Poèmes Saturniens épilogue

S. Senghor, Éthiopiques, « À New York » Prolongements 8 S O M M A I R E G. Moreau, Œdipe voyageur T. Chassériau, Andromède… C. Baudelaire, « Parfum exotique » Séquence 11 La poésie symboliste D. G. Rossetti, Lilith P. Verlaine, Poèmes saturniens, « Mon rêve familier » D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Parfum exotique » TEXTE 2 S. Mallarmé, Poésies, « Tristesse d’été » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 C. Baudelaire, Le Spleen de Paris, « Un hémisphère dans une chevelure

d’une figuration essentielle du mal : le démon. Un appareil théorique essentiellement anthropologique a été appliqué au fait littéraire, précisément à la quasi-totalité des textes poétiques baudelairiens, c’est-à-dire : Les Fleurs du Mal et les Petits poèmes en prose. [À ce corpus textuel donné, strictement poétique, se sont ajoutés, parfois, à titre exceptionnel, des arguments complémentaires, dotés d’une certaine « poéticité », provenant ou de la biographie du poète, ou, surtout, de ses écrits intimes

In this haughtiness towards in this disdain human is motives Villiers. and ordinary human beings, there at once the distinction has himself pointed the moral against himself in these words of the story which forms the epilogue to the Contes Cruels: "When the forehead alone contains the existence of a and the weakness of And he man, that man is enlightened only from above his head then his jealous shadow, prostrate under him, draws him by the feet, that it may

ma confession, sera, si je ne reviens pas, la propriété de mon ami François Seurel ». Il avait dû glisser le cahier en hâte sous les autres, refermer à clef son ancienne petite malle d’étudiant, et disparaître. – 288 – LE GRAND MEAULNES ÉPILOGUE Le temps passa. Je perdais l’espoir de revoir jamais mon compagnon, et de mornes jours s’écoulaient dans l’école paysanne, de tristes jours dans la maison déserte. Frantz ne vint pas au rendez-vous que je lui avais fixé, et d’ailleurs ma tante

Voltaire Voltaire n’a abordé le genre du conte philosophique que tard dans sa vie. Il n’a en effet écrit ses premiers contes qu’après avoir dépassé la cinquantaine d’années. Auparavant, il a touché aux tous les genres sauf aux romans. Il a écrit des poèmes, des pièces de théâtre, des travaux philosophiques et même des ouvrages historiques. Il considérait en effet que les romans constituaient un genre inférieur. Voltaire a maintenu sa position vis-à-vis de ces autres genres pendant longtemps jusqu’au

de ses costumes d’un œillet, d’un lis ou d’un chrysanthème. Esprit subtil et excentrique, dandy d’une rare élégance, sa célébrité devient grande dans les milieux culturels et aristocratiques londoniens qui accueillent avec ravissement ses premiers Poèmes (1881). Il devient très vite l’un des théoriciens de « l’art pour l’art », et le chef de file des "esthètes". Il est ainsi invité à donner une série de conférences aux États-Unis sur l’esthétisme. –4– De retour en Europe, il s’installe à Paris

de ses costumes d’un œillet, d’un lis ou d’un chrysanthème. Esprit subtil et excentrique, dandy d’une rare élégance, sa célébrité devient grande dans les milieux culturels et aristocratiques londoniens qui accueillent avec ravissement ses premiers Poèmes (1881). Il devient très vite l’un des théoriciens de « l’art pour l’art », et le chef de file des "esthètes". Il est ainsi invité à donner une série de conférences aux États-Unis sur l’esthétisme. –4– De retour en Europe, il s’installe à Paris

passionnés de littérature et de création artistique. « J'écoutais alors beaucoup de musique, je lisais - et autre chose que des revues scientifiques - Shakespeare, Platon. J'adorais Le Roi Lear. » Ses autres livres de chevet étaient Moby Dick et les poèmes de Dylan Thomas. (Je lui ai alors demandé pourquoi il se sentait un lien particulier avec le Roi Lear et le Capitaine Achab, deux personnages parmi les plus déterminés de toute la littérature, mais il a éludé ma question, alors je n'ai pas insisté

passionnés de littérature et de création artistique. « J’écoutais alors beaucoup de musique, je lisais – et autre chose que des revues scientifiques – Shakespeare, Platon. J’adorais Le Roi Lear. » Ses autres livres de chevet étaient Moby Dick et les poèmes de Dylan Thomas. (Je lui ai alors demandé pourquoi il se sentait un lien particulier avec le Roi Lear et le Capitaine Achab, deux personnages parmi les plus déterminés de toute la littérature, mais il a éludé ma question, alors je n’ai pas insisté