Pourquoi Lire Candide

et le monde donne lieu à deux grands types de textes, ceux qui présentent directement aux lecteurs des idées, un raisonnement ou un engagement, et ceux qui mettent une histoire plaisante, fictive, imaginaire au service d’une intention didactique. Pourquoi certains écrivains ont-ils recours à cette deuxième forme d’argumentation indirecte pour inciter à réfléchir sur l’homme et sur le monde? Quels intérêts présentent les oeuvres fictives pour transmettre des idées? Dans un premier temps, nous verrons

et le monde donne lieu à deux grands types de textes, ceux qui présentent directement aux lecteurs des idées, un raisonnement ou un engagement, et ceux qui mettent une histoire plaisante, fictive, imaginaire au service d’une intention didactique. Pourquoi certains écrivains ont-ils recours à cette deuxième forme d’argumentation indirecte pour inciter à réfléchir sur l’homme et sur le monde? Quels intérêts présentent les oeuvres fictives pour transmettre des idées? Dans un premier temps, nous verrons

inconcevable. On relève également le champ lexical de l’homme/écrivain : « auteur, Saint Paul, homme, écrit », qui insiste sur le coupable, l’homme contre qui est tournée cette colère. Les lignes 18 à 22 exposent ce que Saint Paul aurait dû écrire, et pourquoi, avec le champ lexical des qualités féminines, organisé en gradation ascendante dans l’art d’être une bonne ménagère : « douces, complaisantes, attentives, économes » ; le champ lexical de la soumission : « soumises (x2), obéir, esclaves », souligné

Tournure emphatique ( mettre en relief son « bonheur »; il se blâme « infortuné ! » pour avoir laissé passer le temps : « vous me lavez donné ». TEXTE IV Extrait n°1 : L’Incipit, Candide ou l’optimisme(1759) de Voltaire  Introduction : Voltaire écrit candide en 1759, le sous-titre « ou l’optimiste » remet en question la théorie philosophique de Leibniz qui consiste à penser que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. Or on sait que Voltaire a

et dénoncer certains aspects de la société. Ceux-ci peuvent être d’ordre politique -s’élever contre le régime politique en vigueur-, social -les conditions de vie du peuple- ou encore économique –les inégales répartitions des richesses-. Dans son Candide, Voltaire dénonce le système monarchique et l’intolérance religieuse de l’époque. C’est aussi le cas d’Emile Zola qui critique violemment les intolérables conditions de travail et de vie des mineurs dans Germinal. La littérature dite engagée permet

parce que les romans s’inscrivent dans une époque précise que certaines œuvres finissent par tomber dans l’oubli. Ex : La Princesse de Clèves nous fait voyager dans le XVIIe siècle, ou nous ennuie en ne nous parlant pas de notre monde. II Lire un roman, c’est expérimenter autre chose et enrichir sa connaissance du réel 1- Le roman parle souvent du monde réel La plupart des romans (c’est-à-dire si on exclut certains romans de science-fiction) ont pour cadre le monde réel

l’absence de réaction de son fils lui permettent d’intervenir dans sa vie comme bon lui semble, de manière obsessionnelle et compulsive. C’est à elle qu’il doit tout : son éducation (« Sa mère le trainait toujours après elle. » « Elle lui apprit à lire, et même l[‘]enseigna […] » 1ère partie, chapitre 1, pp.14-15), ses études (« À douze ans, sa mère obtint que l’on commençât ses études. » 1ère partie, chapitre 1, p.15), son diplôme («Elle l’excusa […] et le raffermit un peu, se chargeant d’arranger

spatiales (connecteurs spatiaux) - la parataxe, entraînant une absence de progression sur le plan temporel. Le discours explicatif Il présente des explications et des renseignements non connus du récepteur (réponse aux questions « comment? » et « pourquoi? ») et les développe en exposant leurs causes, leurs conséquences, de façon neutre et objective: revues et livres scientifiques, livres d’histoire, manuels scolaires, encyclopédies, documentaires, modes d’emploi techniques, recettes de cuisine…

et le monde donne lieu à deux grands types de textes, ceux qui présentent directement aux lecteurs des idées, un raisonnement ou un engagement, et ceux qui mettent une histoire plaisante, fictive, imaginaire au service d’une intention didactique. Pourquoi certains écrivains ont-ils recours à cette deuxième forme d’argumentation indirecte pour inciter à réfléchir sur l’homme et sur le monde? Quels intérêts présentent les oeuvres fictives pour transmettre des idées? Dans un premier temps, nous verrons

et le monde donne lieu à deux grands types de textes, ceux qui présentent directement aux lecteurs des idées, un raisonnement ou un engagement, et ceux qui mettent une histoire plaisante, fictive, imaginaire au service d’une intention didactique. Pourquoi certains écrivains ont-ils recours à cette deuxième forme d’argumentation indirecte pour inciter à réfléchir sur l’homme et sur le monde? Quels intérêts présentent les oeuvres fictives pour transmettre des idées? Dans un premier temps, nous verrons