Pourquoi Lit On

un certain nombre de prescriptions à l’artiste ne permet pas néanmoins de présumer du résultat final de sorte que le projet se définit à mesure que l’artiste réalise son œuvre et même n’apparaît complètement qu’une fois l’œuvre achevée. C’est pourquoi l’art ne se résume à l’application technique ou scolaire de règles de production, règles techniques pourtant nécessaires à toute production. Si l’artisanat se distingue de la production industrielle par l’habileté requise de l’artisan, cette habileté

commençait à crépi-ter. C'est à peine si on entendit Grand partir en disant qu'il revien-drait. Tous attendaient. L'enfant, les yeux toujours fermés, semblait se calmer un peu. Les mains, devenues comme des griffes, labouraient doucement les flancs du lit. Elles remontèrent, grattèrent la couvertu-re près des genoux, et, soudain, l'enfant plia ses jambes, ramena ses Albert Camus, LA PESTE (1947) 198 cuisses près du ventre et s'immobilisa. Il ouvrit alors les yeux pour la première fois et regarda Rieux

tendre, un vrai régal ! Il sera encore bien meilleur que la vieille. Il faut que je m'y prenne adroitement pour les attraper toutes les eux ! » Il l'accompagna un bout de chemin et dit : - Chaperon rouge, vois ces belles fleurs autour de nous. Pourquoi ne les regardes-tu pas ? J'ai l'impression que tu n'écoutes même pas comme les oiseaux chantent joliment. Tu marches comme si tu allais à l'école, alors que tout est si beau, ici, dans la forêt ! Le Petit Chaperon rouge ouvrit les yeux et lorsqu'elle

couchée sur mon lit et je pleure. Quand tout à coup j’entends ma porte s’ouvrir. Je regardais Bryan sous le choque. Il avait mon double de clef. Du coup je me cacha sous ma couette de lit. Bryan entra et referma la porte à clef. Il s’approcha du lit. Il tira ma couette et vu que Bryan à beaucoup de force il y arriva sans problème. Moi : Mais Bryan bouge tu vois pas que je suis pas bien et que je préfère rester toute seule ? Bryan : Justement j’veux te remonter le moral ! Pourquoi tu pleures ? C’est

chevaliers de monter dans la charrette pour savoir où la reine se trouve. Seul le chevalier sans- nom s'exécute. « Peu lui importe la honte » Lancelot arrive dans un château dans lequel se trouve un lit où ne peut se coucher qu'un homme pur : or, il est monté dans la charrette. S'il s'allonge dans ce lit, il mourra. Sûr de lui, il s'y couche. Une lance enflammée descend du plafond sans toutefois le blesser. Lancelot se rendort. La demoiselle lui annonce toutes les épreuves qu'il devra passer :

sang est nécessaire, qu'elle est la pour surveiller les effets de son traitement, que c'est le médecin qui la prescrit. Lorsque l'infirmier approche son chariot de soins du lit de la résidente, celle-ci ce met à criée, à pleurée et à s’agitée. Mme B était paniquée. Alors l'infirmier me demande de me placer de l'autre coté du lit de la résidente et de tenir le bras de celle-ci pour qu'il puisse effectuer le soin. Tout en faisant le soin l'infirmier essaye de calmer la résidente, de la raisonnée, il

Devret dans la dernière traduction Gallimard :     « Tiens. Hm. Hm. Oui. C’est son parfum. Voilà pourquoi elle agitait la main. Je vous laisse ceci pour que vous pensiez à moi quand je serai au loin dans mon petit lit. Qu’est-ce que c’est ? De l’héliotrope ? Non. Jacinthe ? Hm. Essence de roses, je crois. Elle doit aimer les senteurs de ce genre. Suaves et bon marché ; vite tournées. Pourquoi Molly aime l’opoponax. Lui convient avec un soupçon de jessemin. Ses notes hautes et ses notes basses

se font difficiles, ces promenades se font de plus en plus rares. Ainsi, Monsieur M. sort peu. Il nécessite des soins à domicile pour la toilette, l’habillage et le déshabillage, les déplacements et le suivi du traitement. La chambre est munie d’un lit médicalisé et d’un verticalisateur et Monsieur M. se déplace en fauteuil roulant. Cependant les couloirs sont relativement exigus et les déplacements en fauteuil sont difficiles. Au niveau des besoins fondamentaux de ce patient, il présente un sommeil

en avance qui se trouvait à quinze minutes de la salle à Londres. Mon amie, Claire, avait invité toutes les personnes qu’on aimait bien au collège et au lycée. On allait donc être environ 300 ! J’avais hâte de retrouver mes amis mais, je ne sais pourquoi, je n’avais guère envie d’aller à cette fête alors que d’habitude c’est tout le contraire ! Est-ce par fatigue ou stress ? Peut être n’avais-je pas envie de retrouver certaines personnes. Arrivée à l’hôtel, je demandais ma clé de chambre au concierge

confrontent narrateur et lecteurs, souvent l’auteur s’adresse directement à celui qui le lit. L’amant, de Marguerite Duras, c’est avant tout une femme qui regarde avec nostalgie son passé et nous fait partager une histoire d’amour qui l’a marquée et touchée. Aussi, du point de vue de la connaissance du cœur, et donc de la compréhension, le roman est bien plus explicite que le quotidien. Un roman, à l’image d’un film, se lit dans un temps duré, et la plupart du temps, l’on retrouve le même schéma de base