Pourquoi Les Dix Passagers Quittent Ils Rouen

Céline MORVAN, collège Jean Jaurès, ALBI, celinemmorvan@wanadoo.fr BOULE DE SUIF, Maupassant Séance 1 : IMPRESSIONS DE LECTURE 1. Pourquoi les dix personnages quittent-ils Rouen ? 2. Qui sont les dix passagers de la voiture ? Classe les en deux groupes et justifie ton classement en donnant un nom à chacun des deux groupes. 3. Quels sont les deux événements qui retardent leur arrivée ? 4. Cherche dans le dictionnaire les deux mots suivants et recopie la définition qui correspond au

dans les territoires ruraux entourant la ville. En raison des coûts grandissant de l’immobilier, ces jeunes couples d’actifs, surtout les plus modestes, sont conduits à s’installer de plus en plus loin du centre de leur agglomération urbaine. C’est pourquoi la couronne périurbaine s’étend sur plus d’une centaine de kilomètres autour de Paris ou d’une cinquantaine autour des plus grandes métropoles de province (Lyon, Marseille, Lille, Toulouse…). Un tel étalement urbain implique une forte augmentation

dans la commune de Tourville-sur-Arques, près de Dieppe, et il meurt de la syphilis à Passy le 6 juillet 1893. En juillet 1870, Maupassant rejoint l’armée. Il est affecté dans les services d’Intendance et en septembre, il vit la débâcle de l’armée à Rouen avant de rejoindre Paris. Il a donc été le témoin de ce qu’il décrit dans les premières pages de Boule de suif : la déroute de l’armée française face aux Prussiens et l’arrivée de l’occupant allemand dans la ville. Le conte Boule de suif paraît pour

dans la commune de Tourville-sur-Arques, près de Dieppe, et il meurt de la syphilis à Passy le 6 juillet 1893. En juillet 1870, Maupassant rejoint l’armée. Il est affecté dans les services d’Intendance et en septembre, il vit la débâcle de l’armée à Rouen avant de rejoindre Paris. Il a donc été le témoin de ce qu’il décrit dans les premières pages de Boule de suif : la déroute de l’armée française face aux Prussiens et l’arrivée de l’occupant allemand dans la ville. Le conte Boule de suif paraît pour

objective capable d’engendrer le progrès, et l’esprit scientifique gagne même des disciplines comme l’histoire ou la critique littéraire (Taine). Cette vision est soutenue par la philosophie positiviste d’A. Comte, qui privilégie le « comment » sur le « pourquoi » et veut fonder la connaissance du monde et de l’homme sur l’observation des « faits matériels et palpables ». Ainsi, toute une pensée critique, voire matérialiste, tend à prendre le pas sur les croyances religieuses. Enfin, le développement

autre rivière de diamants. Mme Forestier ne s'aperçoit de rien. Dès lors, les Loisel s'infligent les pires privations pour rembourser les créanciers. Mathilde est devenue une véritable femme du peuple lorsqu'elle rencontre à nouveau Mme Forestier, dix ans plus tard. Quand elle s'est fait reconnaître, elle lui explique la perte du bijou et parle des dettes qui viennent enfin d'être remboursées. Mme Forestier, très émue, avoue à son ancienne amie que la rivière de diamants était une fausse. · Une

et inoffensive inimitié » rivalisant à la rame devant une jeune veuve, Mme Rosémilly. Au retour, les Roland apprennent que Jean hérite seul de Maréchal, un ancien ami de la famille. Pierre souffre de l'héritage de Jean. Il se pose des questions. Pourquoi n'a-t-il pas hérité aussi alors que Maréchal le connaissait depuis qu'il était tout petit ? Il décide alors de construire sa vie par ses propres moyens et trouve un appartement pour aménager son cabinet médical. Mais, par manque d'argent, c'est à

sol, des villages et de l'air lui-même. J'aime ma maison où j'ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine, qui va je Rouen au Havre, couverte de bateaux qui passent. A gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville aux toits bleus, sous le peuple pointu des clochers gothiques. Ils sont innombrables, frêles ou larges, dominés par la flèche de fonte de la cathédrale, et pleins de cloches qui sonnent dans l'air bleu

villages et de l’air lui-même. Le Horla J’aime ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine qui va de Rouen au Havre, couverte de bateaux qui passent. À gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville aux toits bleus, sous le peuple pointu des clochers gothiques. Ils sont innombrables, frêles ou larges, dominés par la flèche de fonte de la cathédrale, et pleins de cloches qui sonnent dans l’air

des villages et de l’air lui-même. J’aime ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine, qui va de Rouen au Havre, couverte de bateaux qui passent. À gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville aux toits bleus, sous le peuple pointu des clochers gothiques. Ils sont innombrables, frêles ou larges, dominés par la flèche de fonte de la cathédrale, et pleins de cloches qui sonnent dans