Pouvoir d'achat

européenne, la marge de manœuvre existe ; quels sont les arguments présentés ? Les salaires n’ont pas bougé. Les prix des matières premières n’ont pas bougé. Le sentiment que le pouvoir d’achat se maintient. L’évolution des prix des matières premières n’a pas eu d’effet haussier sur les salaires. Le sentiment que le pouvoir d’achat ne cesse de s’éroder. a) b) c) d) e) Commentaires Oui ; en revanche, les prix ont augmenté. Non, au contraire. Non, car il s’érode. Oui, d’autant que les hausses ont été

de calcul de l’IPC varient d’un pays à l’autre et les Etats influent directement sur le prix de certains biens (prix du tabac, santé, éducation). 2. Le rôle de la relation entre taux d’inflation et pouvoir d’achat des ménages Il ne faut pas confondre inflation et pouvoir d’achat. Le pouvoir d’achat correspond à la quantité de biens et services qu’un ménage peut acquérir avec son revenu disponible brut compte tenu des prix auxquels se vendent ces biens et services. L’IPC mesure le taux d’inflation

temps du miracle économique, dans lequel il décrit les 4 sommets du carré magiques des 20 années glorieuses : - un taux de croissance élevé - une croissance régulière (les cycles sont très atténués) - un quasi plein emploi - une hausse du pouvoir d’achat et du niveau de vie I les progrès de la production A évolutions générales de la croissance 1 taux de croissance (d’après les chiffres de Maddison) pour les pays européens en moyenne par an |

|Pouvoir d’achat. |En économie, le pouvoir d'achat d'un revenu (salaire ou autre) | | | |est la capacité d'achat en termes de biens et services que | | | |permet ce revenu. | | | |le pouvoir d'achat d’un ménage (personnes

par la production. La consommation des ménages est plus stable que les autres emplois (investissements, exportations). En période de crise elle permet d’atténuer la baisse de la croissance. La consommation des ménages dépend des revenus, du pouvoir d’achat, mais aussi de la répartition de ce revenu. Elle dépend en outre de la confiance des ménages, c’est à dire de leur perception de la conjoncture et des risques qu’ils encourent. Sous-partie A - La Consommation finale des ménages, principal moteur

entreprises de réaliser des gains de productivité qui se traduisent par un accroissement des salaires, l’amélioration du pouvoir d’achat qui en résulte permet aux ménages d’augmenter leur consommation de biens et services. - Il permet aux entreprises de réaliser des économies d’échelle. Ainsi les ménages peuvent profiter d’une baisse des prix de vente qui améliore leur pouvoir d’achat et accroît leur consommation. - Il se traduit par la mise sur le marché de nouveaux produits diversifiés et

faim, soif) – besoins de sécurité (être assuré contre les risques sociaux) – besoin d’amour, d’appartenance – besoin de reconnaissance (besoin de respect) – besoin d’accomplissement personnel ou épanouissement (besoin de réussite). Pouvoir d’achat : Le pouvoir d’achat désigne la quantité de biens et de services qu’un individu peut se procurer avec son revenu disponible. Pour connaître son évolution, il faut tenir compte d’une part, du revenu dispo. qui peut être consacré à la consommation et à l’épargne

Les effets de l’inflation sur l’éco interne La stabilité interne d’une monnaie correspond à celles des prix et du pouvoir d’achat des ménages lors de l’achat de biens et services nationaux. Elle correspond à l’absence d’inflation ou à une inflation modérée. L’inflation correspond à la hausse du niveau général des prix, elle a pour conséquences d’entraîné une perte de pouvoir d’achat pour les salariés. Lorsque les prix des biens et services augmente plus vite que la hausse des salaires. Il en n’ai

d’habitudes de consommation, qui ne se modifient pas instantanément en cas de variation du niveau de revenus « Effet cliquet » : • Inertie du niveau de consommation des ménages, à la hausse (délai entre ↑ de pouvoir d’achat et ↑ de consommation) comme à la baisse (délai entre ↓ de pouvoir d’achat et ↓ de consommation • Aspect « dents de scie » des courbes de revenu disponible / aspect « lissé » des courbes de consommation des ménages Le « revenu permanent » Théorie du revenu permanent (Friedman

aux paramètres macroéconomiques fondamentaux de la compétitivité. Il est ensuite utilisé pour étudier les conditions dans lesquelles il décrit l'accès au plein emploi, la contradiction éventuelle entre la maximisation de l'emploi et celle du pouvoir d'achat, et le rôle du partage des revenus. Cette analyse du modèle est menée tant pour elle-même que pour les critiques qui peuvent en être tirées quant aux hypothèses habituellement faites relativement aux élasticités-prix du commerce extérieur. Sont