Pourquoi Agir Moralement

sensible au bonheur, simplement cela ne le rend pas du tout légitime moralement. Ni la société ni la Nature ne sont des instances en matière de légiférer la morale. Notre nature nous invite non pas à accomplir nos devoir mais... 3175 Mots13 Pages Peut-on être plus ou moins libre ? l’usage de son libre-arbitre. Cependant être libre est-ce vraiment la simple capacité d’action ou est-ce comprendre pourquoi on agit ? Evidemment il faut agir en fonction du bien. Il faut s’engager dans nos actions et dans

Agir librement est-ce agir sans raison ? Introduction : Agir ce n'est pas simplement s'agiter, c'est avoir une conduite réfléchie pour viser un but précis avec des moyens adaptés. L'auteur d'une action peut donc dire pourquoi il fait ce qu'il fait, justifier ses actes, en donner les raisons. Or, ces raisons, ces motivations ne sont-elles pas des causes qui prouvent un caractère illusoire de la liberté ? Agir librement , est-ce donc agir sans raison, spontanément gratuitement ? Mais une « telle

indépendant de tout contexte particuliers. Le devoir étant universel, chaque sujet est tenu de le faire. Mais n'y a t-il pas des exeptions? Peut-on toujours agir moralement? Dans toutes les circonstances? N'existe t-il pas des cas particuliers qui admetteraient ou non l'immoralité d'une action? Mais qu'est-ce que bien faire? Autrement dit agir moralement? Accomplir son devoir n'est-ce pas une condition nécessaire à la liberté? L'action morale, ne permait-elle pas de se rendre libre? Enfin, n'existe t-il

d'époques. L'éthique, c'est la réflexion sur la morale. La morale dit, par exemple : "il ne faut pas tuer". L'éthique demande : "pourquoi ne faut-il pas tuer ?", "sur quoi est fondé ce précepte en l'homme ?". Et, plus généralement, elle pourra se demander : comment définir une action bonne, qu'est-ce qui fait qu'une action est morale, … ainsi que, pourquoi pas : d'où vient la morale (cf. Nietzsche) ? La morale ne se prononce pas sur ces questions. On peut dire que, alors que l'éthique est philosophique

ou même d'époques.L'éthique, c'est la réflexion sur la morale. La morale dit, par exemple : "il ne faut pas tuer". L'éthique demande : "pourquoi ne faut-il pas tuer ?", "sur quoi est fondé ce précepte en l'homme ?". Et, plus généralement, elle pourra se demander : comment définir une action bonne, qu'est-ce qui fait qu'une action est morale, … ainsi que, pourquoi pas : d'où vient la morale (cf. Nietzsche) ? La morale ne se prononce pas sur ces questions. On peut dire que, alors que l'éthique est philosophique

d'époques. L'éthique, c'est la réflexion sur la morale. La morale dit, par exemple : "il ne faut pas tuer". L'éthique demande : "pourquoi ne faut-il pas tuer ?", "sur quoi est fondé ce précepte en l'homme ?". Et, plus généralement, elle pourra se demander : comment définir une action bonne, qu'est-ce qui fait qu'une action est morale, … ainsi que, pourquoi pas : d'où vient la morale (cf. Nietzsche) ? La morale ne se prononce pas sur ces questions. On peut dire que, alors que l'éthique est philosophique

quotidiennesThèse : La morale doit se situer au centre des préoccupations de l’homme ainsi qu’à l’origine des faits et gestes des individus.Problématique : Pourquoi les hommes ne doivent-ils prendre en compte que la morale lors de leur processus de réflexion, au détriment d’autres facteurs tels que leur bonheur ?Enjeux :1. Enjeu social : Faut-il toujours agir moralement, même si cela veut dire renoncer au bonheur ?1. Enjeu sociétal : Les hommes seraient-ils prêts à renoncer à leur désirs et besoins en faveur du

Série S : Peut-on agir moralement sans s'intéresser à la politique ? Avertissement : il ne s’agit ici que de pistes de réflexion et non d’une copie type nécessairement attendue par vos correcteurs. D’autres approches, d’autres thèses et arguments sont possibles. Une fausse piste qu’il fallait éviter : Croire que le sujet avait comme enjeu essentiel le jugement moral que nous portons sur les politiques. En particulier, des développements sur les « affaires » récentes étaient peu pertinents.

de cette loi dans un contexte humain, c’est-à-dire social, culturel et historique. Cette nécessité de déterminer son existence l’enfant n’en est pas capable ainsi, au départ cela se présente comme une interdiction. La question que pose Bergson est pourquoi obéissons-nous ? → Amour, confiance, habilité des adultes, habitude, les encouragements et si nécessaire la contrainte. Il est nécessaire aussi de faire la différence entre les parents et les maîtres. La logique de l’école est d’enseigner à l’enfant

pouvons agir en toute impunité, nous n’agirions plus par devoir. Nous ferons plutôt tout ce qui nous plaît. L’homme n’agirait par devoir que par peur d’être puni : telle est la vérité que se dégage de cette fable. Le devoir ne serait qu’une contrainte exercée par le regard des autres ou par le contrôle de la justice. Personne n’agirait par devoir. Quand on agit moralement, quand on se conduit bien, ce serait uniquement par hypocrisie. Ce serait non pas le devoir qui nous pousse à bien agir, mais la