Pourquoi Lisons Nous

* no sólo … sino … : non seulement… mais aussi * a lo mejor, tal vez, quizás, quizá, acaso : peut-être * pues (en 2e position dans la phrase) : donc * así : ainsi * en efecto : en effet * por ello, por eso, por esta razón : c'est pourquoi * aunque + indicatif : bien que (+ subjonctif) * aunque + subjonctif : même si (+ indicatif) * mientras que : tandis que * ya que, puesto que, dado que : puisque * por consiguiente, en consecuencia : par conséquent * en resumidas cuentas

(1754-1824) page 14 DCOM/C. Le Locat Prendre la parole en public - Notes de cours Les 4 composantes de l’art oratoire : le verbal (4) Pour n’oublier aucun aspect du sujet : QQOQCCP Qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Comment ? Combien ? Pourquoi ? page 15 DCOM/C. Le Locat Prendre la parole en public - Notes de cours 5 Les 4 composantes de l’art oratoire : le verbal (4) Le plan Il faut avoir un plan précis et écrit, même si on improvise… même si on ne lit pas son texte…

et le monde donne lieu à deux grands types de textes, ceux qui présentent directement aux lecteurs des idées, un raisonnement ou un engagement, et ceux qui mettent une histoire plaisante, fictive, imaginaire au service d’une intention didactique. Pourquoi certains écrivains ont-ils recours à cette deuxième forme d’argumentation indirecte pour inciter à réfléchir sur l’homme et sur le monde? Quels intérêts présentent les oeuvres fictives pour transmettre des idées? Dans un premier temps, nous verrons

et le monde donne lieu à deux grands types de textes, ceux qui présentent directement aux lecteurs des idées, un raisonnement ou un engagement, et ceux qui mettent une histoire plaisante, fictive, imaginaire au service d’une intention didactique. Pourquoi certains écrivains ont-ils recours à cette deuxième forme d’argumentation indirecte pour inciter à réfléchir sur l’homme et sur le monde? Quels intérêts présentent les oeuvres fictives pour transmettre des idées? Dans un premier temps, nous verrons

sur son costume, ses gestes par exemple. Ainsi, grâce aux didascalies on connaît les actions des personnages, leurs émotions, quelques éléments de la mise en scène. Avec ces dernières, on comprend de suite ce que les personnages font puisque nous lisons en permanence leurs actions. Prenons comme exemple La machine infernale de Jean Cocteau, dans l'acte I . "Long silence. Deux soldats, de dos, contemplent sans fin la place du mur où le fantôme a disparu". Cette didascalie nous indique ce qu'il se

et son armée, Saül ne va pas réussir à liquider le berger David… Pourquoi ? Parce que Dieu avait parlé et que sa parole est une puissance pour quiconque croit… Si vous avez l’occasion de lire cette histoire, n’hésitez surtout pas, car c’est pleine d’anecdotes et de vérités magnifiques sur la fidélité, l’amitié, la traitrise… Bref ce n’est pas l’objet de ce message. Revenons à notre texte. Saul et le silence de Dieu. Nous lisons au verset 3 que Samuel venait de mourir, et que Saül avait ôté du

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- « Si on nous demande pourquoi nous croyons que le soleil se lèvera demain, il est clair que nous répondrons tout naturellement « parce qu’il s’est levé jusqu’ici chaque jour ». Nous croyons fermement qu’il se lèvera à l’avenir, parce qu’il s’est ainsi levé dans le passé. Mis au défi d’expliquer pourquoi nous croyons qu’il continuera à se lever comme auparavant, nous invoqueront peut-être les lois du mouvement :

journalistique sur le quel nous nous pencherons est extrait du magazine Jeune Afrique l’hebdomadaire panafricain, qui est édité à Paris et qui propose une couverture de l’actualité africaine et internationale politique et économique du contient. Pourquoi choisir jeune Afrique et non pas un autre périodique ? D’abord par ce que c’est le premier magazine par sa diffusons et son audience, et il est également, depuis sa création ,l’hebdomadaire international de référence du contient il ‘est aussi

texte sur Internet, sans même parler de la popularité des textos sur les téléphones portables, nous lisons peut-être davantage aujourd’hui que dans les années 70 ou 80, lorsque la télévision était le média de choix. Mais il s’agit d’une façon différente de lire, qui cache une façon différente de penser, peut-être même un nouveau sens de l’identité. « Nous ne sommes pas seulement ce que nous lisons », dit Maryanne Wolf, psychologue du développement à l’université Tufts et l’auteur de Proust et le

précise et vérifiée d’un fait ou d’un évènement, mais aussi d’un ensemble de paramètres contextuels, permettant au lecteur de comprendre sa signification profonde. C’était répondre à des questions de base (qui a fait quoi? Quand? Où? Comment? Pourquoi? Avec quels moyens ?…). Aujourd’hui, le problème, toujours d’après Ignacio Ramonet, est que l’objectif prioritaire pour le téléspectateur, sa satisfaction, n’est pas de comprendre un évènement, mais tout simplement de le regarder se produire sous