Pourquoi Le Spectateur Accepte T Il Les Conventions Théâtrales

sur stricte application des préceptes puisés dans Poétique d’Aristote et surtout l’Art poétique d’Horace ; ds ce contexte, Art poétique de Boileau paru en 1674 constitue aide-mémoire de la critique classique autant que son programme. : « Jamais au spectateur n’offrez rien d’incroyable : / le vrai peut quelque fois n’être pas vraisemblable », « Des héros de roman fuyez la petitesse ». Au nom de l’art d’écrire, Boileau revendique le devoir de censure de la critique : « Je vous l’ai déjà dit, aimez qu’on

(doc. 1). Cette Église, de plus en plus hiérarchisée (doc. 4), contrôle mieux ses clercs en termes de morale et de pureté (doc. 5), ce qui lui permet d’en faire des modèles auprès des fidèles. Les clercs ont donc une place éminente, tous doivent en accepter l’enseignement ou les remontrances (doc. 3). Tous les documents montrent donc que cette société est chrétienne non parce que l’Église se confond avec la société, mais parce que la société est régulée par des valeurs chrétiennes. LEÇON 2 p. 94-95

elle-même ; car elle gît dans l’âme du spectateur, et le génie consiste à l’y éveiller.» 14. ‘’De quelques douteurs’’. 15. ‘’Du paysage’’ où il écrivait à propos de Théodore Rousseau : «Qu'on se rappelle quelques paysages de Rubens et de Rembrandt, qu'on y mêle quelques souvenirs de peinture anglaise et qu’on suppose, dominant et réglant tout cela, un amour profond et sérieux de la nature, on pourra peut-être se faire une idée de la magie de ses tableaux.» 16. ‘’Pourquoi la sculpture est ennuyeuse’’,

construire une synthèse ; toute observation doit permettre de rapprocher les textes. Ce principe fondamental entraîne trois conséquences : E Le  candidat doit constamment avoir à l’esprit la nécessité d’établir le dialogue entre les textes. C’est pourquoi on évitera absolument de construire pour répondre un plan du type  : A) Christophe Colomb  ; B) Jean de Léry ; C) Montaigne. E L’objectif  est de saisir les points communs mais aussi les écarts entre les textes. E Il est donc impératif

....................................................................................466 TOME II ANNEXE 1 ..............................................................................................................................472 CONVENTIONS DE TRANSCRIPTION DU CORPUS .....................................................................472 ANNEXE 2 ..............................................................................................................................475

sépulcre, il avait arraché de la serrure la clef d'argent, et, se haussant sur la dernière marche du seuil, il l'avait jetée doucement dans l'intérieur du tombeau. Il l'avait lancée sur les dalles intérieures par le trèfle qui surmontait le portail. - Pourquoi ceci?... A coup sûr d'après quelque résolution mystérieuse de ne plus revenir. Et maintenant il revoyait la chambre veuve. La croisée, sous les vastes draperies de cachemire mauve broché d'or, était ouverte: un dernier rayon du soir illuminait, dans

NOUVEAU RÉGIME I. Étrange défaite, étrange victoire II. L’exode, la peur et le désordre III. Le choix de l’armistice 1. Le refus de la capitulation. 2. L’armistice, un acte fondateur IV. Une généalogie V. Le 10 juillet 1940 1. Un contexte de rupture 2. Pourquoi Vichy ? 3. Les pleins pouvoirs 4. La République abandonnée VI. L’« État français » VII. La Révolution nationale 1. Une doctrine et un principe d’action 2. Un syncrétisme idéologique VIII. Pétain et Laval CHAPITRE II - LA S TRATÉGIE DE LA COLLABORATION

lecteur attentif note quelques " grincements " un peu inquiétants. Voilà que se révèlent quelques distorsions (déformation) , indices qui lui laissent penser qu'il ne doit peut-être pas prendre tout au premier degré. Que cherche à faire Voltaire ? Pourquoi cet accent mis sur le décalage entre l'apparence et la réalité ? Dès le début du conte, la perspective philosophique et critique apparaît et il convient d'analyser la manière dont elle se met en place. La lecture méthodique de l'extrait s'attachera

la beauté des femmes de manière hyperbolique (l. 28-36). D’où l’ambiguïté des femmes soulignée par la réplique d’une autre femme (l. 39-40) et la réplique d’Arthénice (l. 41-44) : les femmes acceptent de plaire et d’être coquettes. 7. Le dialogue théâtral est particulièrement propice à l’échange d’arguments parce que l’interlocuteur présent peut relancer l’argumentation et c’est la circulation de la parole qui permet de rebondir sur tel ou tel aspect du problème. Par ailleurs, cette même circulation

indépendantes juxtaposées, séparées par une virgule, un point-virgule ou deux points ; – de propositions indépendantes coordonnées, reliées par une conjonction de coordination (et, ou, ni, mais, or, car, donc) ou un adverbe de liaison (puis, en effet, c’est pourquoi…). 5 a. Soulignez les phrases simples. Mettez une barre entre les propositions de la phrase complexe. b. Précisez si elles sont juxtaposées ou coordonnées et justifiez votre réponse. La 1re et la 2e sont juxtaposées (séparées par une virgule)