Potiche Film

et Alex suivent le camion puis le vole et l’amène dans une planque pour libérer Gargantua qui est coincé dedans. En libérant Gargantua ils en profitent pour analyser le véhicule suspect et trouve le cadavre du propriétaire du camion enroulé dans un film plastique; il s’agissait de Oscar Huevo. Ils se débarrassèrent du cadavre en le plaçant la nuit dans une benne de pick-up appartenant à Sadix un employé de Oscar Huevo. En analysant la voiture, Alex trouve la puce qui avait servi a triché. Alex et

les codes traditionnel du film noir IV/ CONCLUSION I/ INTRODUCTION Avant que Roman Polanski ne prenne connaissance de l'existence du projet Chinatown, Robert Towne, scénariste avait déjà travaillé 2 ans sur le scenario. Cette histoire prenante mais trop confuse et trop longue  fut retravaillé par le réalisateur qui supprima la moitié des personnages originels. Quand le tournage commença le scenario définitif n'était même pas achevé. Un différent sur la fin du film opposait Polanski et Robert

EDM : Film institutionnel Résumé La société Mandragore Films, dont les statuts ont été déposés récemment, cherche à s’introduire sur le marché du film institutionnel en proposant aux entreprises et autres collectivités ses services de production de films à bas prix. Le film institutionnel low cost est un produit novateur, qui nécessite une étude complète du marché actuel. De ce fait, ce dossier est composé de deux parties bien distinctes : une étude de la concurrence, puis une étude des clients

George Eastman met au point le film en celluloïd. Cette invention permet de stocker plusieurs images dans l’appareil photo et de dépasser le procédé de la plaque de verre. D’autre part, George Eastman fonda la célèbre société KODAK. Cette société fut la première à produire des appareils photos d’une utilisation simplifiée. Il instaura également un système qui n’obligeait plus les personnes à développer leurs photographies. Effectivement, lorsqu’une bobine de film était achevée il suffisait de renvoyer

Note d'Intention de Last Action Hero Danny Madigan , un jeune garçon fan du héros de film d'action Jack Slater à des problèmes existentiel , il va être plongé grâce à un ticket magique dans l'un des films de son héros. Cet œuvre est réflexive , elle m'a permit de réfléchir sur l'impact des héros sur le spectateur , plus précisément sur les jeunes spectateur. Le film traite de trois point de vue , celui du spectateur , celui du réalisateur et , celui du personnage ; non pas de l'acteur , mais

we can listen to a music while thinking it’s part of the movie, but Clyde turns it off and we understand that the music is not part of the shooting but part of the action. 2nd- In the scene of the cinema, they are watching a cabaret movie. In the film there is a music. It’s a mise en abyme of the music of the Bonnie and Clyde movie with the help of the cabaret movie. 3rd- The western music ought to be associated with the country scenes but it’s associated to the urnban scenes. II_ The codes

l'aventure cinématographique commence. Durant sa période à Keystone, Chaplin s'essaie à l'écriture et à la réalisation de certains des films dans lesquels il joue. En 1915 il signe pour les studios Essanay, avant de partir l'année suivante pour la Mutual Film Corporation. En 1918, Chaplin commence à produire ses propres films, au départ à travers la First National, puis avec la United Artists, société qu'il co-fonda le 17 avril 1919 avec Mary Pickford, Douglas Fairbanks et D. W. Griffith. Moments importants:

La vérité sur le film Les pages de notre amour LE film qui comble tous les grands idéaux féminins, celui qui vient toucher chaque grand sensible. La meilleure romance de tous les temps, à mon avis, Les pages de notre amour. Les pages de notre amour, est un très bon film romantique, qui vient vraiment satisfaire notre image idéalisée de l’amour. Selon moi, malgré la beauté de l’histoire, le film n’a été fait que dans un but commercial, il vient uniquement nourrir le besoin de croire au grand amour

l'Age d'Or d'Hollywood, dans les années 30 et 40, les films sortaient des studios comme les voitures Ford des chaînes d'assemblage. Ils n'étaient pas absolument identiques, mais ils appliquaient pour la plupart une formule éprouvée : western, comédie, film noir, comédie musicale, dessin animé etc. Il est remarquable qu'autant de films de qualité aient pu voir le jour dans un contexte aussi rigide. Mais le cinéma restait avant tout une affaire commerciale, et pour être rentable l'industrie fonctionnait

Les Sentiers de la gloire © ARD/Degeto Un film américain de Stanley Kubrick (Paths of Glory, 1957, noir et blanc, VOSTF), diffusé dans le cadre de la soirée Thema « Stanley Kubrick, une vie en images ». Scénario : Stanley Kubrick, Carter Willingham et Jim Thompson, d'après le roman de Humphrey Cobb Directeur de la photographie : George Krause Musique : Gerald Fried Avec Kirk Douglas (le colonel Dax), Adolphe Menjou (le général Broulard), Ralph Meeker (Paris), George Macready