Pourquoi Paul Faure Est Il Munichois

lendemains de Munich, Paul FAURE : L'année 1938 est marquée par une situation chaotique en France mais également en Europe. La montée du fascisme commence à devenir inquiétante et les visées expansionnistes de l’Allemagne nazie sont alarmantes. En France, Edouard Daladier devient président du Conseil (le l0 avril 1938) et forme un nouveau gouvernement, sans la participation de la S.F.I.O. Pourtant, un des partis les plus importants de l’époque, avec à sa tête Léon Blum et Paul Faure comme secrétaire

c’est pourquoi le peuple, ici des couturières, fête la préservation d’une paix tant désirée. L’engouement est la bonheur, est présent dans cette photo avec des élèments tel que le champagne, présent en quantité, les gens sourient tous en brandissant les portraits de leurs “sauveurs” ou une pancarte avec marqué “ VIVE LA PAIX”. Document 4. Ce texte est paru dans Le Populaire le 2 Octobre 1938. Il a pour sujet un discours de Paul Faure, secrétaire général du SFIO. Paul Faure est munichois dans

envisager l’opposition munichois/antimunichois qui s’amplifia après la signature des accords (II). I. Le recul progressif des puissances européennes : l’opposition au sein de la classe politique petit-à-petit vaincue Début 1938, la balance penchait en faveur du soutien à la Tchécoslovaquie (A), mais petit-à-petit, l’indécision se mua dans tous les pays vers l’acceptation des accords (B). Ces mois d’évolution furent le théâtre d’une première opposition entre munichois et antimunichois : celle

Division à l’intérieur. Au centre = Blum et Faure. A droite (Auriol, Renaudel) + renfort de Déat devenant théoricien du néo-socialisme : renforcer l’autorité de l’Etat + contrôle des industries dans le cadre de la nation (contre internationalisme), exclus de la SFIO en 1933, formèrent un parti + se regroupèrent avec d’autres indépendants pour fonder l’USR. A gauche : héritiers du guedisme. Autre clivage : Blum veut fermeté face à l’Allemagne / Faure = fidèle au pacifisme. Journaux : Le Populaire

un air de révolution se propage. Aussi Thiers ordonne-t-il l’évacuation précipitée des troupes de la ville de Paris ce qui entraîne une radicalisation du conflit : Thiers redoute la fraternisation, il part pour mieux revenir comme pour Vienne. Pourquoi le terme « Commune » ? Le comité central de la garde nationale a décidé d’organiser des élections d’une Assemblée municipale le 26 mars 1871 = Commune = assemblée qui va siéger 56 jours. Elle se considère comme le gouvernement légal du pays. On dénombre

qui n'existait pas avant. L'issue de ces conflits menace l'existence des Etats belligérants. Court terme: la défaite; plus généralement, crise des années 30, apparition et renforcement des Etats totalitaires, apparition des anti-Lumières. I) Pourquoi l'armistice ? 1) La débâcle. 3 septembre 1939: déclaration de guerre de la France et de la GB aux Allemands. 10 mai 1940: fin de la drôle de guerre, offensive allemande en Flandres et France. Attaque des Allemands dans les Ardennes, soit

République est un modèle évolutif, en mouvance constante : « Un régime politique n’est pas un mécanisme dont il faut se contenter d’étudier le fonctionnement qui relève d’une approche juridique. C’est une construction dont il faut tenter de comprendre pourquoi elle est née, à quelle nécessité elle répond, par quel processus et au prix de quelles luttes elle est instaurée, et comment, sous quelles forces elle a évolué ». Mais les difficultés du modèle républicain ne sont pas moindres : juillet 1940 puis

NOUVEAU RÉGIME I. Étrange défaite, étrange victoire II. L’exode, la peur et le désordre III. Le choix de l’armistice 1. Le refus de la capitulation. 2. L’armistice, un acte fondateur IV. Une généalogie V. Le 10 juillet 1940 1. Un contexte de rupture 2. Pourquoi Vichy ? 3. Les pleins pouvoirs 4. La République abandonnée VI. L’« État français » VII. La Révolution nationale 1. Une doctrine et un principe d’action 2. Un syncrétisme idéologique VIII. Pétain et Laval CHAPITRE II - LA S TRATÉGIE DE LA COLLABORATION

françaises dans les années 1920 » : I L’ombre portée de la guerre, II une société complexe, III La prospérité des années 1920 La société et l’économie françaises dans les années 1920 (Jean-Marc Guislin, septembre 2011) Bibliographie : BARRIERE Jean-Paul, La France au XXe siècle, Paris, Hachette, 2000, coll. Les Fondamentaux. BECKER Jean-Jacques, BERSTEIN Serge, Victoire et frustration 1914-1929, Paris, Seuil, 1990, Nouvelle histoire de la France contemporaine, No 12, coll. Points Inédit Histoire.

permettaient le recours massif aux engins motorisés=> privilégient le mouvement et l'offensive: la Blitzkrieg 8 2) Les Français devant la guerre: 10 a) Une opinion résignée à la guerre: 10 b) Mais il reste des forces hostiles à la guerre 11 les münichois: 11 la gauche non coco: 12 Le Parti communiste, 12 c) l'absence d'Union sacrée:. 12 2) la « drôle de guerre » ( sept 39- mai 40): 13 a) sur le front , une inaction lourde de conséquence: 13 b) A l'arrière, l'offensive anticommuniste: 15