Pouvons Nous Savoir Avec Certitude Que Nous Sommes Libres

La certitude c’est un sentiment qu'on a de la réalité d'un fait, de la vérité d'une idée, c’est l'assurance pleine et entière de l'exactitude de quelque chose. Ce n’est qu’un sentiment tout à fait subjectif qui peut être trompeur. L'identité que tout homme se donne est instable car elle change au gré de ses désirs. Il est donc compliqué de prendre conscience de soi lorsque que celle ci repose sur la prise de conscience d'un autre tandis que nous agissons comme autrui nous voit. Est-ce que l'Autre

conscience d’être? L’un des sens du mot conscience est celui de la connaissance de soi, être accompagné du savoir. Ici il s’agit de la conscience psychologique, la conscience de soi. La conscience de soi est l’intuition qu’à l’esprit de ses états et de ses actes. Le but est donc d’observer son moi intérieur en vue de se connaître. Le “Je” ici est a prendre au sens général. Le probléme est de savoir si mon être correspond au sens que je donne à la conscience. Suis-je transparent à moi-même? Ai-je une

rétablissez l’ordre des propositions qui permet d’enchaîner des questions faisant apparaître le problème central. A. Or comment savoir si nous en sommes bien les causes si l’inconscient, étant une autre partie du psychisme, échappe par nature à la conscience ?B. Mais ii on admet son existence, doit-on pour autant exclure la notion de liberté car après tout, nous sommes bien capables de faire des choix et même si un tel inconscient existe, dès lors qu’on le reconnait, on peut être libre juger de ce

conscience est la connaissance savante de ce que nous sommes. Donc nous pouvons remarquer que le contenu de la conscience est la représentation de ce que nous pensons être. Et pour savoir ce que nous sommes, nous ne pouvons le formuler qu’à travers la conscience d’être. Donc la question posée semble tourner en rond, n’être qu’un sophisme. Même si nous ne sommes pas ce que nous avons conscience d’être, nous ne pouvons pas le savoir, nous ne pouvons pas en prendre conscience, et donc ce n’est pas un problème

lorsque nous nous regardons dans un miroir, on se voit donc nous sommes ce que nous voyons. Mais en plus d’exister nous nous voyons exister ce qu'on pourrait appeler la “double existence”. Hegel, un philosophe du XIXème siècle, dit que nous existons mais que nous nous voyons aussi exister dans une sorte de dédoublement de soi rendu possible par notre conscience qui agit comme un miroir. En plus de savoir qui nous sommes physiquement, nous sommes munis d'une conscience de notre pensée. Cependant, Descartes

INTRODUCTION : Dans un premier temps, pour être soi-même, n'est-il pas préférable de n'être pas trop socialisé ? Mais, le sentiment de soi-même n'est-il pas précisément inculqué par la société ? Mieux que cela, n'est-ce pas le problème de savoir s'il faut être seul pour être soi-même qui est inculqué par la société ? Nous allons voir pour commencer qu'à première vue, pour être soi-même, il suffit d'être à l'égard d'autrui dans une relation naturelle qui n'étouffe pas la voix de notre propre

gestes. Cependant, avec une émotion telle que la colère, ou encore la jalousie, on constate que parfois nos réactions peuvent allez a l’encontre de ce que nous pensons être ; « je n’étais plus moi-même ». Alors, avons-nous conscience d’être ce que nous sommes vraiment, ou la conscience de soi n’est-elle pas qu’une simple illusion ? Et si parfois nos réactions vont a l’encontre de notre moral, n’est-ce pas là le signe que se connaitre soi-même relèverais de l’impossible ? Même si notre conscience reste

pouvez simplement partir d'expressions courantes. Par exemple, nous disons généralement que nous pensons ce que nous voulons. En d'autres termes, nous affirmons que nos opinions sont les nôtres et que nous sommes libres de les avoir. Quand bien même essayerait-on de nous contraindre à penser, nous pouvons continuer à avoir l'opinion que nous souhaitons avoir même si nous ne le disons pas par crainte de représailles. En effet, certains régimes politiques portent atteinte à la liberté d'opinion et d'ailleurs

l’individu n’a en vérité que bien peu de pouvoir sur les choses. Se pose alors la question de savoir si la conscience est véritablement quelque chose, une et indivisible, substance indépendante de la nature ou bien si elle n’est qu’une forme déterminée de la nature qui aurait juste l’illusion d’être indépendante. Avons-nous une identité intérieure immuable et indépendante ? La conscience est-elle source de certitude ou bien source d’erreurs et de préjugés, à commencer par le préjugé de notre identité, de

prudence du scepticisme  (science expérimentale)   STOÏCISME (voir cours de latin) La question principale des stoïciens est de savoir comment mieux vivre au quotidien. Les stoïciens pratiquent une cosmologie panthéiste, Dieu est dans tout. L’univers est habité par une présence divine (LOGOS : fatalisme actif). De plus, nous ne pouvons pas changer notre destin mais nous pouvons changer nos désirs. L’objectif des stoïciens est d’atteindre l’apathie (= absence de sensations, de souffrances). Pour eux,