Pourquoi Rit On

déplaît quand me faut vous écrire, Car si faire se pouvait autrement J’aimasse mieux de bouche le vous dire C’est par Danger, mon cruel adversaire, Qui m’a tenu en ses mains longuement ; En tous mes faits je le trouve contraire, En plus se rit, quand plus me voit dolent Si vouloie raconter pleinement En cet écrit mon ennuyeux martyre, Trop long serait ; pour ce certainement J’aimasse mieux de bouche le vous dire. Partie A : le fond 1. L’univers poétique 2. Les mots

Quand il pleure, j'entends le tonnerre gronder, Car penser c'est entendre, et le visionnaire Est souvent averti par un vague tonnerre. Quand ce petit être, humble et pliant les genoux, Attache doucement sa prunelle sur nous, Je ne sais pas pourquoi je tremble ; quand cette âme, Qui n'est pas homme encore et n'est pas encor femme, En qui rien ne s'admire et rien ne se repent, Sans sexe, sans passé derrière elle rampant, Verse, à travers les cils de sa rose paupière, Sa clarté, dans

musique de l'ouest, on parlait de voitures et de motos et on regardait les filles danser. Les filles dansent mieux que les garçons, ça ne se remet pas en question. Elles sont plus jolies quand elles dansent. Elles savent qu'elles sont jolies et c'est pourquoi elles n'ont pas peur. Quand je danse, j'ai toujours la tête rouge et mes pieds deviennent très grands. Alors, je préfère rester assis et je parle de voitures et de motos, comme autrefois. Aujourd'hui, j'ai même ma propre voiture. Autrefois, on n'y

découpures du vert sombre. ... Un chant ; comme un écho, tout vif, Enterré, là, sous le massif... - Ça se tait : Viens, c’est là, dans l’ombre... - Un crapaud ! - Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue... - Horreur ! - ... Il chante. - Horreur !! - Horreur pourquoi ? Vois-tu pas son oeil de lumière... Non : il s’en va, froid, sous sa pierre. ..................................................................... Bonsoir -

suis dans le cabinet de toilette quand elle dit : «  Qui est là ? » Moi : «  c’est Nathalie, l’élève aide soignante » Tout en sortant du cabinet de toilette, Mme T : « ah bon, pourquoi faire » Avec n certain étonnement Moi : «  je vais vous aider à vous lever et pour votre toilette. Mme T : «  pourquoi ? On va se promener Moi : «  non, mais le matin il faut faire votre toilette et vous habiller pour pouvoir ensuite prendre votre petit déjeuner. Les yeux grands ouverts, un large

dans l’âme d’une personne. Le sens figuré renvoie également à l’idée d’une inspiration soudaine. Mentionnons encore que le terme désigne également certain type d’enluminures, car ce n’est pas sans pertinence pour d’autre poèmes des Illuminations. Pourquoi commencer par ce jeu de définitions ? L’on peut supposer qu’un titre a un sens et vient éclairer les textes tout comme les textes éclairent le titre. Par ailleurs, des études ont formulé l’hypothèse que certains poèmes de Rimbaud se construiraient

choix en se qui concerne le jeu du personnage. Les didascalies permettent aussi de mettre en évidence aux yeux du réalisateur les émotions du personnage, « il rit » présent dans Anthony mais aussi dans Chatterton comme indication pour les personnages principaux. Version retrouvée au féminin et légèrement modifié dans Le malentendu « elle rit faiblement », elles indiquent aussi parfois le ton de la voix comme on le voit ici avec « faiblement ». La ponctuation aiguille le metteur en scène sur, la

(ironiquement) C’est ça, c'est pour l'estomac. Et pourquoi tu l’as ici ? - Ça protège les yeux des fumées. - Qui c’est qui te dit ces conneries, mec ? - Les médecins nous le disent sur la place. - Tu veux que je te le foute sur la gueule, petit salopard ? (il ouvre le flacon et le vide sur le terre-plein). Il trouve ensuite dans plusieurs poches des programmes de représentations de théâtre de Berlin et un livre de poèmes de Seferis. - Pourquoi tu as besoin de ça dans ton sac ? Qu’est-ce que c’est 

au prince des nuéesQui hante la tempête et se rit de l'archer;Exilé sur le sol au milieu des huées,Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Charles Baudelaire, Les fleurs du mal II, 1857 T.Corbière : Le crapaud Un chant dans une nuit sans air... -La lune plaque en métal clairLes découpures du vert sombre.... Un chant ; comme un écho, tout vifEnterré, là, sous le massif...- Ça se tait : Viens, c'est là, dans l'ombre...- Un crapaud! - Pourquoi cette peur,Près de moi, ton soldat fidèle !Vois-le

Acte II scene 2 Roméo Et Juliette Version Parodié Roméo: Il se rit des plaies, celui qui n'a jamais reçu de blessures! (Juliette paraît à une fenêtre) Mais doucement! Quelle lumière jaillit par cette fenêtre? Voilà l'Orient, et Julien est le soleil! Lève-toi, belle aurore, et tue le soleil jaloux, qui déjà languit et pâlit de douleur, parce que toi, tu es plus beau que lui-même! Oh! voilà mon amour! Oh! si il pouvait le savoir!... Que dit-il? Rien... Il se tait... Mais non; son regard parle, et