Poucette

poèmes il parle de la nature : « la bohème »,  « le cabaret vert », « le dormeur du val ». Et la nature est libre, elle fait ce qu’elle veut, elle n’obéit pas à des règles. « La bohème » nous montre son besoin de liberté. Il se compare au « Petit Poucet » qui lui avait jeté des cailloux pour trouver sa route, lui il la recherche. Il nous parle d’espace avec son environnement. « J’allais sous le ciel » « Mon auberge était la grande ourse » « De rosée à mon front » Le ciel est beaucoup invoqué

ses parents lui passent tous ses caprices : « Elle était une enfant pourrie-gâtée. Toute sa vie, elle a joui d'une totale impunité. » dira sa grande sœur à sa biographe, Marie-Dominique Lelièvre. « Adulte, gâtée par le succès, elle restera un Petit Poucet androgyne, qui sème des trous de cigarettes partout sur son passage » écrit Tristan Savin (magazine Lire, février 2008). Son enfance se déroule à Paris dans le 17e arrondissement, au 167 boulevard Malesherbes. Quelques souvenirs d'école lui reviendront

qui la marqué. Il décrit les chemins parmis les hautes herbes, bordés de tournesols. Il raconte ensuite comment les tournesols sont arrivés sur ces chemins. C'est une histoire qui a marqué Jim, et pour ma part elle me rappelle l'histoire du Petit poucet. Jim se sent sur la route de la liberté lorsque il longe ces chemins. Le passage qui suit est une longue description, avec plein de détails sur la nature et le décor avec les champsde maïs, les couleurs, les feuilles brunes.. Il raconte ses escapades

noyé dans son sang qui se fige (Baudelaire) c) Qui donc a fait pleurer les saules riverains (Apollinaire) d) Le monde ressemblait à ce miroir maudit (Aragon) e) Je me souviens encore de la joie effrayée que j’éprouvai (Chateaubriand) f) Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course / Des rimes (Rimbaud) g) Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ. Elle allait à grands pas moissonnant et fauchant, Noir squelette laissant passer le crépuscule. (Victor Hugo, Les Contemplations) h)

dynamiter, parodier oxymore « paletot idéal » → ça ne veut pas rien dire Rimbaud devient poète il raconte sa métamorphose 2. autoportrait attendu et inattendu voc de la marche « souliers » → occupation marché hyperbole « petit poucet » → image du marcheur et du révolté voc de l'espace « route » « course » « sous le ciel » → espace démesuré 1er tercet :début de la transformation : la marche est le moment où il encaisse les idées. Enfant il s'associe à la figure

philosophique. Candide Lieux imaginaires. « un royaume , une foret » Lieu réel. « Surinam », « Colonie hollandaise » Temps indéterminé. « Il était une fois » Époque contemporaine de l’énonciation XVIIIe siècle Morale. Ordre psychologique ( petit poucet ) et morale (peau d’âne) Références a des réalités économiques ( esclavage + rôle de la religion ) Morale. Il faut s’ouvrir au monde , politique et philosophique ( L’homme ; le bien/le mal ; action possible sur le réel )

unique culotte avait un large trou.
− |Oh! There there! That of magnificent courtship I dreamed! | |Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
 |My only panties had a wide hole. | |Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
−  |Dreamer Petit-Poucet, I shelled in my running | |Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou

 |The rhymes. My inn

Gravure Art lyrique Danse Art rhétorique Art déclamatoire V3 : « Muse… ton féal » = sous les ordres de la Muse → en pleine inspiration. V7 : « rimes » V12 : « rimant » V14 : « pied » = syllabe relatif à la poésie « Petit Poucet » : Jeune A la manière du petit Poucet, il compose. 2ème T : les souliers et les élastiques (lacets) sont par humour comparé à une lyre dont il tire les vers. Rimbaud est l’opposé d’Erato Garçon, jeune, mal habillé, Pauvre MS sur Terre, c’est lui le Poète ! femme

____________________________________________________________________________________________________________________________________ Reprends le conte p 24 jusqu’à tout se referma. Classe les verbes conjugués dans le tableau. Le Petit Poucet, un conte traditionnel dont on se souvient |Les personnages |- - | | |-

devenait idéal ; J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal ; Oh! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! A B B A Rimes embrassées 1/2 Fiche Mémoire 3e Les strophes Mon unique culotte avait un large trou. — Petit Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. — Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou. Nombre de vers : 4 Nom de la strophe : quatrain Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre