Portées Et Limites Du Modèle Néoclassique De Croissance équilibrée

Synthèse – Economie du développement – M1   INTRODUCTION  :  LES  TENDANCES  LONGUES  DE  LA  CROISSANCE ..................................2   1-­  La  croissance  :  un  phénomène  récent  et  inégal......................................................................... 3   2-­  La  dynamique  des  inégalités  de  développement ...................................................................... 9   CHAPITRE

ce qui est produit par les entreprises donne naissance à la distribution de revenus aux ménages (en échange de leur travail), revenus qui sont dépensés par ceux-ci qui consomment ce qui est produit par … les entreprises. Ainsi dans une économie équilibrée on aura : production (P) = revenu (R ou Y) = dépense (D) Comment déterminer l'égalité épargne-investissement ? La notion d'investissement et celle de l'épargne sont des notions clés en économie.A partir du schéma précédent on peut ajouter

de l’échange, la spécialisation. - La théorie de la spécialisation s’inscrit pleinement dans la vision du développement de la croissance économique. Smith fait l’essor de l’échange marchand car c’est un facteur de dynamisme de la croissance économique. Cette dynamique s’étend pour concerner premièrement les marchés régionaux puis les marchés internationaux. Cette croissance économique s’appuis sur une accumulation de capital. Elle produit d’abord ces effets dans la manufacture, puis à des retombés

l’autonomie économique nationale par la création d’une capacité industrielle de substitution aux importations et de transformation pour l’exportation hors du continent des produits agricoles et miniers. Cette stratégie a progressivement montré ses limites à partir des années 1970, conduisant à sa profonde remise en cause dans les années 1980. Aujourd’hui, la problématique de l’industrialisation africaine se pose dans un contexte très différent, celui de l’internationalisation et de la mondialisation

... 91 II. MACROÉCONOMIE (LES AGRÉGATS ET LES MARCHÉS) Chapitre 6 – Monnaie, banque et marchés financiers .......................... 111 Chapitre 7 – Économie du travail ..................................................... 129 Chapitre 8 – Croissance économique et développement ....................... 152 Chapitre 9 – Commerce international et mondialisation ....................... 169 Chapitre 10 – Crises et cycles.......................................................... 189 III. LA SCIENCE

économie.= tendance a vouloir rapprocher l’éco des sciences dure, sciences calculable. L’économie s’éloigne d’une science humaine avec les classiques. Ricardo va bp plus utiliser la rigueur scientifique, mais le vrai basculement va survenir avec les néoclassiques. Nous voyons donc un renouvellement des pensées au niveau de l’économie. Classique : raisonnement au therme de classes sociales, l’éco relève fondamentalement d’un antagoniste entre differentes classes. On voit emerger de nouvelles classes

...... 91 II. MACROÉCONOMIE (LES AGRÉGATS ET LES MARCHÉS) Chapitre 6 – Monnaie, banque et marchés financiers .......................... 111 Chapitre 7 – Économie du travail ..................................................... 129 Chapitre 8 – Croissance économique et développement ....................... 152 Chapitre 9 – Commerce international et mondialisation ....................... 169 Chapitre 10 – Crises et cycles.......................................................... 189 III. LA SCIENCE

Elle comptabilise les flux de biens, de services, de revenus, de transferts de capitaux, financiers. Elle est donc influencée aussi bien par les ménages, entreprises ou par l’État. Par construction comptable, la balance des paiements est toujours équilibrée, l’idée est de dire que tout échange ne peut avoir lieu que s’il est financé. Ce qui peut ne pas être équilibré sont les sous-ensembles de la balance : échanges de bien, avec le solde qui peut être déficitaire. Si je constate cela, nécessairement

d’insolvabilité avec une dépréciation profonde de l’ensemble du cadre macroéconomique. Au milieu des années 1980, le secteur industriel accusa alors des signes d’essoufflement et de ralentissement de sa croissance. C’est ainsi qu’après la phase d’accélération entre 1973 et 1978, le taux de croissance du secteur industriel s’est ralenti et est passé de 4,4% à 4,0% entre 1978 et 1987 pour ensuite chuter jusqu’à 3,5% entre 1987 et 1990. Pour juguler cette contre performance, le gouvernement dans

SELECTION DES FIRMES PAR LE COMMERCE INTERNATIONAL INTRODUCTION I. CONCURRENCE MONOPOLISTIQUE, HETEROGENEITE DES FIRMES ET COMMERCE INTERNATIONAL: UN CADRE DE MOD ELISATION A. LE MODELE EN ECONOMIE FERMEE DEMONTAGNA B. EXTENSION AU CAS DE DEUX PAYS OUVERTS AUX ECHANGES 49 49 52 52 58 II. PROPRIETES D'EQUILIBRE DU MODELE ET CARACTERISATION DE L'INFLUENCE DU COMMERCE INTERNATIONAL 66 A. ETUDE DU CAS OU LES DEUX PAYS ONT LE MEME NIVEAU TECHNOLOGIQUE B. ETUDE DU CAS GENERAL 1. Caractérisation de