Pouvoir exécutif

conseil général ? mis à jour le 8.07.2008 Le président du conseil général est l’organe exécutif du département. Il est élu parmi les membres du conseil lors de la première séance suivant chaque renouvellement triennal de l’assemblée. Son mandat est donc de trois ans et est renouvelable. Il est assisté d’une commission permanente au sein de laquelle sont élus les vice-présidents. En tant qu’organe exécutif, le président du conseil général prépare et exécute les délibérations du conseil. Il est

présidentiel, dans lequel le pouvoir exécutif relève d'un président de la République. Par ailleurs, le thème du sujet vise la Veme république qui est le régime en vigueure actuellement et depuis la constitution de 1958 qui l'a institué, et ce texte nous donne une aproche critique de ce fonctionnement de présidentialité et une vision nouvelle pour les institutions de cette Veme république. La problématique soulévée par ce document est la division au sein du pouvoir executif entre l'assemblée nationale

Constitution de la Vème République est l’œuvre du général De Gaulle et définit son rôle de Président de la République. Il est le personnage que la France a besoin et est soutenu par la grande majorité des français. A. Le président, homme fort du pouvoir exécutif Le général de Gaulle s’impose comme l’homme fort de la politique française. Il est appelé en 1958 pour sortir la France du conflit algérien. Quelques mois après il prépare et rédige une Constitution pour mettre en place la Vème République

et tout ou partie des sous-ministres, le Secrétaire Général et les détenteurs du pouvoir exécutif, il a lieu tous les mercredis à l’Elysée. Que nous révèle cette institution du régime parlementaire présidentialisé français ? Nous verrons qu’elle traduit la bicéphalie du pouvoir exécutif puis qu’elle met en exergue le Président de la République. I Le Conseil des ministres, institution traduisant un pouvoir exécutif bicéphale 1°) Organisation et fonctionnement • Conseil présidé par le Président

Les pouvoirs du président de la République sous la IIIe République Adolphe THIERS disait dans une de ces lettres qu’il a écrite à l’Assemblée : « La République existe, c’est le gouvernement légal du pays. Vouloir autre chose serait vouloir une nouvelle révolution et la redoutable de toutes. » C’est selon sa pensée et celle d’autres républicains qu’est proclamé la IIIe République le 04 septembre 1870 souhaitant rompre avec le régime autoritaire de Napoléon mené de 1852 à 1870 : le second Empire

Sujet : Les trois pouvoirs sont-ils réellement séparés en France ? La Constitution du 4 octobre 1958 a été conçue pour mettre un terme aux excès du régime d’assemblée, dans un contexte marqué par l’incapacité de la IVème République à affronter les crises de la décolonisation. Au centre se trouve le Président de la République, « clé de voûte des institutions ». Il assure, par son arbitrage, « le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ». Son autorité s’est progressivement renforcée. Le

équilibrée des pouvoirs, où le gouvernement et le Parlement ont des domaines d'actions communs (par exemple, l'initiative des lois) ainsi que des moyens d'actions de contrôles réciproque ; le parlement pouvant mettre en jeu la responsabilité politique du gouvernement (le Chef de l'Etat étant, lui, irresponsable) et le gouvernement prononcer la dissolution du Parlement. Nous entendons ici, par gouvernement, non pas un sens large du terme qui désignerait l'ensemble des organes investit du pouvoir politique

gouvernement, sinon l'expression d'une fonction gouvernementale distincte de la fonction administrative, du moins des actes, qui, d'une part, intéressant les relation intérieures, mettent en cause, dans le cadre du Droit international, les rapports du pouvoir exécutif avec les puissances étrangères ou les organisations internationales » (Dictionnaire juridique Le Cornu). C'est la jurisprudence administrative qui a élaboré la théorie des actes de gouvernement et déterminé quels sont ces actes. Ce sont des

bicéphale du pouvoir exécutif de la Vème République Intro: volonté de libérer le chef de l’Etat de l’influence du Parlement en confiant son élection à un collège de grands électeurs. I. La cinquième République, ou la mise en place d’un pouvoir exécutif bicéphale plus équilibré        En effet, le Président, effacé sous les III et IVè Républiques, retrouve ici, et selon les voeux de Charles de Gaulle, des pouvoirs réels devant lui servir à assurer sa fonction d’arbitre. Le pouvoir d’exécution

rôle est affirmé lorsqu'il a le soutien de la majorité parlementaire. Toute fois, en période de non-concordance de majorité parlementaire et majorité Présidentielle, c'est une autre lecture du régime qui s'impose, avec un partage différent de pouvoir, et une fonction présidentielle différente. Ce partage donne l'avantage au gouvernement et son Premier Ministre, qui désormais fort d'une majorité parlementaire qui le soutien, en dépit du Président de la République. On peut donc se poser la question