Pourquoi Philosopher

une convention arbitraire dont les éléments, les mots, sont généraux — d'où son inaptitude structurelle à saisir une réalité (extérieure ou intérieure) qui n'est jamais générale. Voir par exemple Henri Bergson (Le Rire) ou Nietzsche (Le Livre du philosophe). Il est intéressant de noter que c'est justement ici une approche purement utilitaire du monde à travers le langage qui en motive la critique : il y a bien plus dans la réalité que ce que les mots nous en disent (dans leur usage quotidien). Pire

KEDJOUTI TS 3 Oussama Dissertation philosophie Faut il être indifférent pour être tolérant ? Selon l'opinion publique la tolérance et l'indifférence peuvent être deux termes relativement opposés, en effet nous pouvons prendre l'idée que l'un prend comme signification une réelle aptitude a être ouvert d’esprit avec une certaines vertu (nous parlons bien de la tolérance)

plus de définitions seraient alors moins ignorants que les autres sans pour autant tout savoir. Etre ignorant c'est peut-être aussi se contenter de toutes les vérités que l'on nous sert sans rien remettre en cause, sans se poser de questions. Les philosophes étant considérés comme sages passaient leur vie à essayer de démêler le vrai du faux, l'ignorance étant leur pire ennemi. On pourrait dire qu'être ignorant est un état d'esprit, celui qui renie l'être l'est peut-être réellement. C'est donc un choix

Un philosophe est une personne pratiquant la philosophie. Comme il y a certainement autant de manières de la pratiquer qu'il y a de philosophes, il n'est pas facile de décrire brièvement ce que peut être un philosophe ; néanmoins, l'idée la plus générale que l'on peut s'en faire est sans doute celle d'un homme ou d'une femme qui réfléchit avec sa raison sur le monde et la pensée, pour accéder à la sagesse ou pour comprendre le sens de la vie, dans l'espoir d'être plus heureux ou libre. Ces hommes

Texte 1: Le philosophe, Dumarsais (L'Encyclopédie) Grandes lignes du plan: I. Le philosophe et les autres hommes II. L'esprit des Lumières I. Le philosophe et les autres hommes a) Les liens →les passions communes l. 12/13 + l. 14/15 "les ténèbres/la nuit" → liées, se renvoient. b) Les oppositions * "ténèbres" ≠ "nuit" : Après la nuit, le jour et dans la nuit, il y a les étoiles donc de la lumière. * "les autres hommes" ≠ "le philosophe"

Apologie de Socrate que celui-ci abordait l'humour lors de discours sérieux. Cependant, c'est majoritairement au XVIIIe siècle que des sujets importants seront traités de manière risible voire ironiquement, et ce plus particulièrement par les philosophes des Lumières. De nos jours, de très nombreux auteurs mais aussi certains médias (Le canard enchainé) font de même. Mais peut-on traiter des sujets graves ou sérieux sur le mode plaisant ou humoristique ?

« Le ministre de l’information a prononcé, avant-hier, un discours que nous approuvons dans son entier. Mais il est un point sur lequel il nous faut revenir parce qu’il n’est pas si commun qu’un ministre tienne à son pays le langage d’une morale virile et lui rappelle les devoirs nécessaires. M.Teitgen a démontré cette mécanique de la concession qui a conduit tant de Français de la faiblesse à la trahison. Chaque concession faite à l’ennemi et à l’esprit de facilité en entraînait une autre.

au contraire que « Ce n’est pas le doute, c’est la certitude qui rend fou ». Pour lui, c’est le fait d’être sûr de soi à propos d’un état, d’une chose ou d’une pensée, qui peut amener à la folie. Nous allons voir pourquoi la certitude amène à l’aliénation, dans quelles mesures et pourquoi le doute ne peut-il ne pas amener lui aussi à la folie. Premièrement, La certitude est un état d’être personnel. En effet, lorsqu’on est sûr, les gens autour de nous ne le sont pas forcément, c’est un état dont

aedsx "La vérité monte d’un coup d’aile jusqu’au symbole" écrivait Zola à H. Céard le 22 mars 1885 ; cette réflexion du principal théoricien du naturalisme en France est certes étonnante, voire paradoxale, mais elle permet certainement une meilleure orientation de la lecture critique de son œuvre que ne le font ses écrits théoriques, qui ont d’ailleurs contribué à ce qu’on la réduise pendant longtemps à une simple copie de la réalité. "La vérité monte d’un coup d’aile jusqu’au symbole" écrivait Zola

l'anglais Chambers (publiée de 1728 à 1742). L'Encyclopédie avait pour but de favoriser la diffusion de la philosophie des Lumières. Et la connaissance dans tous les domaines. Diderot a eu recours à des auteurs connus, rédigée par 150 savants, philosophes et spécialistes de toutes les disciplines (Voltaire, Montesquieu, Rousseau, Helvétius, Condillac, d'Holbach, Daubenton, Marmontel, Quesnay, Turgot, Jaucourt, etc.) D'Alembert s'occupait des mathématiques, Diderot de l'histoire de la philosophie