Pourquoi Obéit On Au Pouvoir Politique

Soc 202b Trois concepts : le pouvoir, la domination, l’ordre et le contrôle. Théorie du pouvoir chez Max WEBER (1864-1920) Cette théorie du pouvoir s’inscrit dans une opposition entre société tradititonnelle et moderne. Sachant que cette distinction en entraine d’autres comme celle effectuer entre autorité et pouvoir. D’un côté le société traditionnelle basé sur la continuité et l’autorité partriarcale ou corporative. De l’autre une société moderne en pleine essor qui sous couvert de démocratisation

commande, alors l’agent est un esclave, inutile à lui-même ; au contraire, dans | | |un État et sous un commandement pour lesquels la loi suprême est le salut de tout le peuple, non de celui qui commande, | | |celui qui obéit en tout au souverain ne doit pas être dit un esclave inutile à lui-même, mais un sujet. […] De même, les | |10 |enfants, bien qu’obligés d’obéir à tous les ordres de leurs parents, ne sont cependant pas des esclaves ; car les ordres

· Peut-on critiquer la démocratie ? (Est-il possible de faire un examen sur cette doctrine politique selon laquelle la souveraineté appartient à l'ensemble des citoyens ? ) La démocratie est le gouvernement du peuple exercé par la majorité librement de celui-ci dans le respect du droit pour les minorités de manifester leurs opinions, autrement dit c'est le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple. Il y a quatres principes qui fondent la démocratie qui sont la liberté, l'égalité

une voie contractuelle, rôle de la “bonne foi”. Etat de droit = Etat soumis au droit, à la Constitution. Traités signés en application de la Constitution. → 4 questions : Qu’est-ce que le droit ? Qu’est-ce que le droit constitutionnel ? Pourquoi obéit-on au droit ? Comment enseigne-t-on le droit constitutionnel ? 1ère section : Qu’est-ce que le droit ? Nous vivons dans le droit tout le temps. Le droit nous saisit avant la naissance et après la mort. E. Kant : “Doctrine du Droit” →

enfreindra la loi. Il a donc besoin d’un maitre (=personne ou groupe de personne). Or, Kant soulève le paradoxe qu’un homme ne pourra être « juste par lui-même », donc que le gouvernant qui est un homme parmi les autres abusera forcément de ses pouvoirs. ⇨ Possibilité d’une loi humaine fondamentalement juste semble … faible. Dès lors, certains sont lésés, la loi se faisant au profit de certains. • Marx = les lois et le droit sont des superstructures au service de la classe sociale dominante

Introduction : phénomène politique et droit constitutionnel Objectifs : principales notions et concepts Paragraphe 1 : Définitions et notions de base A. Société politique et Etat (première série de concept) * Politique : mot grec « polis » la cité, la ville, la contrée -> ville moyenne et campagne environnante au V/IVème siècle avant JC, correspond également à 1 organisation politique -> affaire de la cité (politica) + organisation de la cité (politeia) en latin cevis est synonyme

privé. Distinction droit public et droit privé. Pourquoi ? Il existe une distinction réelle entre le droit public et le droit privé (ex : fac 2 départements distinct entre le droit privé et le droit public) Loi des 16 et 24 août 1790 sur l’organisation judiciaire Interdit aux juges de contrôle la législation et l’administration soustraction au regard des juges, de l’administration et du système judiciaire = Manifestation de l’Etat Pourquoi ? Les juges/parlements de l’ancien régime avaient

réaliser certains de mes désirs. Car c’est à cette notion de désir que l’Homme peut apparenté la notion de liberté. Dans de nombreux de ces textes Rousseau évoque « l’état de nature » c’est-à-dire un état ou les Hommes ne sont pas soumis à une autorité politique, ils sont libres et égaux car ils ne se soumettent pas une autorité quel quelle soit, ils sont dépourvus de liens sociaux. La société n’a pas d’influence sur les comportements des individus, ni les individus sur la société. Dans cet état, les « lois

Être libre est-ce ne se soumettre à rien ? Être (du latin esse qui signifie exister, être là) libre (du latin liber qui signifie sans chaînes) c’est c’est soir avoir le droit de posséder un pouvoir reconnu (sur un plan politique ou moral) mais soit dans un sens être libre de ses actes ou pensées en ayant aucunes contraintes. Ne se soumettre signifie donc ici que l’on s’abaisse, que l’on cède à quelque chose ou quelqu’un. Le mot « rien » signifie ici, le néant. Le paradoxe ici est que

l’agent lui-même, mais de celui qui la commande, alors l’agent est un esclave, inutile à lui-même ; au contraire, dans un État et sous un commandement pour lesquels la loi suprême est le salut de tout le peuple, non de celui qui commande, celui qui obéit en tout au souverain ne doit pas être dit un esclave inutile à lui-même, mais un sujet. […] De même, les enfants, bien qu’obligés d’obéir à tous les ordres de leurs parents, ne sont cependant pas des esclaves ; car les ordres des parents sont inspirés