Positioning Of Nutella

Century was the century of manufacturer brands. Consumers moved from no-name products […] to branded products from global manufacturers led by Coca-Cola, Disney […] Private Label are growing rapidly in the first decade of the twenty first century.” (Kumar & Steenkamp (2007) pp 1-5) In the United Kingdom in the food market a product sold on two is a private label brand or own retailer’s brand. Europe has the biggest market for private label in terms of volume, in front of the United States (PLMA

Rapport Final Tcha House Majeure : International Project Management Cours : MG 527 - Practice of Advanced Project Management Professeur : Jens Blumrodt Responsable d’entreprise : Rachel Collet Introduction Dans le cadre de notre projet, nous avons prospecté différentes entreprises appartenant à des secteurs d’activité variés. Suite à cela, cinq managers ont accepté de collaborer avec nous, sur une idée de projet définie en commun. Nous nous sommes concertés de façon à étudier le potentiel

réputation: • Ex: Whirlpool en Europe 86 • La technologie: La menace d’entrants potentiels Les barrières des ressources et compétences • Brevet et secret • Nécessité de trouver une technologie alternative • Les ressources rares: • Nutella et les noisettes • Les nez du parfum • L’expérience • Dépend du cycle de vie des produits • …et des similarités d’exploitation entre produits 87 La menace d’entrants potentiels Les tactiques de dissuasion • La réputation d’agressivité:

aux besoins utilitaires (1995: 405): “... felt needs can be classified into two broad categories based on the benefits expected through purchase and use: (1) utilitarian needs and (2) hedonic/experiential needs. Utilitarian needs lead to consideration of objective, functional product attributes or benefits, whereas hedonic/experiential needs encompass subjective responses, pleasures, daydreams, and aesthetic considerations”. Pour ces auteurs, une décision d’achat fait appel à deux types de besoins:

dans les économies occidentales, le marketing relationnel a donc de bonnes raisons d’être. Il ne s’agit donc plus, pour une entreprise, de chercher prioritairement à maximiser ses parts de marchés, mais bien ses parts de clients (share of the wallet en banque, share of the stomach en alimentation, par exemple). « Une bonne relation vaut mieux qu’une vente. » Elle est loin l’idée du marketing opérationnel classique où l’objectif ultime était la vente même si celle-ci se fait au détriment de la confiance

dans les économies occidentales, le marketing relationnel a donc de bonnes raisons d’être. Il ne s’agit donc plus, pour une entreprise, de chercher prioritairement à maximiser ses parts de marchés, mais bien ses parts de clients (share of the wallet en banque, share of the stomach en alimentation, par exemple). « Une bonne relation vaut mieux qu’une vente. » Elle est loin l’idée du marketing opérationnel classique où l’objectif ultime était la vente même si celle-ci se fait au détriment de la confiance