Pourquoi Obéissons Nous Aux Lois

le reste - les fruits, les chips et les biscuits. - Personne ne m’a parlé de nourriture, » répondit Leib avec dédain. J’étais sur le point de dire : « Quoi ? Mais je suis sure de t’en avoir parlé. Je t’ai même dit où se trouvaient les chips. Pourquoi ne m’écoutes-tu jamais ? Et maintenant, qu’allons-nous faire avec la moitié d’un repas et pas d’argent pour acheter de quoi le compléter ? Nous allons tous être affamés et énervés ! » C’est ce que j’avais envie de dire. Au lieu de cela, j’ai fait

quelles les hommes appartiennent ? Aucune société n’est immobile. « Vérité en de ca des Pyrénées, erreur au-delà » (Pascal). Un déplacement dans l’espace provoque un changement, les sociétés ne sont pas les même d’un point a un autre. Pourquoi ne pas apprécier que l’on nous fasse la morale ? ➢ C’est répétitif ➢ On nous impose une morale dont on n’est pas forcement d’accord. Est-ce que cette conscience morale ne serait-ce pas déterminée ? Quelle est la valeur de la valeur ? ➢

recouvert par d’autres, auxquels nous préférons nous reporter. Que n’eût pas été notre enfance si l’on nous avait laissé faire ! Nous aurions volé de plaisirs en plaisirs. Mais voici qu’un obstacle surgissait, ni visible ni tangible : une interdiction. Pourquoi obéissions-nous ? La question ne se posait guère ; nous avions pris l’habitude d’écouter nos parents et nos maîtres. Toutefois nous sentions bien que c’était parce qu’ils étaient nos parents, parce qu’ils étaient nos maîtres. Donc, à nos yeux, leur

moi n'est donc t-il pas soumis à l'éthique ? Néanmoins, l'éthique n'est-elle pas paradoxalement posée pas l'individu lui-même ? Le moi se poserait donc des règles, mais en a t-il réellement besoin ? Ainsi le moi serait libre de se prescrire des lois et donc de les transgresser. Les valeurs auraient donc pour origine le sujet humain. De ce fait, l'éthique serait liée à la vie en société. Mais l'homme a-t-il réellemnt besoin de vivre en communaté ? N'y a t-il pas des conflits sociaux qui poussraent

marque, sa signature, son cachet ou encore son empreinte. Nous sommes capables en tant qu’Homme d’apposer notre esprit à la matière. Pourquoi sommes nous passé par l’activité animale ? L’Homme n’est pas le seul à transformer des données naturelles. De nombreuses espèces animales travaillent, mais nous qualifions leurs productions de naturelles. Pourquoi ? Chez l’animal il s’agit d’une activité instinctive, linéaire, invariable, un rapport de force avec la nature dans lequel l’animal s’efforce

professeur de philosophie en classes préparatoires. Sommaire (Cliquer sur le titre pour accéder au paragraphe) ********************** I. Quels sont les fondements de l’État ? ................................................ 1 II. L’obéissance aux lois limite-t-elle la liberté des individus ? .................. 2 III. Peut-on attendre de la politique qu’elle soit conforme aux exigences de la raison ?................................................................................................ 2

C’est la forme qui fait sens, mais en dehors de tout souci d’utilité, comme le soulignera plus tard Valéry : « Le caractère le plus manifeste d’une oeuvre d’art peut se nommer inutilité. » - bousculé, trituré, soumis, par le jeu des contraintes aux lois du hasard (S+7, par ex. ) ou transcrit comme il est reçu par la dictée de l’inconscient ou emporté dans une «   fantasia verbale » (c’est ce que Rimbaud, maître en délires, dit de Hugo). Tout est possible à la poésie, depuis la soumission aux règles

peut-elle résister à l’opinion dominante ? L’enjeu de cette problématique repose sur bien des domaines comme la politique, la société, la religion, la morale… Elle possède un enjeu considérable qui remet en cause les bases de la société, les lois, les façons de pensées … La pensée libre permet à l’opinion dominante d’évoluer mais l’opinion dominante permet à la pensée libre d’être cadrer. L’une ne fonctionne pas vraiment sans l’autre d’où l’intérêt de cette question. Cette Interrogation

libre dans ses actes, libre dans ses pensées A quoi s’oppose la liberté ? aux contraintes : une contrainte c’est ce qui empêche le pouvoir de correspondre avec mon vouloir (je peux pas faire ce que je veux) Contraintes extérieures = les lois (pour respecter la liberté d’autrui, je suis obligé de limiter la mienne), les limites physiques (je ne suis pas libre de voler) Contraintes intérieures = phobies (quand on a la phobie des guêpes, par exemple, on a des « pratiques d’évitement » :

un ensemble d'institutions assez clairement identifié (appareil étatique)et spécialisé dans la régulation politique, une part importante de la régulation se joue à coté des codifications explicites. La contrainte sociale Nous obéissons à des normes qui ne sont définies nulle part. Nous nous soumettons à des règles qui n'ont été formulées par personne en particulier et que personne en particulier n'est chargé de faire respecter, de sanctionner, mais qui existent bien. On dit dans