui souligne le contraste, l'opposition

cette richesse et cette diversité du texte et du vocabulaire qu’elle propose. L’auteur utilise des tonalités multiples pour narrer ou décrire. Par exemple, elle brosse, avec un ton critique mais jamais cynique, le portrait de sa propre mère. Par contre, c’est avec un ton élogieux et enthousiaste qu’elle érige le portrait de sa grand-mère Victoire. Maryse Condé interpelle de temps à autres son lecteur en lui rappelant ses intentions, ses intérêts à écrire cet ouvrage mais aussi pour exprimer ses propres

qui utilise la stratégie de la parole, il pose des questions et mène le dialogue. Nous pouvons le voir car il a comme procédés des phrases interrogatives, et il fait de longue réplique. Il utilise aussi le langage du compliments en faisant des portrait élogieux, de la flatterie, et il valorise. Pour cela il utilise des adjectifs mélioratifs "la belle" (r.5) "jolie taille", "mignon", "beaux" (r.15). Il y a une réduction de l'écart social, plan d'égalité (aristocrate/paysanne) et flatte sa vanité et son