Pourquoi Obéit On

17ème siècle c’est le siècle de mathématique. Le 18ème siècle c’est le siècle de la séance physique. Le 19ème siècle c’est le siècle de la biologie. Et Le 20ème siècle c’est le siècle de la peur : Les 2 guerres mondiales. Le texte classique obéit à une logique narrative. Le roman classique suit une ligne droite, démarre, avance, s’arrête, avance de nouveau, termine le parcours. Le temps du roman classique c’est le passé simple. Le roman classique décrit une série d’actions, prévoit une

pouvoir entre gouvernant et gouverné, c’est pourquoi l’on retrouve la notion de pouvoir au cœur de l’étude du fonctionnement politique des sociétés. On doit donc commencer par la définir, mais aussi, nous sommes invités à comprendre un certain nombre de concepts qui lui sont liés tel que la domination, la soumission, l’autorité, la contrainte… Pourquoi les individus obéissent-ils ? Pourquoi se conforment-ils aux injonctions des gouvernants ? Et enfin, pourquoi reconnaissent-ils aux gouvernants le droit

certitude née du savoir paraît supérieure à celle née de la croyance : elle est fondée sur des preuves expérimentales, ou des démonstrations nécessaires ; la croyance se fonde au contraire sur un principe étranger, ineffable et douteux : la foi. C'est pourquoi le savoir semble destiné à faire disparaître la croyance, partout où elle règne encore. Pourtant, le progrès considérable du savoir scientifique accompli depuis plusieurs siècles n'a pas fait disparaître la croyance, bien au contraire : superstitions

pénal, le commandement de l'autorité légitime qui engage la responsabilité du préposé s'il obéit à un ordre manifestement illégal. Cette théorie est reprise en droit civil. La responsabilité du préposé peut donc être engagée civilement car nul n'est tenu à une obéissance passive et aveugle. Cette théorie existe en droit civil car elle est en continuité du droit pénal, c'est à dire, que si un préposé obéit à une autorité alors que l'ordre de celle-ci est manifestement illégal, la responsabilité civile

qui peut apparaître comme obéissant à la rationalité. Le langage artistique et en particulier la musique contrairement au langage verbal obéit en tant que création libre à ses propres codes. Parler, écrire supposent que je me soumette à des règles linguistiques que je n’ai pas moi-même choisies ?. L’artiste n’a pas à subir une telle contrainte. C’est pourquoi il a le pouvoir de communiquer ses idées et des sentiments que les mots ne peuvent pas traduire. La biographie de Wagner nous montre que

d’obéir aux lois pour être juste ? Pourquoi se poser la question alors que la réponse parait si évidente ? En effet, pour la plupart des gens, l’état d’être juste se définit par le fait de respecter les valeurs, les valeurs sociales, morales, et personnelles misent en place dans une société, et les lois, elles, sont faites afin de réguler cette vie sociale selon les différents intérêts, elles servent la justice. Il semble donc logique d’être juste dès lors que l’on obéit aux lois. Mais en y regardant

essor qui sous couvert de démocratisation sont miner par des processus de bureaucratisation, d’individualisation, et de rationnalisation. Pour WEBER, il s’agit de répondre aux questions suivante: - Dans quel condition les hommes se soumettent-ils? Et pourquoi? - Sur quel justification interne, et sur quel moyen externe cette domination s’appuie-t-elle? À ce stade, il distingue trois types de domination qui se retrouvent sous une forme ou sous une autre dans toutes les sociétés. - légimité de type traditionelle;

être libre, il faut qu’il ait une totale conscience de soi-même. Être libre, ce n’est pas quelque chose d’inné, c’est quelque chose qu’il faut avoir, gagner. Pour le philosophe Hegel, l’homme grec est moins libre qu’un homme de notre sa société. Pourquoi ? Car ces hommes avaient une idée incomplète de la définition de la liberté. La première étape pour qu’un homme soit libre c’est le fait de pouvoir dire « non » à quelque chose ou quelqu’un. Selon Hegel, la liberté se définie grâce à la confrontation

l’asservissement qu’à la liberté. C’est pourquoi il répond à Calliclès ds le Gorgias que l’homme qu’il dépeint est soumis à ses passions, et donc tout sauf libre. ⇨ La loi nous empêche de faire « ce que l’on veut », et nous détache ainsi de certaines « passions basses ». Si la liberté ⇔ à être maitre de soi (définition stoïcienne), la loi est un guide nous aidant à être pleinement libre. III- La loi : libératrice sous conditions a) Le cas de la démocratie : on obéit à ses propres lois. De fait

plusieurs maîtres) et explicitation du but du traité, non pas de classer les régimes politiques (Vr Platon, De la République) mais de comprendre pourquoi le peuple obéit à un tyran Extrait : 3 paragraphes très rhétoriques afin d’entamer réponse à la question posée Pbq : Comment LB éclaire-t-il son lecteur sur « le paradoxe de la tyrannie » ? 1. Pourquoi obéit-on ? Une définition de la tyrannie Sous-parties suivent l’ordre des paragraphes a. Les conséquences de la servitude Servitude est un produit