Pourquoi L Epargne Est Elle Nefaste Pour Keynes

précaution, effectuer des retraits même dans d’autres banques que celles qui est concernée, propageant rapidement l’illiquidité du système. *d’autre part, la banque qui, par illiquidité, ne peut plus honorer ses engagements, induirait des effets néfastes en chaine sur les confrères, au travers des marchés et au travers de systèmes de règlement-livraison. Les mesures propres à assurer la continuité de l’activité d’une banque en difficulté, et les mesures propres à rassurer les déposants sur

De Boeck La politique monétaire de Christian Bordes mai 2007 collection Repères Problèmes économiques Blogs : http://www.netvibes.com/ecosup Plan du cours : Introduction A. Définition de la monnaie B. Le fonctionnement institutionnel de la BCE C. Pourquoi étudier la monnaie et la politique monétaire ? 1. Activité bancaire et création monétaire 1.1 La création monétaire 1.2 Le risque bancaire 1.3 Le rôle de la banque centrale 2. Une brève histoire de la pensée monétaire 2.1 La théorie quantitative

pouvoir d’achat et embauche plus. L’Etat cherche à maximiser la rentabilité de son investissement. Tente d’accroitre les revenus des ménages ayant la plus grande PmC (RMI, revenus de transferts… ) Cette mesure compte sur un aspect théorique majeur chez Keynes, le multiplicateur d’investissement. Quelques soient l’efficacité de cette mesure, le multiplicateur est supérieur ou égal à 1. C’est à dire que pour 1€ investie par l’Etat, le revenu national augmente au moins d’1 euro. L’investissement constitue

crédibilité.Ensuite, le QE entraîne des conséquences sur l’épargne à long terme des ménages, et notamment sur sa sécurité. En effet, si les taux d’intérêt restent nuls trop longtemps, il sera moins facile pour les ménages d’obtenir des garanties à leurs épargnes, fournies par les compagnies d’assurance dans le cadre d’assurances-vie ; ces dernières ne seront pas rémunérées pour les potentiels coûts et risques liés à ces garanties, elles ne le feront donc pas.Enfin, l’assouplissement quantitatif est accusé

consommation d'une quantité supérieur de ce bien ou service. Elle décroit avec la quantité déjà consommée. L’intérêt est l'apport déterminant dans la prise de décision, l'utilité dépend des préférences individuelles et donc des goûts, elle explique pourquoi deux individus font des choix différents. Ces préférences diffèrent : d'un individus à un autre, en fonction du contexte Rationalité et arbitrage sont deux notions économiques indissociables. La rationalité pose problème car pour analyser le réel

des ménages résiste. Elle continue de progresser, à un rythme toutefois modeste (+0,6%). Le pouvoir d’achat des ménages, quant à lui, accélère (+1,6%) sous l’effet d’une très forte décélération des prix (–0,6%). Mais les ménages accroissent leur épargne, probablement pour des motifs de précaution. Les achats d’automobiles neuves, soute- nus par la prime à la casse, et les souscriptions en assurance-vie, dynamiques car de nouveau attractives face aux autres produits de placement, font figure d’exception

besoin d’appartenance, besoin de reconnaissance, besoin d’accomplissement personnel.  Classique : A. Smith, D. Ricardo, J.B. Say, J.S. Mill, T. Malthus  Néo-Classiques : L. Walras, V. Pareto, Arrow et Debreu, Friedman, F. Hayek  Keynésiens : J.M. Keynes  Synthèse : J. Stiglitz, P. Krugman Capitalisme : C’est la recherche du profit, l’accumulation des capitaux privés investis. Se caractérise par : Le salariat : c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Karl Marx : Rémunération de celui qui loue

fonctionnement d'ensemble d'une économie. La macroéconomie cherche à constituer des méthodes d'analyse de la réalité permettant de l'étudier de façon à la fois simple et a la fois précise. La macro s'intéresse à beaucoup de questions fondamentales: - Pourquoi certains pays sont-ils riches et d'autres pauvre? - D'où vient leur croissance? - Comment expliquer l'existence de phase d'expansion? - Quelles sont les causes de l'inflation? - Comment les politiques économiques peuvent-elles

va montrer que la convergence vers l'equilibre n'est pas garantit et que si l'equilibre general existe il n'a aucune raison d'emerger naturellement. Autrement dit la loi de l'offre et la demande n'a rien de naturelle et ne fonctionne pas toujours. Pourquoi? Car les offres et les demandes ne sont pas necessairement rationnelles, les agents economiques pouvant adopter des comportements imprevisibles, irrationnels. Tous les neoliberaux ne souscriront pas a cette these revolutionnaire, par exemple Robert

méthodologique : ils pratiquent l'individualisme méthodologique. L'individualisme est l'idée qu'il faut partir de l'individu pour comprendre les faits sociaux. Tout est individu. Il est au coeur de cette analyse. C'est donc de la micro-économique. Keynes va fonder la macro-économie, c'est-à-dire analyser les phénomènes globaux dans leurs interdépendances. La théorie néoclassique se propose d'expliquer les phénomènes économiques et sociaux à partir des choix des individus. Autrement dit, les néo-classiques