Potlatch

effectuait l’échange de produits nécessaires aux besoins primaires, cet échange était procédé sous deux formes, soit par le potlatch ou le troc. Peu après, le marché n’étant plus un lieu de générosité et de modestie, a commencé à se globaliser. Dans ce compte rendu, j’expliquerais qu’est-ce que le marché capitaliste globalisé fait à l’État et à la culture. À la période du troc et du potlatch, l’échange demandait un certain effort physique et engendrait une perte de temps, d’où survient la création de la

action censée lui apporter plus tard la récompense du paradis. L’argent donné au pauvre est donc au fond prêté à Dieu, qui le rendra avec usure (« Dieu te le rendra au centuple ») sous la forme du bonheur éternel au paradis. 2. Le potlatch (le pouvoir de donner) Le potlatch est un phénomène observé en particulier chez les indiens Kwakiutl, au nord-ouest de l’Amérique du Nord. Il consiste en un concours de destruction de ses propres biens. Celui qui gagne ce concours symbolique est élu chef de la tribu

et substitution symbolique à Emilie pour lui faire abandonner sa vengeance. Il sort de sa colère : apprend aux autres à sortir de leur colère. Il gagne plan perso (amitié Cinna, Emilie fille) et plan pro (aimé par les romains). Comme c'est un potlatch, Cinna et Emilie doivent rendre le don. Auguste donne Emilie à Cinna comme c'était elle le prix de la mort d'Auguste CONCLUSION : Avec le « soyons ami Cinna », Auguste résous la tragédie en deux mots.

attente. Pour illustrer ce phénomène de don/contre-don, il existe un comportement culturel pratiquée autant dans les tribus du monde amérindiens (les Amériques) que dans de nombreuses ethnies de l'océan pacifique jusqu'aux Indes. Il s'agit du potlatch. Plus précisément, c'est un système de dons/contre-dons dans le cadre d'échanges non marchands. Une personne offre à une autre un objet en fonction de l'importance qu'elle accorde à cet objet (importance évaluée personnellement) ; l'autre personne

la chrématistique : quand l'argent est à la fois le point de départ et la fin de l'échange (spéculation). Il y a alors danger car l'accumulation illimitée de richesses se fait au détriment d'un véritable rapport à l'autre et à soi-même. B- Le potlatch (M. Mauss). L'échange est un moyen pour une tribu de montrer sa munificence, sa supériorité par rapport aux autres tribus. On n'échange pas pour assurer sa subsistance, mais pour témoigner de sa puissance politique. L'enjeu de l'échange est politique

des personnes qui étaient autre fois opposées de se réunir face au même objectif. Ainsi le conflit renforce la conscience du groupe et marque la séparation avec d'autres groupes. Certaines sociétés amérindiennes s'organisent autour du conflit. Le potlatch en est un exemple. C'est un conflit de prestige par lequel plusieurs tribus cherchent à établir la hiérarchie entre les groupes et leurs représentants. Il prend la forme de cérémonies pendant lesquelles s'échangent des richesses, de la nourriture

britannique : Le potlatch : la tribu fait un don à une autre, cette dernière est obligée de faire un don plus cher , le 3ème encore plus cher etc jusqu’au moment où la tribu ne pouvait plus elle avait deux solutions sot elle renonçait et elle était bannie soit le groupe se suicidaient. Oui une société se définie par le type d’échange qu’elle pratique mais seulement dans un système primitif. Vers 1930-1940 l’EST de la nouvelle Guinée, les îles trobiaud système à l’envers du potlatch : la kula on est

attend de lui qui nous pousse à être généreux. Sénèque reconnaît cependant que si l'attente d'une réciprocité ne guide pas l'acte généreux ici, celui qui reçoit à une dette ( Ici on pouvait reprendre les analyses sur l'idée de don, contre-don, le potlatch de Mauss)et s'en acquittera en priant les Dieux, de reconnaître notre vertu Mais cette reconnaissance n'est que de prestige, symbolique, pourrait-on dire. Dès lors en donnant à l'étranger , on donne gratuitement et seule la satisfaction de la bonne

issus). En donnant 20 % de leur temps à ses ingénieurs, Google se donne la possibilité de s'approprier les idées, inventions qu'ils auraient autrement gardées pour eux. Ce qu'elle donne d'un côté, elle le récupère de l'autre. On est dans la logique du potlatch, du don contre don qu'a analysé Marcel Mauss ou, plutôt, dans sa variante dite du salaire d'efficience qu'a mise en évidence George Akerlof au début des années 1980. Comme beaucoup d'économistes, ce lauréat du Prix Nobel était surpris de voir les

compétitions de cadeaux. Le clan qui dépense le plus est le plus honorable. Le don est, par définition, supposé être gratuit et volontaire, cependant, dans ce principe particulier, il est obligatoire voire indispensable. Le clan qui ne participe pas au potlatch se voit exclu de la société. Nous pouvons rapprocher ce principe à ce que disait 2000 ans plutôt Aristote dans sa Politique: « celui qui ne peut vivre en société, et dont l'indépendance n'a pas de besoins, celui-là ne saurait jamais être membre de