Pourquoi Agir Moralement

Gueux dès son entrée dans la prison jusqu'à son exécution en passant par les motifs de son crime et son procès. Suit ensuite une longue réflexion de Victor Hugo sur les rôles et les devoirs de la société face au criminel. « Mais pourquoi cet homme a-t-il volé ? Pourquoi cet homme a-t-il tué ? » sont les questions que Claude Gueux pose au tribunal. Victor Hugo répond : « Le peuple a faim, le peuple a froid. La misère le pousse au crime ou au vice, selon le sexe. » Selon Victor Hugo, le peuple

et l'époque, la morale peut se definir comme un ensemble de conduites permises à l'homme. Dès que l'on fait quelque chose que n'est pas moralement bonne, on aura une punition. Le regard des autres compte sur nous. L'éthique nous enseigne où est notre bien, cet une sagesse qui a comme fin le bonheur et une sagesse veritable. Être sagesse signifie être moralement bon mais aussi avoir tous les autres aspects qui font l'homme un ê parfait. Dans le language commun morale et éthique sont synonimes. Moeurs

Ce qui mit Mme G. encore plus en colère, elle prit un verre et le jeta sur un résidant. L’infirmière était partie alors je pris la décision d’intervenir. J’interpellas Mme G. et lui demandas de se calmer. Mme G. me dit qu’elle ne comprend pas pourquoi on ne veut pas lui resservir de vin. Je pris le temps de discuter avec elle à propos de la décision qui avait été prise mais elle se remit à crier et ne voulait pas m’écouter. Pour calmer la situation , Je lui proposa , pour aujourd’hui seulement

deux jours étaient de bonnes façons de changer un mode de vie récurant et de percevoir autrement les éléments de la vie. Un mode de vie était plus physique et l’autre mental. J’avait prévu le coup. Physiquement, l’ascèse était ma fois difficile. Moralement, j’avais à me priver de tout les dériver de mes besoins et plaisirs non nécessaire dont j’abusait habituellement. C’est-à-dire le mode épicuriens. Où le succès passe par les plaisirs naturels et nécessaires. J’ai appris que le désir était parfaitement

concrétisant dans notre métier, notre vie familiale, amicale, relationnelle, nos loisirs. Et, si possible, sous la forme d’actes réussis. Autrement dit, qu'est-ce que vouloir, sinon agir sur la réalité qui nous entoure en étant efficace, en y imprimant la marque de notre puissance, la force de notre imagination ? Finalement, agir et « faire ce que l’on veut », qu’est-ce d’autre que d’agir en croyant tout dominer, tout maîtriser par nous-même, sans gêne, sans entrave de sorte que le réel devienne pour ainsi

point de vu rationnel et d'un point de vu moral. « Devoir » est une obligation intérieure que JE m'impose. Il a une connotation morale, la morale c'est ce qu'on s'oblige a soit même. Agir selon la morale c'est répondre a 3 règles : KANT : 1) Universalité de la maxime : Si je veux agir moralement, chaque fois que je veux faire quelque chose je me pose la question « qu'est ce qu'il se passerait si tout le monde faisait ainsi » ? 2) Le respect de la personne humaine : La personne est

; | | |Giomo : « eh ! Trinque donc avec Giomo » (l.59-60) | | |Les sujets sont tout aussi variés : l'incapacité à agir des républicains, les préparatifs du meurtre et le dialogue du Duc, l'évocation | | |douloureuse de ceux qu'il aime, les souvenirs d'enfance, l'évocation religieuse.

j’avais voulu tout autre chose, le contraire aurait pu se produire. Ma volonté est la seule raison d’être de mes actions, c’est l’origine de mes actions. Pour qu’il y ait choix, il ne faut qu’aucune cause extérieure ou cause propre à moi-même me pousse à agir. Tout choix par définition contredit la nécessité, (ce qui est nécessaire, c’est ce qui ne peut être autrement que ce qu’il n’est) être ce que je suis sans que je le choisisse. Tout le choix est toujours contingent (ce qui peut se produire ou ne pas

condition fondamentale de la liberté: on ne saurait choisir librement qu'en sachant pourquoi on fait un tel choix. Plus mon choix est informé, plus il est guidé par mon savoir, plus il est libre. Spinoza, l'Ethique et la Lettre à Schuller: nous nous croyons libres, nous croyons nous déterminer par nous-même à faire ce que nous faisons uniquement parce que nous ne voyons pas les causes qui nous déterminent à agir. La liberté pensée comme l'indépendance de notre volonté n'est rien d'autre que l'expression

concrétisant dans notre métier, notre vie familiale, amicale, relationnelle, nos loisirs. Et, si possible, sous la forme d’actes réussis. Autrement dit, qu'est-ce que vouloir, sinon agir sur la réalité qui nous entoure en étant efficace, en y imprimant la marque de notre puissance, la force de notre imagination ? Finalement, agir et « faire ce que l’on veut », qu’est-ce d’autre que d’agir en croyant tout dominer, tout maîtriser par nous-même, sans gêne, sans entrave de sorte que le réel devienne pour ainsi