Pour Toi Mon Amour Prévert

(1934) ou Un roi sans divertissement (1947) ou Regain (1930) Giraudoux, La  Guerre  de  Troie  n’aura pas lieu (1935) *Sartre, La Nausée (1938) ou Huis Clos (1944) *Camus, L’Étranger (1942) ou La Peste (1947) Jean Anouilh, Antigone (1944) Jacques Prévert, Paroles (1946) Jean Genet, Les Bonnes (1947) ou Journal du voleur (1949) Raymond Queneau, Exercices de style (1947) ou Zazie dans le métro (1959) ou Les Fleurs bleues (1965) Boris Vian, L’Écume  des  jours (1947) ou L’Herbe  rouge (1950) Eugène

surréalité. Les Surréalistes témoignent leur intérêt pour l'érotisme ; l'amour correspond non seulement à un sentiment mais aussi à une sensation absolue. A ce sujet, on peut préciser que pour Breton il s'agit seulement d'un amour de la femme (il condamne l'homosexualité) alors que Prévert et Queneau défendent le droit à l'homosexualité.D'après les Surréalistes, la femme est médiatrice entre l'homme (et plus particulièrement le poète) et le monde ; l'amour constitue un lieu d'extase et de création poétique

familiale, il se doit de vivre dans la solitude après avoir accepté son sort, puis décède tragiquement. Un autre exemple de héros tragiques est celui de Roméo et Juliette, de Shakespeare. Les deux amants appartenant à la noblesse, ne peuvent vivre leur amour suite à un problème familiale, Roméo doit ensuite partir en exil, les amants vivent dans leur solitude chacun de leur côté. Puis ils meurent tragiquement. La tragédie de Goethe, Faust, montre la fatalité du destin qui frappe le personnage. Ce dernier

plus vache Mais une chose me tourmente C’est que celles de ma fabrication N’ont qu’un rayon d’action De trois mètres cinquante Il y a quelque chose qui cloche là-dedans J’y retourne immédiatement !” Il a bossé pendant des jours Tachant avec amour d’améliorer le modèle Quand il déjeunait avec nous Il dévorait d’un coup sa soupe aux vermicelles On voyait à son air féroce Qu’il tombait sur un os Mais on n’osait rien dire Et puis un soir pendant le repas Voilà Tonton qui soupire et qui s’écrie

Gérard de Nerval, auteur du XIXème,  prend cette poursuite à sa propre connaissance pour thème dans El Desdichado. Le titre signifie malheureux, malchanceux. Le poème regorge d’évocations mythologiques « Et j’ai […] traversé l’Achéron » ; « Suis-je Amour ou Phébus ? », cela connote les rêves et les illusions. Son poème apparaît dans un recueil nommé Chimères, une chimère évoque, premièrement, le monstre à tête de lion, corps de chèvre et queue de dragon crachant du feu mais évoque aussi un projet qui

poésie de Verlaine, forme et pensée, est toute spontanée.[…] Que l'inspiration soit religieuse ou libertine, c'est la même fluidité pure, que le ruisseau roule sur des herbes ou sur du gravier, et sa voix dit toujours la même chanson amoureuse, que son amour rie aux femmes ou aux anges, et c'est presque la même sensualité. […] Sa phrase monte et descend de ton, tout à coup bifurque, s'oublie comme dans une suspension de la pensée distraite, repart, arrive enfin au but que son caprice ne perd pas de vue

est normal que toute a tragédie proviennent du déchirement intérieur qui se crée en eux entre leur devoir politique et leur vie personnelle comme le montre bien la pièce de Corneille, Cinna dont le héros éponyme est déchiré entre son devoir et son amour. L’argumentation 1) Qu’est ce que l’argumentation ? C’est une forme de discours qui vise à obtenir l’adhésion d’un destinataire à une thèse que l’on soutient .La démarche argumentative vise à montrer la justesse d’une opinion. 2) Qu’est-ce

seigneur auquel ils sont souvent attachés. On retrouve les chansons de geste, (comme La Chanson de Roland) qui vante les exploits guerriers de chevaliers fidèles à leur seigneur, ainsi que la littérature courtoise qui met en scène la fin’amor, un « amour parfait » où l’amant se soumet à la dame aimée et exprime ses sentiments avec raffinement. Aux XIVe et XVe siècles, des poètes proposent une , tels les rondeaux de Charles d'Orléans ou les ballades de François Villon. Le Moyen Âge se clôt sur le

en abondance. Les aventures de la table ronde trouvent leur source d'existence dans la femme, dans l'être aimé. On peut penser que ces œuvres ont ouvert à la littérature le monde de l'Amour avec un A majuscule . Chrétien de Troyes oppose déjà cet Amour à la Raison, et c'est ce symbole qui marquera durablement la littérature française. La table ronde La Table ronde en elle-même fut dressée après que Merlin l'Enchanteur eut révélé à Arthur la nécessité de créer une assemblée faite des chevaliers

femme souffre et énonce son désir. En 3 élégies et vingt-quatre sonnets elle lie sensualité et spiritualité. Elle écrit « Le débat de folie d’amour » dans laquelle elle adopte le ton de la confidence en affirmant son droit d’exprimer librement son amour. Pierre de Ronsard (1524-1585) : il écrit  « les odes », « les hymnes », « les discours » et les « Franciade » Joachim du Bellay (1522-1560) : le maître du sonnet rédige « L’olive », « Regrets », « Le poète courtisan » Du Bellay XVIIe