Portraits Péjoratif

tellement importante qu’elle en devient ironique. Tout comme l’hyperbole « leurs efforts opiniâtres » (l.11) se rapportant à « certaines petites prières ou formules magiques » (l.5-6), que l’auteur renforce d’autant plus en lui donnant un sens péjoratif qui ôte toute valeur à la religion. Aussi le verbe « s’imagine » (l.12-13), la litote « une petite pièce de monnaie » (l.13) et la connexion temporelle « d’un seul coup » (l.14) ne sont autres que des marques d’ironie de la part de l’auteur. L’énumération

cantiques et des chansons naïves qu'il apprenait aux enfants presque chaque soir.» (p239,l.464). Pour Maria ces cantiques sont des traditions du pays très importantes et ont une valeur propre à leur pays. Encore une fois, on démontre un certain côté péjoratif puisqu'il y a une certaine perception négative des villes anglaises: « Dans les villes des États, même si l'on apprenait aux enfants ces chansons là, surment ils auraient vite fait de les oubliers!» (p.239,l.468). Une fois de plus, on dévalorise

oxymore. [Effet produit ?] Montesquieu, lui, utilise les Troglodytes pour faire passer son message : il dépeint une vision dépréciative du peuple ennemi des Troglodytes d’où l’expression « peuple sauvage » où nous notons la présence de l’adjectif péjoratif « sauvage ». [Effet produit ?] Damilaville, au contraire, utilise l’argumentation directe. Ainsi, on retrouve le champ lexical de la destruction : « sacrifice », « dépravation », « plaies ». Ces trois textes abordent aussi les conséquences de

tension important du personnage contre sa sœur : « Tu n’es qu’une femme, une femme sans fortune, une mère célibataire, une fille-mère » (l.10-12). Ainsi cet argument sur les conditions économiques et sociales de Mathilde, qui est explicitement rendu péjoratif par le « qu’ » va permettre au lecteur de comprendre rapidement, sans aucun autre élément, qu’il est spectateur d’une querelle qui s’annonce relativement violente. De plus, d’après Adrien cette situation sociale ne lui permet pas de revendiquer

« heureux » « véritable ») ce qui montre la marque de l’auteur. La subjectivité de l’auteur continue sur les descriptions. L’utilisation d’un oxymore dans « Le plus délicieux des monstres » entre un adjectif mélioratif « délicieux » avec un nom péjoratif « monstres » crée à la fois un mélange de crainte et de fascination. Et l’adverbe « plus » montre en valeur son point de vue. Cette opposition se trouve au début du texte mais également vers la fin, « monstrueuse merveille » qui est toujours sur

premier vers, La Fontaine nous le présente doté de « peu de cervelle ». Avide d’autonomie, La Fontaine nous présente un rat « soul » (adjectif soûl) excédé par son quotidien et ne souhaitant qu’une chose : « abandonner son trou ». • « Trou » : péjoratif, symbolise un lieu isolé de tout, à l’écart. En outre, vers 3, visualisation en crescendo qui souligne la routine : « le champs, le grain, la javelle » La Fontaine propose au lecteur la vision d’un rat sur le point de quitter pour la première

tableau, carte postale ou vue panoramique d’un lieu. Tâche : Ecouter une description d’un lieu pour retrouver les éléments en plus sur le dessin qui accompagne le texte. 3)O.D.L - Etude d’un champ lexical du thème dominant ( voc mélioratif et péjoratif) - le GP à valeur d’adjectif. - La relative par qui /que - L’adj qualificatif et le participe passé (accord). SEQUENCE 2 : CARACTERISER UN LIEU 4) Ecriture : Production balisée d’un énoncé descriptif. / Voici l’ordre de la description d’un

perdu ''comme si j'avais su où j'allais''. Nous observons que en Contraste avec Céline, la description de la ville dans les autres textes met plutôt en avant les caractéristiques négatives de celle-ci, en effet le lexique utilisé est majoritairement péjoratif, des adjectifs tel que ''jaunâtre'', ''humide'' ainsi que ''pourris'' sont utilisés pour décrire les différents éléments et mettre en avant la saleté citadine. L'aspect bruyant et étouffant de celle-ci est notamment mis en avant par le rythme ternaire

qui consiste à dire le contraire de ce que l’on pense Parallélisme : reprise de la même construction syntaxique Anaphrase : répétition en tête de phrase de vers ou de proposition Occurrence : nb de fois où un mot est employé dans un texte Péjoratif : qui a une connotation négative Intertextualité : réemploi d’une œuvre ou d’une expression en référence culturelle Antithèse : figure de style qui reprend le mot de sens opposé (ex : « punir » vs « corriger » Euphémisme : expression qui vise

les rouages de la société parisienne puis le danger de la verité Métaphore filé : « Quoique j’aie bien lu dans ce livre du monde, il y avait des pages qui cependant m’étaient inconnues » : le monde est comparé à un livre. Vocabulaire péjoratif du monde : « une réunion de dupes et de fripons » « ce monde-ci » , « ce labyrinthe » : cette société est caractérisée de labyrinthe : lieu de difficulté où l’on peut se perdre. Parallélisme : « Vous sonderez combien est profonde la corruption