Pour les nuls

→ 2  → 2  →  →  → 2 3 Orthogonalité Définition A5 Vecteur normal à une droite Un vecteur normal à une droite δ est un vecteur non nul orthogonal à un vecteur directeur de δ . Théorème A2 Deux vecteurs non nuls sont orthogonaux si et seulement si leur produit scalaire est nul. Autrement dit Corollaire Dans un repère orthonormé (O; i , j ) du plan . u    →  →  → u ⊥ v ⇔ u.v = 0  →   → →  →  →  x    x'  →  et v   deux vecteurs

vecteur −→w non nul, d’affixe z, on a : |z| = k−→w k et arg(z)= ³−→u , −→w ´ à 2π près. Partie A. Restitution organisée de connaissances Prérequis : On sait que si z et z′ sont deux nombres complexes non nuls, alors : arg(zz′)= arg(z)+arg(z′). Soient z et z′ deux nombres complexes non nuls. Démontrer que : arg³ z z′ ´= arg(z)−arg(z′) Partie B On note A et B les points d’affixes respectives −i et 3i. On note f l’application qui, à tout point M du plan, d’affixe z, distinct de A, associe

{broché}, édition Segond 21, collectif Le Coran, Le livre de poche, traduction de Malek Chebel Dieu ou Allah, édition L’œuvre, Jean-Claude Goudeau Les religions expliquées à ma fille, édition Seuil, Roger-Pol Droit La Bible pour les nuls, Eric Denimal Le Coran pour les nuls, Malek Chebel et Sohaib Sultan

Démontrer que a h(x) dx = A. P. M. E. P. Baccalauréat S E XERCICE 2 Commun à tous les candidats 5 points Partie A Soit (un ) la suite définie par son premier terme u0 et, pour tout entier naturel n, par la relation un+1 = aun + b (a et b réels non nuls tels que a = 1). On pose, pour tout entier naturel n, v n = un − b . 1−a 1. Démontrer que, la suite (v n ) est géométrique de raison a. 2. En déduire que si a appartient à l’intervalle ]−1 ; 1[, alors la suite (un ) a pour b limite . 1−a Partie

conditions, être français, et avoir l’âge requis Æ La campagne électorale précède l’élection Æ Les scrutateurs procèdent au dépouillement, ils comptent les suffrages exprimés, les bulletins blancs et nuls. Æ VOTANTS = INSCRITS – ABSTENTION Æ SUFFRAGES EXPRIMES = INSCRITS – (ABSTENTION + BULLETINS NULS + BLANCS) Æ L’élu est désigné à la majorité Æ Les élections se font au suffrage universel direct. Æ Mais les sénateurs sont élus au suffrage universel indirect, élus par un collège de grands électeurs

impulsionnelles dont les échantillons ℎ 𝑘 ne sont pas nuls sur l’intervalle infini 𝑘0 ≤ 𝑘 ≤ +∞ 𝒔 𝒌 =෍ 𝒊=𝟎 𝑵 𝒂𝒊 𝒃𝟎 𝒆(𝒌 − 𝒊) −෍ 𝒋=𝟏 𝑴 𝒃𝒋 𝒃𝟎 𝒔(𝒌 − 𝒋)8Filtres non récursifs Pour ces filtres, tous les coefficients 𝑏𝑖 sont nuls. Ce type de filtres peut être représenté comme le montre la figure

remplit de glands à plus ou moins 4 mètres des enfants. Le premier de chaque équipe court remplir son « panier » de glands et retourne vider ce dernier dans son nid représenté par un gros pot. Si des glands tombent par terre, ils sont considérés comme nuls. Une fois le temps écoulé (deux minutes), l’équipe ayant le plus de glands remporte la manche. Si confusions, fermer le gros pot à l’aide d’un couvercle, et puis déterminer l’espace entre les glands et les couvercles (le pot avec l’espace le moins

6. Quant au '"O", zéro, il est invariable employé dans le sens de : pas un... aucun... ex : "zéro faute grammaticale" mais il prend le pluriel lorsqu'il est considéré comme un nom commun : "vous êtes tous des zéros" sous-entendu, vous êtes tous des nuls !" 7. Lorsque "Millier, million, milliard" sont employés comme des noms communs après vingt et cent, ils doivent être écrits au pluriel. Ex : "cinq cents millions de personnes... cent vingts milliards d'euro* alors que l'on écrira cinq cent mille

appelé domaine de conver- gence. I.1.2 Remarque Comme pour les séries numériques, on peut considérer des séries entières dont le pre- mier terme n’est pas d’indice 0. Pour revenir dans le cadre du cours, on considère que les premiers termes de (an) sont nuls. La convergence des séries numériques ne dépend pas de la valeurs des premiers termes (mais la somme oui !). I.1.3 Rappel Nous allons beaucoup parler de divergence grossière en ce début de chapitre. Rappelons que si (bn) ∈ CN est une suite de complexes

conventions de Lomé et de Cotonou, l’UE accordait des préférences commerciales aux pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) : une grande majorité des produits ACP peuvent entrer sur le marché européen avec des droits de douane réduits ou nuls sans exiger des ACP la moindre réciprocité. Mais à partir de 2000, vu que la situation économique des pays ACP ne s’est pas toujours améliorée, et afin de mieux répondre aux enjeux de la mondialisation qui sont : - l’intégration progressive des