Poussière Sur La Ville

jusque ici " 2) Une impression d'apocalypse la peste est présentée comme un fléau ravageur qui est aidé par le vent , qui s’étend peu a peu a l’assemble de la ville cst la description du haut du sommet cad l'atmosphère qui montre une idée d'apocalypse: • ref au volcan " les cendres, recouverte, enduit, blanchie de poussière l.35 " montre le Chaos • Notion de tempete : violence du vent ( s’engouffre dans les rues avec toute sa violence l.20 , souffle a tout vent , battaient les jambes l

rien rkjgegjeùpijgeiopgjeoijgùoiejhgpuehjgripehgrghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhLe déroulement de la guerre : dix ans de combats Le siège de la ville dura dix ans avec des alternances de succès et de revers des deux côtés. L'Iliade raconte la dernière année de la guerre. Son sujet est la colère d'Achille (Homère, Iliade) : Agamemnon lui ayant pris sa captive, Achille s'est retiré sous sa tente et a cessé de combattre. (Homère, Iliade) On essaie de régler le conflit par un combat singulier

La technologie moderne améliore le transport public à Prague Le transport public est certainement compliqué. Déplacer des milliers de personnes dans une ville ou un pays exige beaucoup de coordination et de communication. Si le transport des personnes vers la destination souhaitée peut être simplifi é par la technologie moderne, c’est un énorme avantage pour tout le monde. Si la technologie est limitée et désuète, cela peut être vraiment frustrant, pas seulement pour les voyageurs mais aussi

La Ville Tous les chemins vont vers la ville. Du fond des brumes, Là-bas, avec tous ses étages   Et ses grands escaliers et leurs voyages   Jusques au ciel, vers de plus hauts étages,   Comme d'un rêve, elle s'exhume.  Là-bas,   Ce sont des ponts tressés en fer   Jetés, par bonds, à travers l'air;   Ce sont des blocs et des colonnes   Que dominent des faces de gorgones;   Ce sont des tours

et laid ! » : les marins sont remplacés par les femmes : l’homme noir dans le texte est dans la situation de l’oiseau : un exclus, un exilé, sujet de moquerie Impression d’un visage qui n’est plus un visage humain : « creusé l’orbite », « fard de poussière, « un nègre enseveli », « espace vide entre l’accrochement solide des mâchoires et les pommettes d’une vieille joue décatie » : l’ensemble de ces détails évoque déjà la mort ou plutôt le masque de la mort. Il apparaît comme terne : il a même perdu

l'Europe rentre dans la transition démographique. La population est trop nombreuse, il y a une surexploitation des terres, les gens partent en ville : c'est l'exode rural : les gens quittent la campagne. -De plus en plus de citadins. En 1850, seulement 20% des Européens vivent en ville. En 1938, 92% des Anglais vivent en ville et 53 % des français qui vivent en ville. Les gens se rendent essentiellement dans les capitales, les villes industrielles et dans les ports. Ce qui fait qu'en 1850, il y avait

encore: car l'Éternel Dieu n'avait pas fait pleuvoir sur la terre, et il n'y avait point d'homme pour cultiver le sol. 2.6 Mais une vapeur s'éleva de la terre, et arrosa toute la surface du sol. 2.7 L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant. 2.8 Puis l'Éternel Dieu planta un jardin en Éden, du côté de l'orient, et il y mit l'homme qu'il avait formé. 2.9 L'Éternel Dieu fit pousser

Emile Verhaeren - La Ville Tous les chemins vont vers la ville. Du fond des brumes, Là-bas, avec tous ses étages Et ses grands escaliers et leurs voyages Jusques au ciel, vers de plus hauts étages, Comme d'un rêve, elle s'exhume. Là-bas, Ce sont des ponts tressés en fer Jetés, par bonds, à travers l'air; Ce sont des blocs et des colonnes Que dominent des faces de gorgones; Ce sont des tours sur des faubourgs, Ce sont des toits et des pignons, En vols pliés, sur

LA VILLE Tous les chemins vont vers la ville. Du fond des brumes, Là-bas, avec tous ses étages Et ses grands escaliers et leurs voyages Jusques au ciel, vers de plus hauts étages, Comme d’un rêve, elle s’exhume. Là-bas, Ce sont des ponts tressés en fer Jetés, par bonds, à travers l’air ; Ce sont des blocs et des colonnes Que dominent des faces de gorgones ; Ce sont des tours sur des faubourgs, Ce sont des toits et des pignons, En vols pliés, sur les maisons ; C’est la ville tentaculaire, Debout

gauche ! LONDRES EN FLAMMES Dans la nuit du 2 septembre 1666, un feu envahit l’arrière-boutique d’un boulanger londonien. L’incendie s’étend très vite dans la rue de Pudding Lane. Les maisons en bois enduites tombèrent en poussière. La capitale anglaise, qui comptait à cette époque 500 000 habitants, était une métropole active. Elle venait de se relever d’une épidémie qui l’avait touchée l’année précédente (en 1665) et qui avait provoqué beaucoup de décès. Le feu gagne plusieurs