Postface Amour

d’une pyramide d’étapes. Ces étapes, on pour but de purifier notre vision et de nous élever vers le vrai, l’unique et l’absolu. L’amour ne serait donc pas seulement le désir de quelqu’un mais le désir de connaissance, le désir de l’ascension vers un amour éternelle et absolu. Elle serait le guide vers le beau en soi. Elle est décrite dans le Banquet comme un être intermédiaire, se nomment Éros. Il se trouve entre l’ignorance et la connaissance car il n’est ni un dieu et ni ignorant. Alors, on peut donc

pleurer.   Je suis mutilée par ce changement Déboussolée par ton absence Attristée par cet évènement Cela ne fait plus de sens.   Jusqu’à la mort vous sépare ; Ces mots étaient la promesse Qui vous unissait en une seule pièce Avant que votre amour disparaisse.   J’aimerais tellement Que tout redevienne comme avant Lorsque toi et maman Marchiez main à main de l’avant.   Tout à commencer lorsque cette résidence a fait son entrée J’essayais d’éviter ces mauvaises pensées Et de me dire

transformés. 2°) Transformation de Des Grieux : A partir de la ligne 13, on va remarquer une progression rapide : l.13 : « enflammé » l.15 : il s’avance « je m’avançais » puis il parle l.17 : « je lui demandai » Ensuite, il lui fait comprendre son amour : l.22 : « je lui parlai d’une manière qui lui fit comprendre mes sentiments » puis il combat la décision des parents. l.26 : « je combattis la cruelle intention de ces parents » Enfin, il lui promet de lui sacrifier sa vie pour elle. l.36 : «

A la céleste Charité. En vain je parlerais le langage des Anges. En vain, mon Dieu, de tes louanges Je remplirais tout l'Univers : Sans amour, ma gloire n'égale Que la gloire de la cymbale, Qui d'un vain bruit frappe les airs. Que sert à mon esprit de percer les abîmes Des mystères les plus sublimes, Et de lire dans l'avenir ? Sans amour, ma science est vaine, Comme le songe, dont à peine Il reste un léger souvenir. Que me sert que ma Foi transporte les montagnes ? Que dans

(182o) qui se révéle très décevante, à plusieurs romans d’aventures (suivant la mode d’alors), historiques (il imite Walter Scott), Les Chouans par exemple qu’il qualifiera plus tard de « cochonnerie littéraire ». 1822 : Il rencontre son premier amour, Laure de Berny, de 2o ans son aînée, dont il devient l’amant, il la considère avec beaucoup de tendresse et elle est très maternelle avec lui. Il dit d’elle qu’elle la fait grandir et mûrir et qu’elle a fait de lui l’homme qui fut par la suite, l’homme

Victor Hugo « vieille chanson du jeune temps » Présentation : Les contemplation sont la plus grand œuvre lyrique d’Hugo, elle comprend de nombreux poèmes consacrés à la mort de sa fille Léopoldine. Ce poème est composé de 9 quatrins d’hectasyllabes en rime croisées et l’oppose avec humour la naïveté et la timidité d’un jeune homme de 16 ans face à une jeune fille plus âgée lors d’une promenade dans la nature Centre d’intérêt :L’évocation sur un ton élégiaque / nostalgique mais en même temps

quitter. C'est étrange de penser qu'on peux tomber amoureux et ne plus s'aimer , que l'amour peut se transformer en haine , et que se sont les gens qui vous on le plus aimé qui vous feront le plus de mal... Certains disent qu'on reconnaît le grand amour lorsqu'on s'aperçoit que le seul être au monde qui pourrait vous consoler est justement celui qui vous a fait mal. Le temps peut permettre d'effacer certaines douleurs, certains visages, certains sons, certains regards et peut être même certains

reine son amour pour elle. Depuis le début de la pièce, nous sommes au courant que Ruy Blas est profondément amoureux de la reine, et ce n’est qu’à l’acte III qu’il trouve le courage de le lui admettre : «Je suis un malheureux qui vous aime d’amour. Hélas! Je pense à vous comme l’aveugle au jour.» (vers 1215-1216) Il lui avoue son amour et se surprend lui-même. Il est soulagé de pouvoir enfin arrêter de la fuir et de se retenir. Il réalise ce qu’il voulait accomplir depuis longtemps. Son amour pour la

MESSAGERS ET SERVITEURS. La scène se passe dans diverses parties de l'empire romain. } } amis } } de Pompée. ACTE PREMIER SCÈNE I Alexandrie.—Un appartement du palais de Cléopâtre. Entrent DÉMÉTRIUS ET PHILON. PHILON.—En vérité, ce fol amour de notre général passe la mesure. Ses beaux yeux, qu'on voyait, au milieu de ses légions rangées en bataille, étinceler, comme ceux de Mars armé, maintenant tournent leurs regards, fixent leur attention sur un front basané. Son coeur de guerrier, qui

commence à aimer ma liberté en détestant les constants appels de mon père qui craignait ma vie à Mexique. J´ai lui ait toujours dit cette phrase : “La peur n´évite pas le danger”, mais il n´arrêtait pas jamais. La peur de mon père se justifiait par son amour paternel et par la réalité d´un Mexique avec beaucoup d´insécurité, mais la projection de ces peurs et les histoires qu´il me racontait toujours, me limitaient énormément. Alors, c´est à Paris que je peux vivre avec un grande liberté sans la doleur