Poème D Amour Pour Son Cousin

première vue pour une œuvre parnassienne. Mais l’année 1867 où il avait commencé à en rédiger les premiers poèmes est marquée par la mort de sa cousine Élisa, premier amour platonique et déçu. Ainsi sur les 22 poèmes du recueil, certains furent rédigés avant le drame, mais le vingtième L’Amour par terre fut bien composé après. Caractérisation : c’est un poème en alexandrins réparti en quatre quatrains à rimes embrassées. La tonalité est lyrique et plus particulièrement élégiaque. Problématique :

François-René de Chateaubriand. Le mal de "René", ce "vague" des passions, semble être la peinture d'un état d'âme réellement éprouvé par l'auteur lors de son adolescence, et aussi dans la solitude de son exil à Londres et le refoulement de son impossible amour pour la jeune Charlotte Ives. « Rien, dit-il au frère d’Amélie, rien ne mérite dans cette histoire la pitié qu’on vous montre ici. Je vois un jeune homme entêté de chimères, à qui tout déplaît, et qui s’est soustrait aux charges de la société

quinze ans enfantine », de Ronsard -> La Pléiade du XVIème « Géorgiques IV » [485-503], de Virgile -> Lyrisme durant l'Antiquité Dans un premier temps, nous approfondirons un peu les poèmes retenus : auteur, oeuvre, recueil dont est extrait le poème, puis nous étudirons les différentes représentations de l'amour au fil des siècles et selon les différents mouvements littéraires (c'est-à-dire les rapprochements, différences pouvant être émises mais aussi ce qui les rend originaux). Pour finir, nous

Page 3 et 4 Poème 1 : « Air Vif » ; Page 5 et 6 Poème 2 : « Bien souvent je revois... » ; Page 7 et 8 Poème 3 : « Chanson D'exil » ; Page 9 et 10 Poème 4 : « La cousine » ; Page 11 et 12 Poème 5 : « La vie Antérieure » ; Page 13 et 14 Poème 6 : « les vous et les tu » ; Page 15 et 16 Poème 7 : « Nostalgie Parisienne » ; Page 17 et 18 Poème 8 : « Rouge Sang » ; Page 19 et 20 Poème 9 : « Septembre au ciel léger taché de Cerfs-volants » ; Page 21 et 22 Poème 10 : « Vœu » ;

la femme, les thèmes récurrents de la poésie. Un poème peut servir de déclaration amoureuse, les poètes y vantent les plus belles femmes et leurs amours. Comme par exemple, dans les sonnets, poésies de deux quatrains et deux tercets, expriment la plupart du temps les sentiments éprouvés par les auteurs pour une dame ou leur maitresse. C’est le cas dans L’Olive , de Du Bellay , où l’on retrouve des références à l’amour et à la femme aimée , «  Amour la flemme autour du cœur éprise «  Il en est de

Commençons avec un poème du moyenne-âge : Dans « Ballade des dames du temps » de François Villons. Ce poème profondément lyrique fait clairement l’éloge de femmes de l’antiquité où il exprime toute sa mélancolie face au temps qui passe. « Flora la belle Romaine », « Thaïs qui fut sa cousine germaine », « Où est la très sage Héloïs » et j’en passe. Au XVIème siècle, il était

enfantine », de Ronsard -> La Pléiade du XVIème * « Géorgiques IV » [485-503], de Virgile -> Lyrisme durant l'Antiquité Dans un premier temps, nous approfondirons un peu les poèmes retenus : auteur, œuvre, recueil dont est extrait le poème, puis nous étudierons les différentes représentations de l'amour au fil des siècles et selon les différents mouvements littéraires (c'est-à-dire les rapprochements, différences pouvant être émises mais aussi ce qui les rend originaux). Pour finir,

mère et sa cousine Elisa = grande sœur adoptive car sa mère est morte.· Dès le lycée (où il avait lu Les Fleurs du Mal), il est intéressé par la littérature et commence à écrire. Au début donc en partie influencé par Baudelaire.· (Etudie le droit à Paris, pour ensuite travailler dans une compagnie d’assurances engagé par son père et comme expéditionnaire à l’Hôtel de Ville de Paris) -> · Courtise sa cousine Elisa en 1862 : 1er amour (déjà mariée), étés passés à Lécluse chez sa cousine· En 1865,

Françoise de Graffigny ; Lettres d'une Péruvienne - 1747. "Douceur et tendresse, tes mains ne sont que caresses." Citation de Maxalexis ; Une folle nuit d'amour - 2010. "Je t'aime comme je n'ai jamais aimé !" Citation d'Honoré de Balzac ; La cousine Bette - 1847. "Je n'ai tant de chance que parce que tu m'aimes." Citation de Goethe ; Maximes et pensées (1749-1832) "Je suis à toi tu es à moi, nous sommes unis pour toujours." Citation de Goethe ; Faust II - posthume 1832. "Je t'aime au-delà

Introduction Il s’agit d’un poème extrait du recueil des fêtes galantes de Paul Verlaine intitulé « En sourdine » publié en 1869. Paul Verlaine nait en 1844 à Metz en Moselle et meurt en 1896 à Paris, républicain convaincu, athée et ouvertement hostile à l’empire il se cherche et ne trouve sa place que dans la littérature. Paul Verlaine publie en 1866, chez l’éditeur Alphonse Lemerre un recueil intitulé « poèmes saturniens »ce sont ces premiers vers. L’influence des poètes qui lui sont chers