Pourquoi Agit On Moralement

conformément à la raison on aura toujours un doute, alors que refuser d’agir par plaisir n’est pas un problème. Le plaisir nous fait agir, mais pas par la raison. Kant appelle ces actes des actes « pathologiquement », pathos, cela signifie que l’on agit par ce que l’on subit. Appart l’impéraif Cat (principe formel) il existe des principes matériels, principe nn pur : * principe de l’amour de soi * principe du bonheur personnel. Passage paragraphe 1, 1ere partie de CRpratique. Le

soit : il existe aux deux extrêmes des comportements possibles, l’orgueil et la vanité d’une part, avec Giton, la timidité et le manque de courage d’autre part dans le cas de Phédon. La Bruyère achève ses portraits par un coup de grâce rhétorique qui agit comme une révélation, laquelle met soudain tout le portrait en perspective : c’est la richesse qui rend Giton orgueilleux et extraverti, tandis que c’est la pauvreté qui rend craintif voire socialement invisible Phédon. On peut dire que ces deux portraits

plus robustes que nous ? Vivent-ils plus longtemps ? Sont-ils plus unis entre eux ? Mènent-ils une vie plus libre, plus tranquille, plus gaie ? Au contraire, ils doivent être jaloux les uns des autres, rongés par une lâche et noire envie, toujours agités par l’ambition, par la crainte, par l’avarice, incapables des plaisirs purs et simples, puisqu’ils sont esclaves de tant de fausses nécessités dont ils font dépendre tout leur bonheur. 1 Ainsi sont appelées, dans l’Antiquité, les montagnes qui

explicatif en posant la question suivante : « On comprend maintenant pourquoi Locke va recourir au registre de la conscience, et de l’identité personnelle, pour définir la notion de personne. Ne faut-il pas être conscient de soi, être capable de raison, et pouvoir se considérer comme un seul et même être, pour être une personne ? ».
 En effet, pour être responsable moralement et juridiquement, il faut être capable de se rendre compte qu’on agit, de rapporter ce qu’on fait à nous-mêmes. Pour cela il faut aussi

rapport à une valeur : → les ordres éthiques, esthétiques ou religieux . L’action rationnelle par rapport à un but : les actions ici sont calculées et représentent une adéquation entre moyen et fin (exemple de l’entreprise capitaliste qui agit de maniere à max son profit). ➩ Classification schématique selon laquelle Weber va classer les comportements des individus (classification non rigide des activités sociales). (texte) « L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme »

posait pas de problèmes moraux en Rome et Grèce antique : la conception de la vie y était différente de la nôtre. Il était permis dans certaines circonstances d'aider un individu à mourir, car une mauvaise vie n’était pas digne d’être vécue, c’est pourquoi eugénisme (par exposition) et euthanasie ne pouvait en général pas choquer. Par exemple, Plutarque rapporte qu'à Sparte, l'infanticide est pratiqué sur les enfants qui manquent de santé et de vigueur. Socrate comme Platon approuvent certaines formes

géométrique à l'origine du mot droit qui s'appuie sur une idée que le droit équivaut à un ordre qui n'est pas simplement celui des hommes, mais qui est un ordre naturel. Le droit à aussi un sens moral: une personne droite est une personne qui agit moralement, renvoie à l'honnête et à cette idée de constance. Le droit a bien la fonction d'assurer l'ordre dans la société mais la question est de savoir sur quel fondement il s'appuie pour instaurer l'ordre : est-ce arbitraire (dépend d'une nation,

de tous les arbres du jardin; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. Plus loin : L’homme et sa femme étaient tous deux nus, et ils n'en avaient point honte. Question : Pourquoi ? Réponse : ils n’avaient pas alors la connaissance du Bien et du Mal. Plus loin encore : Alors le serpent dit à la femme: Vous ne mourrez point; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des

est ce qui s'impose à nous comme ce que nous devrions faire quoi qu'il nous en coûte. De ce fait, il entre souvent (pour ne pas dire toujours) en contradiction avec nos propres désirs : ce que je dois faire n'est pas ce que j'ai envie de faire, ce pourquoi d'ailleurs grande est la tentation de ne pas le faire, en d'autres termes de m'en dispenser. Alors, qu'avons-nous à gagner à faire notre devoir ? Rien semble-t-il, sinon endurer la frustration de nos désirs. À moins toutefois que l'obéissance à ce

l'entourent avec par exemple un grand nombre de vaches pour l'allaiter, qui se rapprocheraient plutôt de son apparence de géant. Après avoir souligné l'opposition entre l'âge du géant Gargantua et ses activités et ce qui l'entoure, nous allons voir pourquoi nous pouvons affirmer que, dès le début du roman, nous pouvons apercevoir des éléments "humanistes" chez Gargantua, tout droit sortie de la plume, et de l'esprit de Rabelais... Au chapitre douze, nous avons affaire à un "Gargantua" bien différent